La roue du dharma est caractérisée par huit rayons. Chacun de ces rayons représente le chemin octuple. Ce chemin octuple est considéré comme la voie de l'illumination.
Dans le bouddhisme, les symboles sont la conque, le parasol, les poissons, l'urne, la roue, la bannière, le lotus, le nœud. Ils furent offerts par les devas au Bouddha lors de sa naissance en reconnaissance de sa « royauté ».
Le Dharmachakra (धर्मचक्र (dharmacakra)), la « Roue du Dharma » ou « Roue de la Loi », est un symbole représentant la doctrine bouddhiste et la diffusion de l'enseignement du Bouddha sur le chemin de l'éveil, depuis le début de la période du bouddhisme indien. C'est un des huit symboles auspicieux.
Le Dharma est la voie enseignée par le Bouddha. Il se manifeste sous deux formes : les enseignements consignés par écrit et la réalisation de grands maîtres grâce à leur pratique. Le Bouddha à travers son enseignement nous indique le chemin de la libération de toute forme de souffrance.
La quatrième noble vérité est celle du chemin (magga) menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est le « noble sentier octuple »: la vision juste, la pensée juste, la parole juste, l'action juste, les moyens d'existence justes, l'effort juste, l'attention juste et la concentration juste.
Le nom de bonze, d'origine japonaise (bonzo), signifie prêtre ; il désigne avant tout les religieux bouddhistes de certains pays d'Extrême-Orient : Chine, Japon, Vietnam — quoique l'usage du terme tende à se généraliser en Occident, où on l'applique notamment aux communautés bouddhistes de Ceylan, de Birmanie, de ...
Le karma n'est pas irréversible et peut-être modifié par une bonne conduite et la grâce divine. La course des actions est une traduction pour le mot karma. Dieu, Waheguru, agit par sa volonté sur nos actions.
Par exemple, dans le jñāna yoga, il existe trois types de karma : Saṃcita-karma : c'est la réserve de karma qui englobe tout le karma qui a été créé dans nos vies antérieures. Prārabdha-karma : c'est le karma ayant déjà commencé à fructifier et qui est la cause de notre naissance.
“Le karma c'est un mot sanskrit qui veut dire “action”. Selon les enseignements bouddhistes, c'est un cas particulier de la loi de cause à effet, dans laquelle toutes nos actions sont des causes, et toutes nos expériences sont des effets de ces causes.
Le trèfle à quatre feuilles, un incontournable parmi les symboles qui portent chance. Et si l'on allait faire un tour du côté de l'Irlande ? Le troisième élément de bon augure n'est autre que le fameux trèfle à quatre feuilles. Nul doute que vous en avez déjà entendu parler comme symbole de chance suprême !
L'ânkh (en hiéroglyphes égyptiens : ☥), également connue sous les différentes appellations de croix ansée, croix de vie, clé de vie, croix égyptienne, croix du Nil, est un hiéroglyphe représentant le mot ˁnḫ, qui signifie « vie ». Il était utilisé par les Égyptiens pour symboliser la vie.
Colibri : Symbole de la vie et de la joie, beauté, agilité, amour.
Intimement liée à Aphrodite, la rose représente l'amour éternel. Elle est un fort symbole de passion et de beauté. Offrir cette fleur à quelqu'un signifie tout simplement un fort attachement. C'est une façon de dire à quel point on aime une personne et qu'elle compte plus que tout à nos yeux.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
Om (ou Aum ॐ) est un des symboles les plus sacrés de l'hindouisme : il est utilisé comme préfixe et parfois suffixe aux mantras hindous. Il est considéré comme la vibration primitive divine de l'Univers qui représente toute existence ; ainsi : « La syllabe Om est Brahman. (...)
Le nettoyage karmique permet d'attirer les ondes positives
Vous avez tellement de pouvoir dans votre vie pour créer de bonnes et de mauvaises expériences. La plupart des individus ont fait de mauvais choix au détriment des sentiments de quelqu'un d'autre, qu'ils ont regrettés par la suite.
Le Karma, c'est cette force invisible qui découle de notre comportement et de nos actions. Le principe est simple: l'énergie que vous avez émise en réalisant une action positive ou négative à un moment donné, reviendra à vous tôt ou tard. Karma est un mot issu de la mythologie hindoue qui signifie: “action”.
Voici comment procéder pour calculer son karma et connaître son chemin de vie : Convertissez votre date de naissance en chiffres : 12 octobre 1968 ↦ 12/10/1968. Additionner les chiffres votre date de naissance : 1+2+1+0+1+9+6+8 = 28.
Dans cette chaîne infinie, trois types de karma peuvent être distingués : le karma passé ( Sanchit Karma ), le karma présent ( Prarabdha Karma ) et le karma futur ( Agami Karma ).
Il s'agit de prendre sa part de responsabilité, de regarder à l'intérieur de soi... Il est conseillé de cultiver la gratitude, de remercier et de choisir d'avoir des actions très positives pour essayer de réparer ses erreurs passées.” Bonne nouvelle, rien n'est écrit et personne n'est obligé de subir un mauvais karma.
Le Dharma donne la loi d'existence, le Karma est la façon dont cette loi se met en marche. Il s'agit d'un principe qui va réguler les échanges. Puisque chaque action en entraîne une autre, il s'agit d'échanges. Si les échanges sont harmonieux, ils exprimeront le Dharma, c'est-à-dire la loi de la chose, le principe.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Dans la plupart des pays d'Asie, les robes safran des moine bouddhistes sont depuis des siècles réservées aux hommes. Autrefois pourtant, le statut de moine était ouvert aux deux sexes : les hommes devenaient bhikkhus et les femmes bhikkhunnis.
L'orange a été choisi principalement en raison de la teinture disponible à l'époque. La tradition est restée et l'orange est aujourd'hui la couleur de prédilection des adeptes du bouddhisme Theravada en Asie du Sud-Est, par opposition à la couleur marron des moines tibétains.