1On appelle « Règle d'or » en philosophie morale la maxime d'action qui repose sur une logique de réciprocité et d'équivalence entre des sujets supposés substituables. Il y a réversibilité ou réciprocité entre ce que fait l'un et ce qui est fait à l'autre, entre l'agir et le subir.
La Règle d'or est une éthique de réciprocité dont le principe fondamental est énoncé dans presque toutes les grandes religions et cultures : « Traite les autres comme tu voudrais être traité » ou « Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse ».
La règle de morale a pour but de nous dire ce qui est juste, et aussi ce qui doit être fait par chacun de nous au-delà de la justice, sur le terrain de la charité. La règle de droit, elle, a pour but à la fois d'obliger à respecter ce qui est juste, sans pouvoir dépasser la justice, et de nous donner la sécurité.
La différence essentielle est que les règles de droit, qui ont un caractère obligatoire, sont assorties de sanctions par la puissance publique. La sanction morale n'est, en effet, pas suffisante pour empêcher l'infraction et obliger l'auteur à réparer les conséquences de ses actes.
On appelle règle un principe supposé diriger le raisonnement ou la conduite; la signification en est fondamentalement normative, que la fin en soit le vrai ou juste, quelque place qu'elle occupe dans le vaste champ des valeurs.
Une théorie morale peut tomber sous cette qualification pour trois motifs correspondant à autant de propriétés de la moralité : soit elle en affaiblit l'autorité en affirmant qu'il peut être raisonnable de ne pas toujours respecter ses injonctions, soit elle atténue la rigueur de la moralité en soutenant que ses ...
C'est une recherche de la vérité qui est guidée par un questionnement sur le monde, la connaissance et l'existence humaine. Elle existe depuis l'Antiquité en Occident et en Orient, à travers la figure du philosophe, non seulement en tant qu'activité rationnelle mais aussi comme mode de vie.
Notre vie morale consiste, à la base, en une préoccupation pour la distinction entre le bien et le mal. Elle est faite de sentiments et de jugements, de même que des standards auxquels ils se rapportent et des actions qu'ils motivent.
Le droit n'est pas radicalement séparé de la morale. A priori, le droit et la morale ne se confondent pas. La morale résulte de la conscience individuelle, elle se rapporte à la personne, à l'individu. Le droit se rapporte au bien commun, il a pour objet d'organiser la vie en société en fixant des règles communes7.
Le don de soi, la tolérance, le respect, la loyauté, la discipline, la noblesse sont des exemples de valeurs morales.
D'autres types de morales
Eudémonisme : le but de l'action est la recherche du bonheur. Pessimisme : en moral, consiste à penser que le mal l'emporte sur le bien, l'homme est donc condamner à mal agir. Hédonisme : Le bonheur est le plaisir immédiat, jouissance. Stoïcisme : le destin régit la morale.
Socrate, père de la philosophie morale !
1. Ensemble de règles de conduite. Synonyme : bonnes mœurs, honnêteté, moralité, probité, vertu.
Le respect des règles de sécurité doit être ancré dans la conscience chaque jour et en permanence. Il ne suffit pas d'organiser un atelier une fois par an puis de ne plus en parler. Au lieu de cela, la mise en œuvre de règles de sécurité doit devenir une habitude pour tous les employés – et cela exige de la pratique.
Règles de sécurité
Les principales exigences liées à la sécurité ont pour objectif : de prévenir les risques d'accidents du travail et les maladies professionnelles ; de prévenir les dysfonctionnements des installations et équipements pour éviter qu'ils ne soient la cause d'accidents ou d'incidents.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
C'est la justice des choses, en d'autres termes la sanction physique ou naturelle de la loi morale. En outre, la société punit et récompense et cela de deux manières, soit par les honneurs et les châtiments, soit par l'estime et le mépris publics.
La justice désigne avant tout une valeur, un idéal moral et un concept philosophique. Elle est à la fois instinctive (le sentiment d'injustice ou de justice s'impose à nous) et complexe (il est impossible de définir abstraitement les critères du juste).
Si l'on entend par morale un discours rationnel et systématisé sur ce qu'il est permis de faire ou non, en effet. On parlera de morale stoïcienne, de morale chrétienne, de morale kantienne, etc. L'éthique se veut au contraire une réflexion en mouvement. La force de la morale, c'est sa cohérence interne.
La moralité d'un acte ne repose que sur la moralité de son agent, autrement dit sur ses intentions. Elle ne peut en aucun cas être estimée au vu de son résultat, car si le résultat de l'action suffisait à prouver la valeur morale d'un acte, les pires intentions pourraient être louées de façon injuste et inconsidérée.
La moralité s'est constituée à partir et contre cet obstacle fondamental, qui ne cesse d'entraver le passage de l'indifférence (voire de l'hostilité) à la coopération. Cet obstacle naturel favorise de manière évidente des dynamiques d'exclusion qui sont autant de nouveaux obstacles au progrès moral.
Socrate est condamné à mort par le tribunal de l'Héliée, à Athènes, en 399 avant J. -C. Plusieurs amis de Socrate proposent de le défendre, mais il refuse leur aide. Acceptant la sentence, bien que se défendant de l'accusation d'impiété, il boit volontairement la ciguë.
Phénarète ou Phaenarete (en grec ancien : Φαιναρέτη / Phainarétē) est la mère du philosophe athénien Socrate et de son demi-frère Patroclès.