Règle : pour soustraire un nombre, il faut additionner son opposé. Exemples : (–13) – (–9) = (–13) + (+9) = – 4 On transforme la soustraction en addition et on prend l'opposé de –9 qui est +9.
Faire une soustraction est une opération mathématique très simple. Il s'agit de calculer la différence entre deux nombres. Pour ce faire, il est nécessaire de prendre le second nombre et de le soustraire du premier. La formule est donc : Résultat = Nombre 1 - Nombre 2.
- La soustraction n'est pas commutative. - La différence de deux nombres égaux est égale à zéro. Si la différence de deux nombres est égale à zéro, alors ces deux nombres sont égaux. - Si on ajoute le même nombre aux deux termes d'une soustraction, la différence reste la même.
Cela vous aide à visualiser quel nombre contient quel chiffre. Pour poser une soustraction, le principe est le même que pour une addition. Nous écrivons d'abord le premier nombre. Ensuite, on aligne, de la droite vers la gauche, chaque chiffre du deuxième nombre avec ceux du premier.
La soustraction est l'addition d'un nombre négatif.
Si l'on additionne un nombre positif et un nombre négatif, cela revient à diminuer le nombre positif. On enlève (soustrait) le nombre d'unité que représente le nombre négatif.
Pour l'addition et la soustraction, l'élément neutre est 0 alors que pour la multiplication et la division, l'élément neutre est 1.
Dans une opération, la première chose à faire est de faire les calculs entre parenthèses. ex: (2+3)×4 vous devez forcément faire 2+3 en premier. Après les calculs entre parenthèses, il faut faire les multiplications et les divisions en premier.
Additionner. Si les nombres sont proches les uns des autres, les élèves peuvent simplement « compter vers le haut » du nombre à soustraire (soustraction) au nombre entier (soustraction). Cette méthode fonctionne mieux avec les nombres à 10 chiffres près, comme 456 et 459 ou 21 et 27.
La multiplication et la division sont prioritaires sur l'addition et la soustraction ; Dans les parenthèses, on effectue les multiplications et divisions de gauche à droite. Même chose ensuite pour les additions et soustractions.
Le terme reste est parfois utilisé pour désigner le résultat d'une soustraction. Dans un tel cas, on devrait plutôt utiliser le terme différence.
on commence toujours par les calculs entre parenthèses, puis les puissances, les multiplications ou les divisions et enfin pour terminer les additions ou soustractions.
La soustraction : technique
On écrit le plus grand nombre au-dessus et au dessous le nombre qu'on retranche. Exemple : On commence par soustraire les unités ; on enlève 2 unités à 3 unités il reste 1unité. On soustrait ensuite les dizaines.
Soustraire des nombres de même signe ou des nombres de signes différents. Soustraire un nombre c'est ajouter son opposé. Pour soustraire 7 on ajoute −7 , et pour soustraire −3 on ajoute 3.
Au cycle 2, il va ainsi se familiariser aux opérations d'addition, de soustraction, puis de multiplication.
Une règle à calculs est composée de trois réglettes dont une coulisse entre les deux autres. En faisant coïncider la graduation 1 de l'une et la graduation 2 de l'autre, puis en alignant le curseur sur la graduation 5 de la première, on lit le résultat de la multiplication 2 x 5 sur la seconde.
Règles de priorité
Pour calculer une expression numérique sans parenthèses, on effectue les calculs de la gauche vers la droite, en commençant par les multiplications et les divisions qui ont priorité sur les additions et les soustractions.
1489 : Le mathématicien allemand Johann Widmann d'Eger introduit les signes + et - pour exprimer l'addition et la soustraction. Auparavant, on utilisait les lettres p (piu) et m (minus).
La soustraction ne satisfait pas la définition de la commutativité : Une loi de composition interne ⋆ sur un ensemble E est dite commutative si et seulement si, pour tout a∈E et tout b∈E, a⋆b=b⋆a. Puisque 3−2≠2−3 dans Z, la soustraction dans Z n'est pas commutative. Point.
Dans la colonne des dizaines, on compte une retenue en bas et on soustrait 8 - (3 + 1). Pour poser correctement une soustraction en colonnes, il faut placer les nombres les uns au-dessous des autres en veillant à mettre les unités sous les unités et les dizaines sous les dizaines.
Pour additionner deux nombres relatifs de signes contraires, on soustrait la plus petite distance à zéro de la plus grande et on prend le signe de celui qui a la plus grande distance à zéro. Exemple 1 : Effectue l'addition suivante : A = (– 7) + (– 3).
Pour soustraire la technique n'est pas si différente. Il suffit simplement de faire l'inverse. 9 c'est toujours un de moins que 10 donc si je dois soustraire 9 à 37 par exemple, alors je peux faire 37 – 10 + 1 = 27 + 1 = 28.
2 nombres relatifs de signes identiques
Dans ce cas, le signe du résultat de l'addition ou de la soustraction est toujours le même que le signe des 2 nombres. Si les 2 nombres relatifs ont le même signe, le signe de la réponse est identique. Dans le 1er calcul, les 2 nombres relatifs sont positifs.