Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche, affirmation récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
Le journal est classé à gauche, avec une ligne « sociale-démocrate », ouverte à « toutes les gauches ». En 2020-2021, il était diffusé chaque semaine à près de 200 000 exemplaires (diffusion payée). Il est propriété à 99 % de la société Le Monde libre qui possède la majorité du capital du Groupe Le Monde.
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
L'émission est tournée sur le plateau 3 des Studios Rive Gauche d'AMP Visual, plateau précédemment occupé par Nulle part ailleurs puis Le Grand Journal.
Radio : La tendance politique des auditeurs de France Inter est fortement ancrée à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, d'Europe 1 et de BFM Business est orientée à droite.
Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
Depuis les années 1980, gauche et droite semblent se définir en France par consensus sur la devise nationale : la droite mettrait l'accent sur la liberté à qui elle donne priorité sur l'égalité, et la gauche donnerait priorité à l'égalité sur la liberté.
Il est aujourd'hui édité par la Société du Figaro, détenue par le groupe Figaro, lui-même propriété du groupe Dassault. Sa ligne éditoriale est de droite gaulliste, libérale et conservatrice, selon le spectre politique français habituellement utilisé.
La ligne éditoriale de Brut est jugée comme « se voulant progressiste » par Le Monde et comme « s'adressant aux jeunes gens partageant une vision progressiste de la société » par Les Échos.
Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. » À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes. À partir de 2004, 20 Minutes est présent à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux.
Politiquement indépendant, il est souvent proche des idées du centre gauche.
Depuis le 16 mars 2020 très exactement, l'émission présentée chaque soir par Yann Barthès sur TMC n'accueille effectivement plus de public. Un choix fait au plus fort de la crise du Covid-19, alors que l'épidémie avait poussé la plupart des chaînes à ne plus accueillir de personnes extérieures sur leurs plateaux.
Depuis septembre 2016, Yann BARTHES présente QUOTIDIEN, du lundi au vendredi à 19h20, sur TMC. La politique française et internationale, la culture, le sport, les people…
En 2005, la préfecture de la région Bretagne passe ainsi commande de quatre articles au journal. La ligne éditoriale du journal s'infléchit dans les années 1990 : de démocrate-chrétienne, elle devient plus conservatrice, l'humanisme et le progressisme laissant place à un ralliement net aux thèses libérales.
La Tribune se veut pluraliste et tournée vers l'enquête. Moins langue de bois que le concurrent Les Échos : « Nous avons choisi le titre de La Tribune parce que ce devait être un lieu où tous les points de vue pouvaient s'exprimer, de gauche comme de droite », se souvient Jean-Michel Quatrepoint.
D'après le mensuel CQFD, la radio diffuse des « discours identitaires féroces » et banalise les idées d'extrême droite : André Bercoff, noyau dur de la radio et « collaborateur des sites fachosphériques », « distille à longueur d'ondes les thèses favorites de l'extrême droite ».
Cependant usuellement, les valeurs suivantes sont considérées comme étant caractéristiques de la droite : liberté, hiérarchie, ordre, sécurité, tradition, conservatisme ; par opposition, les valeurs suivantes sont généralement considérées comme étant de gauche : égalité, solidarité, progressisme, insoumission, etc.
De nos jours, les partis de gauche se rassemblent généralement dans la promotion d'idéaux progressistes et d'égalité, la critique de l'ordre social et le souci d'une plus grande justice sociale. Elle comprend la social-démocratie, le radicalisme, le socialisme, le communisme et certains courants de l'anarchisme.
Parmi les idées caractéristiques des mouvements classés à l'extrême droite, ont figuré à titres divers notamment l'antiparlementarisme, l'islamophobie, l'antisémitisme, le nationalisme ou bien encore l'homophobie et le sexisme chez certaines personnes.