Les Indiens constituent la race dite américaine, ou plutôt les quatre races américaines, qui se sont formées probablement sur place.
En Inde, un des critères de beauté le plus convoité est celui de la peau claire. Ce qui assez paradoxal étant donné que la majorité des indiens ont la peau mate à foncée.
Parmi les principales ethnies, on distingue les Hindi, les Ourdous, les Bengali, les Marathes, les Assamais, les Sindhi, les Oriya, les Panjabi, les Cachemiriens (Kashmiri), les Népalais (Népali), les Télougous, les Tamouls, les Kannada et les Malayalam.
En 1989, les 73e et 74e amendements constitutionnels attribuent des quotas réservés à d'autres sections défavorisées de la population, les Other Backward Classes, soit les castes les plus basses, des shudra.
On associe souvent les castes en Inde au modèle des quatre "varna" (ou "couleurs") du système brahmanique : les Brahmanes (prêtres), les Kshatriyas (guerriers), les Vaishyas (commerçants), et enfin les Shudras (travailleurs manuels) auxquels s'ajoutent les Dalits (hors-castes ou Intouchables) qui représentent le 1/5e ...
Le terme « Siddi », par lequel sont désignés et s'auto-désignent la majorité des descendants d'Africains en Inde, illustre bien cette catégorisation. Pour les Siddi comme pour le reste de la société indienne, « Siddi » est une caste (jāti, litt.
Les nobles (horon)
Ces trois groupes sont appelées horon ou horo en mandingue par opposition aux gens de castes, les nyamakalan. les massalen (nobles). Ils sont au sommet de la hiérarchie.
Il symbolise la paix et la pureté. En Inde, le blanc est la couleur du deuil. Lors d'un enterrement, chacun doit venir habillé de blanc, et les veuves revêtent également cette couleur tout le long de leur deuil.
Le terme « dalit », d'origine marathi, peut se traduire par "opprimé". Il désigne les populations "hors castes" considérées par la tradition brahmanique comme "intouchables", en deçà d'une barrière d'impureté qui les exclut des quatre varna.
En Inde, les intouchables sont les membres d'un groupe en dehors du système des castes, système qui organise la société indienne. La pureté est le critère d'exclusion d'origine religieuse lié à l'hindouisme.
De la préhistoire à la plus grande dynastie de l'Inde
Cette civilisation est la toute première, elle est surnommé la civilisation de l'Indus et remonterait entre 2 500 et 1 600 avant J.C. Vers 1 500 avant J.C, le peuple des Aryens en provenance d'Asie Centrale, s'installe dans la vallée de l'Indus.
Les Anasazis sont les ancêtres des actuelles tribus indiennes qui vivent dans les pueblos du sud-ouest des Etats-Unis, dans la région des Four Corners située entre l'Utah, le Colorado, le Nouveau-Mexique et l'Arizona.
Mentionnons qu'autrefois, on désignait les habitants et habitantes de l'Inde par Hindous et Hindoues; cet usage est aujourd'hui désuet. Conformément aux rectifications de l'orthographe de 1990, on peut aussi écrire hindou et les mots de la même famille sans h : indou, indouiste, indouisme.
Les rituels de beauté capillaires des indiennes
Elles doivent la beauté de leur chevelure à leur rituel de soin, traditionnellement composé de bains de différentes huiles et poudres végétales : Le henné, par exemple, a une place de choix dans les routines de soin indiens.
Quelque 82% des Indiens interrogés affirment «aimer» la France. Ce sont les plus grands fans de l'hexagone. Pour eux, le pays est avant tout «cultivé, intelligent et créatif». Ils estiment que le rayonnement français est avant tout culturel.
Contrairement aux légendes urbaines et aux idées reçues selon lesquelles les femmes indiennes naissent toutes avec des cheveux longs, lisses et épais, de nombreuses indiennes ont aussi des cheveux fins et cassants. Pour épaissir les cheveux, elles peuvent utiliser du blé.
Singh est un nom de famille d'origine indienne souvent assimilé aux Sikhs. Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ».
La Fifa a décidé de suspendre la Fédération indienne de football avec effet immédiat à cause d'interférences politiques dans le fonctionnement de l'instance. Le Mondial U17 féminin, qui devait se tenir en Inde en octobre, n'aura pas lieu.
Le 15 août 1947, la Couronne britannique abandonnait son joyau le plus précieux en accordant son indépendance à l'Inde et au Pakistan. Après deux jours de négociations, les responsables britanniques et indiens décident de diviser leur ancien territoire en deux : l'Inde et le Pakistan.
Ce symbole était censé apporter au guerrier une grande puissance, mais surtout une vitesse surhumaine. Les empreintes de mains sur le visage, mais aussi sur la poitrine et les autres parties du torse, signifiaient que le guerrier avait vaincu son adversaire avec bravoure et honneur dans un combat corps à corps.
Le tikka, teeka ou teekka est une marque portée sur le front par certains hindous. Les hindous, hommes ou femmes, portent parfois une marque sur le front, un point, un trait ou des lignes de couleur rouge, noire, ou gris cendre.
Le « point rouge » qu'on appelle « pottu » ou « bindi » est un point coloré que les femmes indiennes portent sur le front, entre les sourcils. Le pottu symbolise le troisième œil, l'œil de la connaissance selon les hindous. De nos jours, le pottu est devenu un accessoire de beauté.
Pour avoir la certitude d'avoir des ancêtres nobles, les bibliothèques et les archives départementales ainsi que d'autres structures comme les archives nationales et la Bibliothèque Nationale de France sont à votre disposition.
Les armoiries sont « les signes héraldiques qui figurent sur l'écu d'une ville, d'une famille, d'une confrérie ou encore d'une personne. Elles s'inscrivent dans le cadre d'un blason ». Si les armoiries se transmettent de descendant en descendant, elles n'appartiennent pas uniquement à des familles nobles.
Noblesse non consensuelle en France. Armynot du Chatelet, ancienne extraction 1495, Bourgogne, ANF (1948). Arnal de Serres (d'), Chambre des comptes de Montpellier 1720, Languedoc, ANF (1948). Arnaud de Vitrolles (d'), anoblie par charge en 1685, baron de l'Empire 1812, Dauphiné, ANF (1936).