La maltraitance des enfants peut avoir des répercussions sur les capacités cognitives et les résultats scolaires, et elle est fortement corrélée à l'abus d'alcool et de drogues et au tabagisme – des facteurs de risque clés pour les maladies non transmissibles (MNT) telles que les maladies cardiovasculaires et le cancer ...
Développement physique
modification de la structure du cerveau, malnutrition, problèmes de vision et d'audition, carie dentaire, épilepsie, paralysie.
Des séquelles sur la vie d'adulte
Grand manque de confiance en soi, difficultés relationnelles, troubles de l'attachement, les répercussions sur la vie émotionnelle sont nombreuses. "Le lien à l'autre est compliqué, tout comme le lien à soi-même.
Ceci dit, d'après les statistiques, certaines catégories de personnes, comme les hommes, les personnes rencontrant des difficultés financières ou qui sont d'origine étrangère par exemple, sont plus fréquemment mises en cause dans les cas de maltraitance envers les enfants.
La violence psychologique est l'une des violences les plus répandues, mais aussi les moins détectées. Un réel travail de prévention et de prise de conscience s'impose. À noter que toutes les violences infligées à un enfant ont une composante psychologique.
Les parents qui ne parviennent pas à appliquer des contrôles de comportement ont souvent des enfants qui ont des problèmes de comportement, tels que la violation des normes sociales, ou le mépris et l'opposition à l'école ou ailleurs dans la collectivité.
Tout le monde connaît la "maltraitance active", le fait d'infliger des sévices, d'abandonner ou de tuer un animal... Mais le concept de "maltraitance passive" est totalement inconnu ou presque. La maltraitance passive est le résultat de la méconnaissance des besoins réels d'un animal.
Il est indispensable de reconnaître sa souffrance et d'accepter d'évacuer ces émotions négatives. En admettant que cette souffrance soit liée à l'enfance, il est possible de se déculpabiliser et d'engager une démarche thérapeutique pour verbaliser sa douleur.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
Certains adultes victimes de maltraitance dans l'enfance vont envahir son interlocuteur sans s'en rendre et en devenir dépendant. D'autres vont adopter les attitudes subies et devenir exigeants, méprisants, injustes ou encore colériques.
La maltraitance émotionnelle, employée afin d'asseoir son pouvoir et sa domination dans une relation, peut prendre plusieurs formes et se manifeste entre autres par un refus de communication, une attitude culpabilisatrice, des insultes, des critiques, des menaces, des railleries, des humiliations, des intimidations, ...
Elle s'entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ou affectifs, d'abus sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d'exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l'enfant, sa survie, son développement ou sa dignité, dans le contexte d'une ...
Il peut se désintéresser de ses enfants, ou être un parent maltraitant (physiquement, voire sexuellement). Il peut présenter des troubles psychiatriques, inquiétants pour l'enfant qui ne comprend pas et prend peur devant l'attitude du parent. Le parent refusé peut présenter, des troubles de conduite (addictions…).
Cette absence de gestes garants de son bien-être a un nom : la négligence parentale. S'il s'agit de la forme de maltraitance la plus souvent signalée aux services de protection de la jeunesse, c'est aussi l'une des plus néfastes pour le développement des enfants.
5 signes communs d'un parent ou de parents toxiques
Réactivité très négative - les parents toxiques sont émotionnellement hors de contrôle. Ils ont tendance à dramatiser des problèmes, même mineurs, et à voir toute légèreté possible comme une raison de devenir hostile, en colère, verbalement abusif ou destructeur.
Comment prouver la maltraitance psychologique sur mineur ? Le médecin, l'assistance sociale, un parent ou tout autre témoin qui soupçonne un cas de violence psychologique sur un enfant par sa mère ou son père est dans l'obligation de signaler les faits à la gendarmerie ou la police.
Quand un parent a des mots ou des gestes brutaux ou violents envers son enfant, on parle de violences éducatives ordinaires. « Educatives » car les adultes pensent qu'elles éduquent les enfants et « ordinaires » parce qu'elles sont très fréquentes et parfois considérées comme normales.
La peine est de 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende. La peine est de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende lorsque les faits sont commis par un parent ou par une personne qui a autorité sur le mineur (par exemple, un beau-parent).
La violence verbale est une atteinte personnelle, comme les critiques (en privé ou en public), la moquerie, les insultes particulièrement blessantes, les reproches au sujet de personnes aimées, la menace d'autres formes de violence contre la victime ou une personne qui lui est chère.
Les résultats, qui ne sont pas chiffrés mais qualitatifs, mettent en évidence deux types de maltraitance : celle liée aux comportements des professionnels et celle liée à l'organisation d'un établissement de santé.