dame. – Argotique : louloute, loute, meuf. – Familier : bonne femme, greluche, poulette. – Populaire : gonzesse, moukère, mouquère, nana, nénette, pépée, poupée, souris.
ainsi, cependant, comme, en revanche, entre autres, mais, notamment, p. ex., par contre, par ex., p. ex. par exemple !
– Du coup : « La réunion a été annulée, on fait quoi du coup ? » Eh bien, on commence par remplacer cette expression un tantinet agaçante par ces nombreux équivalents : donc, de ce fait, en conséquence, par conséquent, voire subséquemment !
On a ensuite « je suis fatigué », « je suis épuisé », « je suis exténué », « je suis vidé », « je suis mort de fatigue », « je suis sur les rotules », « je suis crevé », « je suis claqué », « je suis vanné » ou encore « j'ai un coup de barre ».
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Femme. (Par extension) Fille. Amie de cœur ; fiancée ; amante ; maîtresse.
Adolescente, jeune femme.
amie, camarade, compagne, complice, condisciple.
Voilà sert à présenter ce qui est éloigné ou ce qui est passé et voici, ce qui est proche ou à venir.
« Je m'affolamoure », « je t'extraime » ou encore « j'ai le boum boum ».
Expression la plus répandue pour exprimer à quelqu'un qu'on l'aime, qu'on a une très forte affection pour lui. Exemple : Je t'aime tant que je n'imagine ni mon présent ni mon avenir sans toi à mes côtés.
Locution adverbiale utilisée pour exprimer la conséquence. Exemple : La plupart des participants ont triché lors des épreuves de ce concours ; de ce fait, l'examen est annulé.
Cette expression instaure une notion de causalité, de cause à effet. Ce qui suit "ce qui fait que" dépend de ce qui le précède. Exemple : Nous n'avons pas fait les courses hier, ce qui fait que nous mangerons les restes ce soir.
Je vais me coucher est une façon courante de dire en français que vous aller dormir.
"Je ne me sens pas bien" est plus adéquat aux conversations." ----- Pas vraiment ! " Je ne vais pas bien " peut être placé dans une conversation de la même façon que " Je ne me sens pas bien " . Suivant le degré dans l'importance du mal être , malaise ou maladie , on emploiera soit l'un soit l'autre .
Les locutions "Piquer un roupillon" ou "Piquer un somme" relèvent du registre familier ; et "Faire la sieste" (ou "Faire une sieste") et "Faire un somme", du langage courant. Quant au registre soutenu, il nous offre une superbe expression héritée de la mythologie grecque, avec "Être dans les bras de Morphée".