Que = pronom relatif : il introduit une proposition subordonnée relative. Que représente l'antécédent qui se trouve dans la proposition principale. Que: conjonction de subordination : il introduit une proposition subordonnée conjonctive.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Qui introduit une proposition subordonnée relative dans laquelle il occupe différentes fonctions. 1. Employé avec un antécédent nominal ou pronominal. – Qui est sujet et son antécédent peut représenter un être ou une chose.
Un pronom relatif est un mot subordonnant. Il introduit une subordonnée relative et sert de lien entre cette proposition et le nom (ou pronom) qu'elle complète : l'antécédent. En tant que pronom, il représente l'antécédent dans la subordonnée relative.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Le nom (ou le pronom) que représente le pronom relatif est dit son antécédent. Les PRONOMS relatifs sont simples ou composés : 1. formes simples invariables : "qui, que, quoi, dont, où".
Reconnaître un COD
Il ne peut être ni déplacé ni supprimé, son rôle est absolument essentiel à la compréhension de la phrase. Le COD est placé derrière le verbe sauf dans le cas où il est mis sous forme de pronom. Claire mange une pomme.
Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment. Remarque : Que devant une voyelle devient qu'. Dont remplace un mot complément précédé de de.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
« QUE », pronom relatif, introduit une proposition subordonnée relative. Il est complément d'objet du verbe et remplace le groupe nominal antécédent de la proposition principale. Ex. : La maison que j'ai achetée est grande. → La proposition principale est : La maison est grande.
Reconnaître un complément d'objet second (COS)
Le complément d'objet second est un COI (complément d'objet indirect) lorsqu'il est employé après un COD (complément d'objet direct). On l'appelle second car il vient seconder le COD dans la phrase pour préciser l'action du verbe.
Le COI suit généralement le verbe mais il peut être placé avant. Exemple : Maxime parle de cette femme. – Cette femme dont Maxime parle. – Maxime en parle (ici le COI est un pronom).
Quand le verbe est employé aux temps composés, la place du COI n'a aucune incidence sur l'accord du participe passé. Celui-ci reste invariable, même si le COI est placé avant le verbe. Maxime a téléphoné à une amie. – L'amie à qui Maxime a téléphoné.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Quel est déterminant interrogatif et exclamatif : il s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Quelles réponses apportez-vous à nos attentes ? (quelles est au féminin pluriel comme le nom réponses). J'ignore de quels moyens il dispose (quels est au masculin pluriel comme le nom moyens).
L'analyse logique consiste non seulement à dénombrer les différentes composantes d'une phrase mais aussi à comprendre quelles sont les relations qui les relient entre elles. Dans une phrase, il y a autant de propositions que de verbes conjugués.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
Voici la liste des principales locutions conjonctives de subordination : à cause que (emploi vieilli), à ce que, à condition que, afin que, ainsi que, alors que, à mesure que, à moins que, après que, à proportion que, à telle enseigne que, attendu que, au cas que (où), au fur et à mesure que, au lieu que, aussi bien ...
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.