En montée, la vitesse moyenne est de 15 à 20 km/h. Si vous êtes un cycliste expérimenté, vous pouvez sans doute atteindre une vitesse supérieure.
Pour la montée : Utiliser le petit plateau avant et les pignons de gauche. Pour la descente : Utiliser le grand plateau et les pignons de droite sur la cassette. Pensez toujours à utiliser une bonne cadence de pédalage c'est à dire entre 60 et 90 tours/minute.
Tenez le guidon près du cintre. Baissez les coudes et gardez le haut de votre corps détendu. Cette position vous permet de respirer librement. Ne vous balancez pas d'un côté à l'autre sur la selle et ne serrez pas trop les poignées du guidon, cela vous fatiguera sans vous donner plus de force ou d'élan.
Pour cela, commencez par travailler des séquences plutôt courtes sur 30s à 45s à reproduire plusieurs fois durant la sortie dans les côtes du parcours. Il faut que le bassin soit stable pour que le balancement du corps permette le maximum d'énergie sur les pédales.
Si vous êtes cycliste confirmé, un braquet 52/36 associé à une cassette de 11/30 devrait également suffire pour grimper n'importe quelle ascension du type : Mont Ventoux, Galibier, Alpes d'Huez, Tourmalet…
Avec une double couronne frontale, la chape est courte et supporte jusqu'à 29 dents de pignon. Au-dessus des 29 dents du pignon, la chape est longue.
En théorie, le point optimal de cadence de pédalage dans les montées est de 70 tr/min, et il monte jusqu'à 80 sur le plat, mais la vérité est qu'il y a une marge considérable. Si vous êtes capable de faire circuler entre 100 et 60 coups par minute, vous travaillerez le plus efficacement possible.
Il s'agit de faire régulièrement des séances d'EPI sous forme d'aller-retour dans des côtes de pente moyenne, élevée et très élevée, en grimpant à intensité modérée. Il faut vraiment y aller mollo dans les premières montées et augmenter l'intensité d'un poil à chaque répétition.
Si vos bras bougent rapidement, vos jambes suivront. Ce truc vous permettra de garder une bonne fréquence de foulée et d'avoir une image positive de vous-même en train de monter la côte. Un autre truc pourrait être de garder vos yeux vers le haut de la côte et non juste devant vous.
Si vous êtes équipé d'une transmission triple, vous aurez sans doute un petit plateau de 32 dents qui, associé à un grand pignon de 25 voire 28 dents, vous permettra sans doute de grimper de façon assez aisée sur tous les pourcentages.
Au niveau de la circulation sanguine, mouliner plus vite aura également ses avantages. Tout d'abord, cela vous permettra de réduire les risques d'hypertension artérielle.
Pour être efficace, la respiration doit être parfaitement coordonnée avec le pédalage. Pour cela, il convient de travailler votre gainage ; en effet, les abdominaux et les muscles du haut du corps ont un rôle important dans le processus respiratoire.
Savoir quand il faut passer les vitesses et rétrograder
de 20 km/h à 40 km/h : on doit passer la seconde vitesse. de 40 km/h à 60 km/h : on doit passer la troisième vitesse. de 60 km/h à 80 km/h : on doit passer la quatrième vitesse. au-delà de 80 km/h : on doit passer la cinquième vitesse.
La position sur les vélos de ville, dite droite, est idéale lorsque l'on roule à vitesse modérée ou que les arrêts sont fréquents. Avec le guidon plus haut que la selle, on adopte une position presque verticale par rapport au sol. Le tronc reste bien droit, conservant les courbures naturelles de la colonne vertébrale.
Adapter son effort avec le changement de vitesse
Cette manœuvre intervient lorsque l'effort devient trop difficile ou trop facile. Cela permet de maintenir un effort régulier. Vous changerez plus facilement les pignons que les plateaux.
L'importance de la position pour gagner des watts
Celle-ci est exponentielle à mesure que le cycliste roule vite. On estime qu'elle est multipliée par 8 à chaque fois que le cycliste double sa vitesse. Elle est donc 8 fois plus importante à 40 km/h qu'à 20 km/h.
Par exemple, quand un cycliste produit une puissance de 350W lors d'un test de rampe (test progressif) et qu'il pèse 70 Kgs, le rapport poids puissance [P/Kg] se voit ainsi : P/Kg = 350/70 = 5 Watts par kilogramme de masse corporelle.
La position
Il faut que la selle ne soit ni trop haute, ni trop basse, pour que la jambe soit suffisamment tendue pour développer un maximum de force, tout en laissant la cheville libre pour tourner autour de l'axe de la pédale, et sans vous déhancher.
Ton problème semble effectivement venir d'un corps de roue libre récalcitrant. Regarde aussi l'état de ta transmission car au bout de 100h (environ 1500km je suppose), selon les conditions, il se peut que l'usure soit prononcé et provoque des sauts de chaine.
entre 7 et 7,6 W/kg : professionnel de très haut niveau. entre 5,6 et 6,4 W/kg : amateur de très bon niveau. entre 4,3 et 5 W/kg : amateur moyen. entre 3 et 3,7 W/kg : cycliste occasionnel.
Pédaler est la base du cyclisme et la vitesse à laquelle vous le faites influence votre entraînement et votre progression. La cadence de pédalage interprète cette vitesse et permet au cycliste de la faire varier à son avantage.