Il n'existe aucune loi nationale imposant une surface minimale du terrain lors de la construction d'une maison. Concrètement, cela signifie que vous pouvez prévoir de construire sur un terrain de 100 m² ou moins selon la commune, mais la surface de la maison que vous ferez construire devra être prévue en conséquence.
Les projets avec une déclaration préalable de travaux
Une nouvelle construction doit être supérieure à 5m2 et inférieure à 20m2 (emprise au sol et surface de plancher). En cas d'extension, si votre projet se trouve dans une Zone Urbaine d'un PLU, elle doit faire entre 5m2 et 40m2 (emprise au sol et surface de plancher)
Le prix moyen du m2 de terrain constructible dans les villes secondaires est situé entre 70 et 150 euros ; Les régions les plus recu-lées ou rurales peuvent enregistrer un prix au m2 terrain constructible entre 30 et 50 euros.
La surface constructible est la surface d'un terrain sur laquelle il est autorisé de construire. Elle définit la valeur de votre terrain. La surface de plancher est, quant à elle, la surface de tous les niveaux construits, clos et ouverts dont la hauteur est supérieure à 1,80 m.
Quel prix pour réaliser un bornage ? Si vous souhaitez recourir aux services d'un géomètre expert pour réaliser le bornage de votre terrain, il vous en coûtera en moyenne 500 à 2 000 €. Ce prix très variable d'un professionnel à l'autre, est déterminé par différents facteurs, à commencer par la complexité du bornage.
Il est tout à fait possible de construire plusieurs logements sur un même terrain sans le diviser au préalable en parcelles. Toutefois, il est vivement conseillé de procéder à une division parcellaire avant d'entamer les travaux afin d'éviter des désagréments ou litiges futurs.
La loi française n'indique pas de largeur minimum pour l'accès à un terrain constructible, mais celle-ci doit être suffisante pour permettre le passage des véhicules. Si le chemin de passage est destiné à desservir une maison individuelle, la largeur à prévoir est d'environ 3 mètres.
Au côté du PLU, pour savoir si votre terrain est constructible ou non, vous pouvez vous référer au certificat d'urbanisme de la commune dont dépend la parcelle. Il s'agit d'un document d'information qui vous permet d'être renseigné sur : les règles d'urbanisme applicables à un terrain donné
Les règles d'urbanisme locales, déterminées le plus souvent à l'échelle communale, permettent de déterminer la constructibilité ou non d'une parcelle. Il faut se référer au PLU, au certificat d'urbanisme ainsi qu'au cadastre pour vérifier qu'un terrain est constructible.
Au petit jeu de la région où la terre est la moins chère, on retrouve… le Limousin. Le terrain constructible s'établissait en moyenne à 21,2 euros le mètre carré en 2018.
Quel est le prix d'un terrain non constructible et non viabilisé ? On estime que le prix au m² d'un terrain non constructible varie entre 1 € et 10 €.
Qui règle la note ? C'est au propriétaire du terrain, qu'il s'agisse d'un particulier, d'un lotisseur ou d'un promoteur immobilier, d'entreprendre les démarches de viabilisation. Il doit aussi prendre en charge le coût des travaux et coordonner la réalisation de ceux-ci lorsqu'ils font intervenir plusieurs entreprises.
Si certaines constructions ne sont pas conformes aux règles d'urbanisme, vous aurez à les modifier. Pour échapper aux différentes sanctions civiles et pénales, prenez conseil auprès d'un avocat expert en droit immobilier ou un avocat spécialisé en permis de construire pour régulariser vos travaux.
Elle fait plus de 150 m²
Vous êtes obligé de recourir à un architecte quand vous construisez un bâtiment autre qu'agricole, comme une maison individuelle, dont la surface de plancher : Unité de calcul des surfaces des constructions servant à la délivrance des autorisations d'urbanisme est supérieure à 150 m².
Consulter le certificat d'urbanisme
C'est la première chose à faire pour savoir si un titre de parcelle est constructible. Le certificat d'urbanisme permet de connaître la zone dans laquelle se situe votre terrain.
Comment rendre un terrain agricole constructible ? Si le document local d'urbanisme ne vous autorise pas à construire sur votre terrain agricole, l'autre solution est de demander son déclassement. Pour cela, vous devez vous rapprocher de votre commune qui est en charge de la gestion du changement de zonage.
Pour savoir si votre terrain est piscinable, la première chose à faire est de se rapprocher de la Mairie de votre commune afin d'obtenir un Plan Local d'Urbanisme (PLU). Celui-ci vous est fourni gratuitement, et définit les règles applicables à votre terrain en fonction de sa localisation.
En général, un terrain de petite surface entraîne une emprise au sol réduite, on privilégie donc la construction d'une maison à étage.
En zone rurale ou périurbaine, il est possible d'appliquer une proportion d'un cinquième : pour une maison de plain-pied d'une surface de 100 m², il est ainsi recommandé d'opter pour un terrain de 500 m² minimum. Cette surface peut bien sûr être réduite de moitié si vous désirez une maison à étage.
Pour ériger un chalet en bois habitable sans permis de construire vous devrez opter pour une surface de plancher inférieure ou égale à 40 m² dans une zone régie par un Plan Local d'Urbanisme, ou 20 m² dans le cas inverse. La hauteur du chalet habitable doit quant à elle être inférieure à 12 mètres.
En effet, sont autorisés sur ces terrains non constructibles les constructions nécessaires à une exploitation agricole : hangar, grange pour l'élevage, logement saisonnier... Attention cependant, le code de l'urbanisme impose, pour cela, d'avoir le statut d'agriculteur.
Aucune loi ne vous interdit de transformer une partie de votre logement en appartement, de louer une chambre chez vous ou encore de construire une annexe dans votre jardin afin de la louer.