Préparer. Les parties comestibles du homard sont l'abdomen, la queue et les pattes. Il vous suffit donc de lui enlever l'estomac (situé derrière la tête !) et les intestins avant de le faire cuire. Il est possible que les femelles aient encore leur œufs.
Seuls l'estomac (qui se trouve à l'arrière de la tête) et l'intestin (la veine noire qui fait la longueur de la queue) ne sont pas comestibles. Sinon, la chair, les œufs, le foie, le gras et le sang du homard peuvent être consommés.
Le tomalli, cette substance verte qui se retrouve dans la cavité du homard, assume les fonctions du foie et du pancréas. Comme il sert de filtre naturel aux contaminants, il peut contenir une toxine marine appelée phycotoxine paralysante.
Commencez ainsi par séparer les pinces et les pattes puis détachez la queue du corps du homard. Vous pourrez savourer le crustacé au fur et à mesure que vous le décortiquerez ou vous pouvez choisir d'enlever toute la chair avant de la manger. Sachez également qu'il est possible de manger la tête du homard.
Le tomalli est une substance verte et tendre qu'on retrouve dans la cavité du homard. Il assume les fonctions hépatique et pancréatique et, tout comme le foie d'autres animaux, il sert de filtre naturel aux contaminants.
Ne rien gaspiller. Il est également possible de manger les œufs, appelés corail, qu'on retrouve généralement en grande quantité dans les homards femelles. Le corail devient rouge vif à la cuisson. On peut faire sécher les œufs pour ensuite les réduire en poudre au robot culinaire.
Pelez le dessus de la queue du homard pour retirer l'intestin avec les doigts ou avec la pointe d'un couteau. Détachez ensuite la pince du reste de la patte. Pour décortiquer les pattes, mieux vaut utiliser une fourchette à homard afin de la défaire en section.
Le pigment rouge est le pigment de base de la carapace du homard et il est résistant à la chaleur, voilà pourquoi les homards rougissent.
On ne doit pas manger un homard mort avant la cuisson puisque, une fois mort, il dégage des enzymes et des bactéries qui s'attaquent à ses tissus. Il est vivant lorsqu'il est vigoureux quand on le soulève et qu'il replie souvent sa queue sous son corps.
En premier lieu, leur chair contient naturellement des microbes et toxines qui se développent très vite après la mort. Les cuire vivants réduit donc grandement les risques d'empoisonnement alimentaire. On les reçoit vivants pour cette même raison.
Les homards et les crabes ressentent de la douleur lorsqu'ils sont plongés vivants dans l'eau bouillante. Les chercheurs ont analysé près de 300 études scientifiques pour évaluer les preuves de sensibilité chez les céphalopodes et décapodes, dont les homards, les pieuvres, les calmars et les crabes.
Pour éviter toute souffrance potentielle, il faut donc “assommer” le crustacé avant de le faire cuire (ébouillanté entier ou grillé coupé en deux). L'option la plus simple consiste à le placer au congélateur pendant 15 minutes, avant de le plonger “inconscient” dans l'eau bouillante, tête la première.
Préférez la femelle au mâle, dotée de plus de chair et plus fine. Retournez l'animal sur le dos. Chez la femelle la carapace du ventre, qui a des palmes, se présente en creux : c'est la place des oeufs. A l'inverse, cette partie est bombée chez le mâle.
Côté vitamines et minéraux, le homard constitue une bonne source de phosphore, de magnésium et de potassium. Il contient du zinc, du sélénium, de la vitamine B12 et de la vitamine E. Décidément, toutes les raisons sont bonnes pour mettre au menu ce savoureux crustacé!
MEILLEURE RÉPONSE par nos experts. Il ne faut surtout pas le congeler cru ! Cela risquerait fortement de dénaturer son goût et sa texture et de le rendre impropre à la consommation. Vu le prix du homard de nos jours ce serait un vrai gâchis !
Pour la sauce au beurre corail, faites fondre le beurre dans une casserole à feu doux dans laquelle on ajoutera le corail ainsi qu'une cuillère à soupe de Cognac. La sauce doit être crémeuse. Servez votre recette de homard grillé au four aussitôt avec son beurre de corail.
Souffrance animale: une étude britannique confirme que les homards, crabes et poulpes sont sensibles à la douleur. Une étude commandée par le gouvernement britannique confirme que les homards, crabes et poulpes sont sensibles à la douleur, et recommande ainsi de ne pas les ébouillanter vivants avant de les consommer.
Qu'elle se passe dans Annie Hall de Woody Allen ou dans la vraie vie, la cuisson du homard a de quoi heurter les âmes sensibles. Pourtant, le homard ne crie pas quand on le plonge dans l'eau bouillante : ce sont les poches de gaz contenu dans sa carapace qui gonflent sous l'effet de la chaleur et la fissurent.
Le poids idéal d'un homard est de 500 g par personne, car il y a plus de la moitié de déchets. Au-delà de 1 kg, le homard se fait vieux et sa chair devient plus dure. Choisissez-le absolument vivant, avec la nageoire caudale qui se replie énergiquement sous la queue.
Pour reconnaître le mâle d'une femme, il suffit de retourner le homard sur le dos. Chez la femelle, la carapace du ventre a des palmes et se présente en creux. C'est ici la place de ses œufs. Chez le mâle, cette partie sera alors bombée.
Entre le thorax et la queue, le homard est pourvu de deux petits crochets. Si les crochets sont mous et souples, il s'agit d'une femelle. S'ils sont durs, ronds et pointus, c'est un mâle.
Le homard possède deux pinces, l'une plus petite que l'autre, de même que la langoustine, qui a deux pattes surmontées de picots. En revanche, la langouste n'a pas de pinces mais des antennes et des petites pattes.
Pourquoi on fait une résection de l'intestin
On pratique une résection de l'intestin pour les raisons suivantes: traiter un cancer de l'intestin grêle, du côlon, du rectum ou de l'anus. traiter ou soulager les symptômes d'un cancer qui s'est propagé à l'intestin. dégager un blocage dans l'intestin (occlusion ...
Le but sera de retirer une partie de cet intestin atteint d'une maladie bénigne (polype, rétrécissement, maladie inflammatoire type maladie de Crohn) ou maligne (cancer) que seule la chirurgie peut traiter à ce stade d'évolution.
En général, il faut introduire de l'eau à 37°, via le rectum, à l'intérieur de l'intestin. Le passage de l'eau va faciliter l'évacuation naturelle des déchets et des toxines. L'élimination se fait quelques minutes plus tard en allant aux toilettes.