Dans les inflammations cutanées (eczéma, éruptions, etc.), la potentille tormentille (Potentilla erecta) pourrait remplacer la cortisone et éviter ses effets secondaires, selon une récente étude.
Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
En outre, le pois de cœur est utilisé en phytothérapie africaine traditionnelle en cas de maladies inflammatoires rhumatismales ou les troubles de l'appareil digestif et des voies respiratoires. Chez nous, le cardiosperme est considéré comme un traitement alternatif d'appoint à la corticothérapie.
Important : la plupart des effets secondaires concernent des prises de corticoïdes au long cours, et disparaissent à l'arrêt du traitement.
Réduire au minimum les apports en sucres concentrés (ou d'absorption rapide) : sucre en poudre/morceaux, miel, confiture, chocolat, biscuits, gâteaux, pâtisseries, viennoiseries, boissons sucrées… Limiter les apports en sel (Sodium ou Na+) : – Mettre peu de sel en cuisine et ne pas en ajouter à table dans vos plats.
Combien de temps la cortisone reste-t-elle dans le corps? Même si le produit est éliminé après quatre à six semaines, le soulagement peut être beaucoup plus durable, voire permanent.
Pour limiter cette hyperglycémie et ses effets pervers sur notre organisme, il faudra donc veiller à réduire fortement les apports en sucres : sucres de rajout et raffinés, sodas, snacking, au profit du sucre naturellement présent dans les fruits et légumes, en restant bien entendu dans des limites de consommation ...
des modifications physiques, comme une fonte musculaire ou un gonflement du visage ; des tendances à la dépression ou au contraire à l'agitation, avec notamment des insomnies ; l'aggravation ou l'apparition d'un diabète ou d'une hypertension.
Il est logique de proposer un régime pauvre en graisse et en sucres d'absorption rapide. Le gonflement du visage est lié à une modification de la répartition des graisses. Il n'existe malheureusement pas de mesure pour lutter contre cette conséquence heureusement rare, observée pour des doses importantes.
La bruyère est un autre plante anti-inflammatoire à privilégier en cas de cystite. Grâce à ses propriétés apaisante et anti-infectieuse, elle aide à soulager l'infection. Pendant les crises, on l'utilise plutôt en extrait liquide ou sec, conditionné en gélules. En prévention, on la préfère en tisane.
Certaines plantes, telles que le curcuma, le gingembre et le saule blanc, ont des propriétés anti-inflammatoires et analgésiques naturelles. Elles peuvent être consommées sous forme de thé, de capsules ou ajoutées à l'alimentation quotidienne pour aider à réduire la douleur.
La Gaulthérie : l'anti-inflammatoire de référence en aromathérapie. L'huile essentielle de Gaulthérie (couchée ou odorante) est la référence en aromathérapie pour soulager la plupart des douleurs et des problèmes inflammatoires.
Dans le traitement de certaines intoxications médicamenteuses, l'acidité de l'urine est modifiée en administrant des substances antiacides (telles que le bicarbonate de sodium) ou des substances acidifiantes (telles que le chlorure d'ammonium), afin d'accélérer le processus d'excrétion du médicament.
Si le traitement à base de cortisone stimule l'appétit, il faut éviter de grignoter entre les repas. Pour limiter la rétention d'eau, il est recommandé de limiter sa consommation de produits excessivement salés (notamment les plats industriels ultra-transformés) et de ne pas dépasser 6 grammes de sel par jour.
Appliquer des compresses humides. Boire beaucoup afin de prévenir la déshydratation. Éviter les mouvements brusques et les changements rapides de position. Éviter les activités demandant de la concentration, comme la conduite automobile et les travaux de précision.
Les risques d'ulcère à l'estomac et de pancréatite induits par les corticoïdes sont extrêmement faibles. En revanche, les corticoïdes peuvent aggraver un ulcère à l'estomac préexistant. Sujets à risque : les patients aux antécédents de maladies digestives (notamment d'ulcère) sont plus à risque.
Par ailleurs, les patients traités durant de nombreux mois par corticoïdes ont un risque augmenté d'accident cardio-vasculaire et de phlébite. Fréquence : le diagnostic d'hypertension artérielle est posé chez 10 à 20% des patients traités par corticoïdes, la plupart du temps après plusieurs mois de traitement.
Les corticoïdes favorisent la réabsorption du sodium, un minéral qui retient l'eau dans les cellules. Pour ne pas accentuer ce phénomène de rétention, il faut manger le plus possible sans sel (pas plus de 2 g par jour). On n'utilise donc que des « faux sels », à base de chlorures de potassium ou de magnésium.
Une diminution lente des doses de cortisone pourrait permettre de limiter ce phénomène de corticodépendance. Si vous avez été traité(e) au long cours par corticoïdes et si vous vous sentez anxieux/anxieuse ou déprimé(e) à l'arrêt du traitement, n'hésitez pas à en parler à votre médecin.
L'un des effets secondaires des traitements à base de corticoïdes est une fragilisation des os et le risque de développer une ostéoporose. Les patients qui utilisent les corticoïdes au long cours doivent donc être régulièrement suivis pour surveiller la bonne santé de leur squelette.
Les effets secondaires fréquents sont l'amincissement de la peau avec des vergetures et des ecchymoses, l'hypertension artérielle et l'augmentation de la glycémie, la cataracte, l'arrondissement du visage (visage lunaire) et de l'abdomen, l'amincissement des bras et des jambes, la diminution de la capacité de ...
Un tel traitement, pris sur le long terme, peut avoir diverses conséquences : une augmentation de la pression interne de l'œil (glaucome) et des dommages ultérieurs au nerf optique peuvent se produire. De même, les préparations à la cortisone peuvent favoriser l'accélération de l'apparition de cataractes.
D´autres effets indésirables peuvent renvoyer à des troubles du cycle chez la femme, une perte de libido, des troubles de l´érection, mais aussi des troubles neuropsychiatriques tels que l´irritabilité, l´agressivité, la dépression ainsi que la fatigue et les troubles du sommeil.
Il faut être attentif au risque d'infection
La cortisone agit comme anti-inflammatoire et immunosuppresseur. Elle est d'ailleurs prescrite dans certaines maladies auto-immunes pour calmer les emballements des cellules immunitaires.