Le cheval. Le cheval fait partie des viandes rouges. Il contient 18,8% de protéines et 10% de lipides dont 3,6% d'acides gras saturés.
Quelle viande privilégier ? Les viandes les plus intéressantes nutritionnellement sont la volaille comme la dinde, le poulet, voire la pintade riche en fer. Mais aussi les œufs, bio en priorité. Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit une alimentation aux graines de lin, qui enrichissent les œufs en acides gras Omega 3.
Le célèbre Wagyu, aussi appelé bœuf de Kobe, est sans doute la race la plus renommée pour l'extraordinaire qualité de sa viande. Son élevage selon des méthodes ancestrales lui confère ses qualités exceptionnelles. Marbrée, fondante et savoureuse, la viande de Wagyu constitue un véritable régal pour les fins gourmets.
Les bonnes quantités de viande
De la viande rouge (bœuf, veau, agneau) : 1 à 2 fois par semaine ; De la viande blanche (porc, volaille, lapin) : 1 à 3 fois par semaine ; De la charcuterie, du gibier ou des abats : 1 à 2 fois par semaine et pas plus de 50 g par jour.
Le steak haché est intéressant pour les personnes à risque d'anémie, car comme toutes les viandes rouges, il apporte une source importante de fer : en effet, une portion de 100 g apporte en moyenne 2,83 g de fer hautement assimilable par l'organisme (du fer héminique).
Manger trop de viande rouge accroît le risque de maladies cardiovasculaires et de cancers. Selon plusieurs études, la consommation de viande rouge augmenterait de 24 % le risque de cancer du côlon, et de 20 à 60 % ceux de l'œsophage, du foie, du pancréas ou du poumon.
La volaille est la viande à privilégier au quotidien selon le PNNS*. Comme de nombreuses viandes de volaille, le poulet possède de qualités pour le corps… et la santé ! Son premier atout : le poulet est riche en protéines (26g/100g) : un plus pour augmenter la masse musculaire (et donc, la performance des sportifs !).
La viande de porc est riche en protéines elle en contient près de 20 g pour 100 g de viande crue et environ 25g pour 100g de viande cuite. Le porc apporte aussi des vitamines, sa viande est réputée pour sa richesse en vitamines B1.
Haricots, fèves, lentilles, pois chiches… Ce sont des aliments naturellement riches en fibres et qui contiennent des protéines . Il est recommandé d'en consommer au moins 2 fois par semaine. Ils peuvent remplacer la viande de temps en temps.
Une viande savoureuse et riche en protéines
Le porc est une bonne source de fer qui contribue à maintenir son niveau d'énergie. Le zinc, vitamine présente dans la viande de porc, favorise le bon fonctionnement du système immunitaire, protège des infections et favorise la cicatrisation.
Cette réputation ne doit rien au hasard. En Argentine, toute la production de viande bovine est soigneusement supervisée du champ à l'assiette. Les vaches sont contrôlées et sélectionnées avec le plus grand soin. Seuls les spécimens bénéficiant d'une bonne lignée seront sélectionnés.
Il est riche en potassium et en zinc. Son apport en fer est moindre comparé à la viande rouge, il s'agit toutefois de fer bien assimilable. Enfin, le veau apporte des vitamines du groupe B, en particulier PP (B3) et B12 : selon le morceau, 100 g représentent jusqu'à 50 % de l'apport quotidien conseillé en vitamine PP.
Il est recommandé d'éviter la consommation de viande crue ou peu cuite (viande hachée de cheval ou de bœuf, steak tartare, barbecue sans cuisson à cœur, viande de volailles pas suffisamment cuite…) en particulier par les personnes sensibles : jeunes enfants, femmes enceintes et personnes âgées ou immunodéprimées.
Les viandes blanches késako ? Les viandes blanches sont celles provenant des volailles (poulet ou dinde) et du lapin. Elles sont considérées comme des alliées importantes d'une alimentation saine. Leur teneur en matières grasses est plus modérée que celle des viandes rouges et leur taux en protéines varie.
La consommation de viande rouge est classée comme probablement cancérogène pour l'homme (groupe 2A), notamment en ce qui concerne le cancer colorectal, du pancréas et de la prostate. Les viandes transformées ont, quant à elles, été classées cancérogènes pour l'homme (groupe 1).
Préférer les morceaux de veau et de bœuf les plus maigres (tende de tranche ou rumsteck) pas plus de trois à quatre fois par semaine (soit environ 500 g), et éviter les charcuteries et les viandes les plus grasses : principalement le porc, à l'exception du jambon blanc découenné, dégraissé, l'agneau et le canard.
Avec une moyenne de 18 % de teneur en protéines, la viande est un excellent apport en protéines. Le vainqueur toute catégories est le flanchet de bœuf (30 % de protéines) suivi de près par le faux filet de bœuf.
Il existe pourtant une nuance entre les deux dénominations : alors que le mot « porc » se réfère avant tout à la viande, le terme « cochon » désigne plutôt l'animal de façon générale. Sur un plan technique, d'autres termes sont employés pour désigner les différentes catégories d'animaux.
Le Programme National Nutrition Santé recommande ainsi de ne pas manger du poisson tous les jours : deux fois par semaine suffiraient. Pourquoi ? Bien que le poisson soit source de protéines et qu'il reste en général moins gras que la viande, il contient également moins de fer.
Riche en vitamines du groupe B, à l'origine du métabolisme des lipides, glucides et protéines, le poulet agit sur les systèmes nerveux et contribue au bon fonctionnement général de l'organisme. En outre, il permet de conserver une peau saine et en bonne santé.
D'après les directives officielles de la pyramide alimentaire, les personnes en bonne santé peuvent sans problème manger jusqu'à 6 œufs par semaine. On compte alors votre œuf du petit déjeuner, mais également les œufs qui se trouvent dans votre quiche, la mayonnaise, votre biscuit ou morceau de cake.
Les scientifiques et les agences sanitaires incluent dans la viande rouge toutes les viandes à l'exception des volailles.
Une viande rouge
Si le canard est classé parmi les volailles, tout comme la dinde et le poulet, sa chair est pourtant rouge.