La maltraitance envers les enfants perturbe le cours normal de leur développement affectif. Les enfants maltraités sont à risque d'une grande variété de problèmes reliés à la santé mentale, y compris la dépression, l'anxiété, l'abus de substances, la criminalité et d'autres formes de comportement affectif mal régulé.
Parmi les autres facteurs d'ordre culturel figurent : les stéréotypes et les préjugés fondés sur le genre, les attentes normatives à l'égard de la féminité et de la masculinité, la socialisation du genre, la perception de la famille comme une sphère privée placée sous l'autorité masculine, et une acceptation générale ...
Les conséquences pour l'enfant
– des conséquences psychologiques : cette violence peut induire des troubles relationnels, une faible estime de soi, des comportements agressifs, de l'addiction, une dépression, des difficultés de concentration et d'apprentissage dans le milieu scolaire.
Le réseau le plus connu est la Fédération 3977. Elle a pour vocation la lutte contre la maltraitance, à travers des missions de conseil, orientation et renseignement pour les familles, grâce à un numéro national unique : le 3977.
Il s'agit donc de toute forme de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques et mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle.
Les enfants maltraités sont à risque d'une grande variété de problèmes reliés à la santé mentale, y compris la dépression, l'anxiété, l'abus de substances, la criminalité et d'autres formes de comportement affectif mal régulé.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
La maltraitance est définie par le non-respect des droits et des besoins fondamentaux des enfants (santé ; sécurité ; moralité ; éducation ; développement physique, affectif, intellectuel et social) (cf. article 375 du Code civil, annexe 1.1).
L'Observatoire Décentralisé d'Action Sociale définit l'enfant maltraité comme une « victime de violence physique, cruauté mentale, abus sexuels, négligences lourdes ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique».
La maltraitance des personnes âgées peut avoir de graves conséquences physiques et mentales, financières et sociales, y compris, par exemple, des lésions corporelles, des décès prématurés, la dépression, un déclin cognitif, la ruine financière et un placement dans une maison de retraite.
Ces impacts négatifs peuvent être de nature psychologique (anxiété, stress, perte de motivation scolaire, image de soi négative, sentiment d'impuissance, idéations suicidaires, etc.) ou sociale (rejet par les pairs, isolement social, marginalisation).
Cela va engendrer chez eux des émotions exacerbées, des réactions d'impulsivité et d'agressivité. Ils risquent davantage des problèmes de décrochage scolaire, de tomber dans la délinquance, la drogue ou l'alcoolisme. Ils auront aussi du mal à identifier ou à comprendre les émotions des autres.
Elle peut être le fait de membres de la famille, du voisinage ou de professionnels mais aussi de dysfonctionnements organisationnels ou managériaux survenant au sein de l'établissement ou du service. La maltraitance peut être le fait de violences ou de négligences et n'est pas nécessairement volontaire.
La maltraitance s'entend de toutes les formes de violences physiques ou psychologiques. Qu'il s'agisse de coups, de brimades ou de privation. Un comportement passif, s'il nuit à la personne âgée, est aussi considéré comme de la maltraitance : privation de soins, d'alimentation, abandon dans un lieu quelconque...
La bientraitance peut se définir comme le “contraire positif de la maltraitance”, cette notion relève de l'éthique.
battre, brutaliser, frapper, malmener, molester, rosser. Maltraiter un enfant, un animal.
Violences commises par les parents
La peine est de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 € d'amende lorsque les faits sont commis par un parent ou par une personne qui a autorité sur le mineur.
Vous êtes témoin de violences, de cris, de coups ? Appeler le 119 : numéro d'appel national de l'enfance en danger. Ouvert 24h/24, 7/7, gratuit, n'apparaît pas sur la facture téléphonique, l'appel peut-être anonyme.
• La protection administrative
L'ASE (Aide sociale à l'enfance), en lien avec le service social et la PMI (protection maternelle infantile) mettent alors en place un dispositif de prévention et de suivi avec l'accord des parents.
La notion de prévention décrit l'ensemble des actions, des attitudes et comportements qui tendent à éviter la survenue de maladies ou de traumatismes ou à maintenir et à améliorer la santé.
Une personne qui a fait l'expérience d'un contact avec un établissement de santé a parfois pu avoir le sentiment d'avoir été abandonnée, mal ou pas informée, d'avoir été insuffisamment écoutée. Il s'agit de la maltraitance « ordinaire ».