Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
Les réponses possibles sont légion : le sens de la vie, c'est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d'atteindre 50 ans… Comment s'y retrouver ?
La vie est un phénomène naturel observé uniquement sur Terre. La vie se manifeste à travers des structures matérielles appelées organismes vivants, ou êtres vivants, reconnaissables par la grande complexité de leur structure interne et leur activité autonome.
Ensemble des événements et des activités qui constituent le cadre et le contenu d'une existence, sur le plan individuel ou collectif. Ensemble des éléments qui donnent de la valeur à l'existence humaine.
Caractère propre aux êtres possédant des structures complexes (macromolécules, cellules, organes, tissus), capables de résister aux diverses causes de changement, aptes à renouveler, par assimilation, leurs éléments constitutifs (atomes, petites molécules), à croître et à se reproduire.
C'est le sentiment d'être en adéquation avec les aspirations profondes qui nous animent, et qui nous permettent de guider notre vie dans la direction que nous désirons. Les valeurs que nous choisissons comme guident sont des sources de bonheur et de satisfaction toujours disponibles.
La mort n'a pas de sens. Elle met fin à une vie. C'est la commune destinée de chaque individu. Il n'y a que la vie qui peut avoir un sens.
L'existence est aussi le mouvement par lequel la conscience se dépasse elle-même vers les objets qu'elle vise. Le préfixe « ex » peut être compris en un sens dynamique et non pas seulement statique : il signifie la visée de la conscience qui sort de soi-même pour se rapporter à des objets.
La vraie vie consiste à faire ce que vous aimez, en y impliquant tout votre être, pour qu'il n'y ait aucune contradiction interne, pas de guerre entre ce que vous faites et ce que vous croyez devoir faire.
La vie nous donne les amis et les ennemis qu'on mérite. Ce qui est le plus important dans la vie, c'est de donner à quelqu'un un peu de bonheur. Le sens de la vie c'est apprendre toujours, apprendre et transmettre parce que transmettre c'est donner, donner c'est aider, aider c'est avancer, avancer c'est grandir.
On trouve nos vies complexes parce qu'on ne vit pas dans le moment présent. Quand on vit un problème, on se passe mentalement les étapes pour le régler en boucle, on entre en contact avec les efforts nécessaires, on se sent envahi, les étapes s'entremêlent et là, ça devient complexe.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
Définition "bon sens"
n.m. Attitude de qui privilégie le réel, agit avec pragmatisme selon son appréciation de la réalité. Disposition de l'esprit à juger avec clarté.
Les philosophes et la mort:
Du latin mors, la mort s'entend comme la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Si cette définition nous est connue de tous, elle peut être élargie. En effet, dans son sens médical, elle correspond à la fin des fonctions du cerveau définie par un électro-encéphalogramme plat.
Vous croyez vraiment que des humains en vie aujourd'hui pourront échapper à la mort? Ce n'est pas certain, mais c'est très probable. J'estime à au moins 50% les chances que, d'ici 25 à 30 ans, de nouvelles technologies parviennent à minimiser les effets néfastes du vieillissement sur le corps.
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
L'angoisse de mort existentielle correspond au malaise qui s'empare de chaque personne devant sa condition mortelle. Elle apparaît vers 7 ou 8 ans chez l'enfant. C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie.
Qui sait si la vie n'est pas la mort et si ce n'est pas la mort [...] - Euripide.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
On dit toujours que la vie est injuste, mais la mort l'est encore davantage, le mourir en tout cas . Certains souffrent et d'autres passent comme dans un soupir. La justice n'est pas de ce monde mais elle n'est pas de l'autre non plus.
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».