L'hypertension artérielle négligée rétrécit progressivement les petites artères du cerveau et produit des lacunes (infimes lésions cérébrales). Leur multiplication dégrade le bon fonctionnement du cerveau et aboutit, à terme, à une perte progressive de ses fonctions essentielles, comme la mémoire et le raisonnement.
L'hypertension peut également provoquer l'éclatement ou l'obstruction d'une artère qui irrigue le cerveau et l'alimente en oxygène, et entraîner un accident vasculaire cérébral. De plus, l'hypertension peut entraîner des lésions et une insuffisance rénales.
Résumé. – L'hypertension intracrânienne (HIC) est définie par l'existence d'une pression intracrânienne supérieure à 15 mmHg de façon durable. Les signes cliniques révélant une HIC sont, avant tout, des céphalées rebelles aux antalgiques, des vomissements en jet et des troubles visuels (œdème papillaire, diplopie).
Une tension artérielle systolique élevée avant l'âge de 50 ans augmenterait d'environ 50% les risques de perte de mémoire et de démence, d'après une nouvelle étude. Mais une diminution de ce taux permettrait de réduire les risques d'environ 15%.
Réduction de la pression intracrânienne
Les médecins prescrivent souvent de l'acétazolamide ou du topiramate par voie orale pour aider à réduire la pression intracrânienne. L'acétazolamide et le topiramate sont efficaces car ils réduisent la quantité de liquide céphalorachidien produit dans le cerveau.
Faites de l'exercice
L'activité physique alimente le cerveau en stimulant la circulation du sang. L'exercice active aussi la sécrétion de substances qui atténuent les symptômes de la dépression et de l'anxiété et améliorent la mémoire.
Une hypertension artérielle est une maladie vasculaire caractérisée par une élévation anormale de la pression exercée par le sang au niveau de la paroi des artères. Les différentes émotions ressenties par un individu comme le stress , la nervosité, l' angoisse , la douleur, la joie,…
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
L'insuffisance cardiaque : en présence d'une hypertension, le cœur travaille davantage pour envoyer le sang dans toutes les artères du corps. Au bout d'un certain temps, il devient moins performant et se fatigue. Le besoin du cœur en oxygène devient plus important.
Un œdème cérébral (aussi connu sous le nom d'augmentation de la pression intracrânienne) survient lorsque le tissu cérébral enfle. Cela se produit lors d'une blessure, d'une infection, après un accident vasculaire cérébral ou à cause d'un manque d'oxygène (aussi appelé ischémie).
"Aujourd'hui les hypertendus contrôlés ont la même espérance de vie que les non hypertendus. C'est un progrès majeur. L'hypertension et son traitement ont contribué à l'allongement de l'espérance de vie en France et dans le monde.
Le risque accru de l'hypertension artérielle sur la santé
une perte de la vue. de l'insuffisance rénale. moins de sang circulant vers le cerveau. une maladie cardiaque et une crise cardiaque.
Lorsque la pression est élevée dans les vaisseaux, elle peut soit favoriser une hémorragie par rupture du vaisseau (AVC hémorragique) soit favoriser la formation de la plaque d'athérome qui va boucher le vaisseau et provoquer un infarctus cérébral ( AVC ischémique).
La céphalée de tension se manifeste souvent par une douleur vive et brève derrière la tête au niveau du cou, mais qui peut aussi se prolonger. Ce type de mal de tête peut aussi être frontal et persistant.
L'effort constant ou la tension pour voir des images nettes provoque des maux de tête et le lien n'est pas souvent fait avec des problèmes venant des yeux. Moins commun, mais également l'une des causes de maux de tête: le strabisme non diagnostiqué, mais latent.
La tension nerveuse désigne une exaspération intense ou de façon plus générale un stress qui est à distinguer de la tension artérielle (ou de l'hypertension si elle est excessive) qui, elle, est quantifiable à l'aide d'un tensiomètre.
"Ils ont un certain nombre d'effets indésirables, surtout en début de traitement" explique Maryam Raissei. Ils peuvent notamment provoquer : des vertiges, de la fatigue, un refroidissement des extrémités, une diminution du rythme cardiaque et des troubles digestifs.
Une large étude démontre que prendre ses médicaments contre l'hypertension artérielle au moment du coucher est plus efficace que le matin. Les risques de problèmes cardio-vasculaires et de décès sont réduits.
En effet, quand quelque chose nous rend anxieux, le système nerveux sympathique déclenche une réaction de combat ou de fuite qui augmente la fréquence cardiaque, et par conséquence la tension artérielle.
La maladie d'Alzheimer.
L'âge. Bien que les tumeurs cérébrales peuvent survenir à tout âge, les risques augmentent en vieillissant. La majorité des tumeurs sont diagnostiquées chez des personnes de plus de 45 ans. Toutefois, certains types de tumeurs toutefois, comme les médulloblastomes, surviennent presque exclusivement chez les enfants.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer (NCI, 2012). Seule une association avec l'augmentation du risque de maladies cardiovasculaires a été mise en évidence (Kivimäki, 2012).
Au niveau du cerveau, une mauvaise circulation peut se traduire par des troubles de la mémoire. Pour ce qui est des jambes, on observe surtout une sensation de lourdeur et d'enflure.
Le ginkgo biloba fait l'objet de nombreuses recherches. Son principe actif – des molécules au nom de ginkgolides – provoque une dilatation des vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, microvaisseaux compris, ce qui facilite son oxygénation et son “alimentation”.