Parmi eux, les huiles, les féculents, les farines, les pâtes et le riz. Autant de produits déjà sous tension et qui feraient actuellement l'objet d'achats de précaution de la part de nombreux ménages, faisant planer le risque d'une rupture des stocks.
Selon le baromètre de NielsenIQ, il manquait 5,7 % de produits en grande surface en août 2022. Si les pénuries de moutarde et d'huiles sont en train de se résorber, d'autres produits, comme les pommes de terre, le miel ou le lait, pourraient à leur tour manquer et voir leurs prix augmenter.
C'est le cas des pommes de terre, du miel, du lait ou encore du maïs dont les récoltes semblent avoir souffert de la sècheresse de l'été et devraient voir leurs prix fortement augmenter d'ici la fin de l'année. À LIRE AUSSI La France bientôt menacée par une pénurie de viande bovine ?
Le prix des légumes frais augmente de 17,7%, les pâtes de 20%, le pain et les céréales en général voient leur prix augmenter en moyenne de 9,9% en septembre sur un an. Les produits d'hygiène-beauté ne sont pas épargnés par cette hausse puisque selon UFC-Que Choisir, la hausse sur un an est de 11%.
Hausse du taux de rémunération du Livret A à 2 % ; hausse du Smic de 2,01 % ; prolongation de la remise à la pompe jusqu'à fin août ; fin du régime de sortie de l'état d'urgence sanitaire le 31 juillet 2022 ; calcul de l'indemnité de garantie (Gipa).
Sébastien Lapaque : " Ce qui manque dans notre monde, c'est la nécessité de l'amitié telle qu'on la découvre chez Rabelais, Shakespeare, Montaigne "
Ne prévoyez pas uniquement les aliments de base, mais aussi de quoi assaisonner vos plats. Imaginez-vous manger du riz au riz et des pâtes aux pâtes pendant un mois… l'horreur. Sel, poivre, huile, bouillons, épices et sauces doivent faire partie de votre stock.
C'est donc le seul aliment qui ne périme jamais, à condition qu'il soit conservé dans un endroit sec. On raconte même que du miel vieux de 2000 ans retrouvé dans les pyramides égyptiennes est encore propre à la consommation (même s'il n'a plus aucun goût).
Le pays importe également des fruits, des tomates, de viande bovine, de l'huile de palme. La Russie est un exportateur net de céréales et d'oléagineux. Le pays figure parmi les premiers exportateurs mondiaux de blé, d'huile de tournesol, et d'orge.
Pénurie de moutarde : voici sa date de retour dans les rayons des supermarchés et ce sera en 2022.
Pourquoi la date de 2030 figure-t-elle dans le nom? En 2008, nous avons calculé que si rien ne changeait, nous aurions en 2030 un déficit d'eau douce de 60 %. Concrètement, l'humanité dispose de 4200 km3 d'eau potable par an que nous pouvons prélever de manière durable.
En 2050, 5,7 milliards d'êtres humains pourraient vivre dans des régions où l'eau manque au moins un mois par an. Ce sera presque six humains sur dix. Voilà le constat alarmant qu'a fait l'ONU lors du 8ème forum international de l'eau qui s'est terminé vendredi à Brasilia, au Brésil.
Manque d'eau et fortes chaleurs
Les périodes de fortes chaleurs à répétition et la sécheresse inédite de cette année comptent parmi les principaux responsables de ce manque de lait. En effet, pour faire du lait, il faut des vaches. Et pour nourrir les vaches, il faut du fourrage.
Sa probabilité a été multipliée par deux à 20 % selon BCA Research. Elle pourrait naître d'autres conflits localisés mais qui dégénèrent, comme entre les Etats-Unis et la Chine sur Taïwan. Un courtier voit grandir le risque d'une Troisième Guerre mondiale, potentiellement nucléaire.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
À moins d'être touchée par une terrible catastrophe naturelle, l'île de Tristan Da Cunha constitue un bon repère en cas de guerre. Sise dans l'océan Atlantique, elle est plus concrètement localisée à proximité des îles Inaccessible et Nightingale.
Les prix à la consommation du gaz, des carburants et dans une moindre mesure de l'électricité ont fortement augmenté en France entre décembre 2020 et octobre 2021 (respectivement de 41%, 21% et 3% ). La tendance se poursuit en 2022 : l'énergie est, pour plus d'un tiers, la principale composante du taux d'inflation.
Mais quand cette valse folle va se terminer ? "Nous sommes au pic de l'inflation, elle va commencer à baisser en 2023", a déclaré hier Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement. Une stabilisation à venir pronostiquée par de nombreux experts.
Inflation : "La baisse des prix devrait commencer en 2023" estime l'économiste iséroise Virginie Monvoisin.