Bâbord, tribord, proue, poupe, et tout un tas d'autres mots ont une origine ancienne et ont évolué afin que les personnes à bord puissent mieux se comprendre. Chaque partie ou pièce d'un bateau a sa propre dénomination, claire et difficile à confondre.
Quelques éléments constitutifs d'un bateau ponté : 1- cheminée - 2- arrière, poupe ou "cul" - 3- hélice devant le safran - 4- bordé de la coque - 5- ancre - 6- bulbe d'étrave - 7- avant, proue ou étrave - 8- pont ou gaillard d'avant et 9- superstructure.
Le mât est une pièce généralement verticale, du gréement dormant d'un bateau à voile (espar), servant à soutenir les pièces nécessaires à la propulsion par le vent : voiles, vergues, bôme, étai, etc.
La proue est la partie avant du bateau ; pour s'en souvenir il suffit de penser à la figure de proue qui ornait l'avant des navires de pirates. La poupe est donc la partie arrière et l'on aime avoir le vent en poupe car on avance plus vite avec le vent dans le dos.
La poupe. La partie arrière ou postérieure d'un bateau est appelée la poupe. Sur la plupart des embarcations, les moteurs sont situés à la poupe, mais cette partie est aussi parfois utilisée pour le stockage ou l'aménagement de places assises.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
La poulaine est le nom couramment donné aux toilettes dans la Marine nationale française.
Ce n'est qu'au début du XXe siècle qu'elle est devenue un local fermé et vitré (un abri de navigation) intégré aux superstructures du navire, mais le nom de passerelle est resté. On utilise aussi le terme timonerie pour désigner la passerelle d'aujourd'hui.
La coque est l'enveloppe extérieure du navire, elle est constituée du bordé, est étanche pour la partie immergée (œuvres vives) et a, généralement, des formes étudiées pour que le bateau puisse se déplacer assez facilement dans l'eau.
L'avant est le proue et l'arrière, la poupe.
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
Un bout qui se prononce « boute », désigne, de façon générale, un cordage sur le navire car le mot « cordage » n'est jamais utilisé par les navigateurs. Ceux-ci parlent ainsi de « raidir un bout » pour resserrer une tension sur une corde, de « passe-moi le bout » pour « donne-moi le cordage », etc.
Il arrive qu'un chenal se divise en 2. Dans ce cas, le chenal préféré est celui dont la couleur se trouve au centre de la marque. Dans notre exemple (zone de balisage A), en venant de la mer, on suivra le chenal principal sur la gauche (grosse flèche). La petite flèche indique un chenal secondaire.
Silencieux (muffler) pour bateaux moteur
Toute embarcation munie d'un moteur autre qu'un moteur hors-bord doit être équipée d'un silencieux et ce dispositif doit être actif lorsque l'embarcation navigue à moins de 10 km (5 milles marins) du rivage.
Superstructure, pouvant être munie d'un capot à glissières, qui forme le dessus de la cabine d'un bateau.
les garcettes sont des petites bandelettes ou cordelettes qui permettent d'enrouler la voile et de la maintenir ferlée, lorsqu'on prend un ris. Bordure : La bordure est le bord de la partie basse de la voile, qui part de point d'amure vers le point d'écoute ( le long de la bôme pour la grand voile).
L'arrière du bateau s'appelle poupe. Balcon avant. L'avant du bateau s'appelle la proue. La pointe avant de la coque s'appelle l'étrave.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
En langage maritime, l'appareillage est le départ, la manœuvre d'un navire qui quitte son mouillage, son poste à quai ou à couple.
DRISSE, subst. fém. MAR. Cordage ou palan qui sert à hisser une voile, un pavillon, un signal flottant.
Le commandant est le titre donné à la personne, civile ou militaire, qui dirige un navire (le capitaine de navire) ou commande un bâtiment, ou encore est responsable d'un aéronef (le commandant de bord).
Capitaine, Captain, master, skipper – Dans la marine marchande, officier apte à diriger un navire et à commander l'équipage, titulaire d'un brevet. A la pêche on dit plutôt patron. A bord d'un yacht, le patron, ou skipper, est la personne responsable du bateau, et de sa conduite.
Cambuse vient du néerlandais kombuis qui signifie « cuisine de navire, chaufferie », mot lui-même issu du bas-allemand kabūse, kambūse (réduit de bois situé sur le pont supérieur du navire, servant de cuisine et de lieu de repos) attesté à Breslau en 1422.