Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
Les cancers demeurent la première cause de mortalité avec une part de 29,6% et sont responsables, avec les maladies de l'appareil circulatoire (27,5%), les accidents (4,6%), la maladie d'Alzheimer (3,2%), le diabète (2,2%), le suicide (1,9%), les démences (1,8%) et les maladies chroniques du foie (1,7%), de plus de 70% ...
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Et de citer les causes de mortalité qui devancent la médiatique Covid dans ce funèbre rôle. Sans surprise, c'est le cancer (toutes causes confondues) qui occupe la tête de ce classement, avec quelque 10 millions de morts par an (source Agence internationale de la recherche sur le cancer).
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Cela semble être le cas pour la déficience en ribose-5-phosphate isomerase, une maladie métabolique pour laquelle le seul patient connu est né en 1984, ce qui en fait virtuellement « la maladie la plus rare ».
Les maladies cardiovasculaires restent la principale cause de mortalité. Le diabète et la démence figurent pour la première fois parmi les dix principales causes de décès.
La peste noire a débuté aux abords de la mer noire vers 1340 et s'est rapidement étendue en Europe et dans certaines régions d'Asie, faisant 75 millions de morts. Elle aurait tué entre 30 et 50 % de la population européenne de 1347 à 1352, selon certaines estimations.
Les traumatismes (y compris ceux dus aux accidents de la route et les noyades), la violence, l'automutilation, les maladies infectieuses telles que les infections respiratoires, et les affections maternelles sont les principales causes de décès chez les adolescents et les jeunes adultes.
Quand la mort est là, c'est nous qui n'y sommes pas. Elle ne concerne donc ni les vivants ni les trépassés, étant donné que pour les uns, elle n'est point, et que les autres ne sont plus.» A bon entendeur, salut !
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de décès chez les femmes. Parmi les cancers, ceux du col de l'utérus et du sein sont les plus fréquents et le cancer du poumon est le plus meurtrier.
Du 1er janvier au 31 mai 2021, 291 915 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 30 juin 2021, soit 9 % de plus qu'en 2019 (+ 23 739 décès). Pour suivre l'évolution de la mortalité en 2021, l'Insee fait le choix de privilégier la comparaison avec l'année 2019, année sans épidémie Covid.
Le cancer de la prostate se situe au 1er rang des cancers chez l'homme, nettement devant les cancers du poumon et du côlon-rectum.
La progéria, ou syndrome de Hutchinson-Gilford, est une maladie génétique rare. Elle se traduit par un vieillissement accéléré, et ce dès le plus jeune âge.
La potomanie est une pathologie principalement psychiatrique qui se caractérise par un besoin irrépressible de boire de l'eau. Cette consommation excessive d'eau, jusqu'à 10 litres ou plus par jour, peut devenir mortelle, car l'organisme ne peut pas tout assimiler.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Transmise par une bactérie infectieuse, la lèpre est l'une des plus anciennes maladies décrites dans le monde, remontant à l'Antiquité. Durant l'histoire, les lépreux étaient condamnés à vivre reclus et stigmatisés.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.