Pandora possédait une boîte, connue aujourd'hui sous le nom de boîte de Pandore, qui contenait tous les maux du monde. On lui a dit de ne jamais ouvrir la boîte. Cependant, elle ne put s'empêcher d'y jeter un coup d'œil furtif et, après l'avoir ouvert, aurait déclenché tout le mal qu'il existe dans le monde.
Pandore apporta dans ses bagages une boîte mystérieuse que Zeus lui interdit d'ouvrir. Celle-ci contenait tous les maux de l'humanité, notamment la Vieillesse, la Maladie, la Guerre, la Famine, la Misère, la Folie, le Vice, la Tromperie, la Passion, l'Orgueil ainsi que l'Espérance.
Ainsi Pandore est représentée comme un « beau malheur ». Par ailleurs, Pandore, en ouvrant cette boîte, montre que la curiosité est un vilain défaut.
La boîte de Pandore protège les liens et les sujets qui sont en lien. Le mythe de la boîte de Pandore symbolise l'origine d'une catastrophe. Comme dans la Bible, la désobéissance (de la femme : Ève, Pandore) fait déverser sur l'humanité ce que protégeait l'interdit, ce qui devait rester inaccessible.
On lui interdit de l'ouvrir. Par curiosité, elle ne respecta pas la condition et tous les maux s'évadèrent pour se répandre sur la Terre. Seule l'espérance resta au fond du récipient, ne permettant donc même pas aux hommes de supporter les malheurs qui s'abattaient sur eux.
Pour se venger, Zeus ordonna à Vulcain de créer une femme faite de terre et d'eau. Elle reçut des Dieux de nombreux dons : beauté, flatterie, amabilité, adresse, grâce, intelligence, mais aussi l'art de la tromperie et de la séduction. Ils lui donnèrent le nom de Pandore, qui en grec signifie "doté de tous les dons".
Ce que l'on sait, c'est qu'il venait d'ouvrir un coffre sur lequel étaient inscrits en lettres rouges les mots "boîte de Pandore". Il a été retrouvé dans la chambre à coucher de la maison familiale située à Carlisle (Royaume Uni), raconte News & Stars.
Avant d'envoyer Pandore sur Terre, les dieux lui avaient remis une boîte, sans lui dire ce qu'elle contenait, et ils lui ordonnèrent de ne jamais l'ouvrir. Aux côtés de son époux, Pandore jouissait de la vie et savourait son bonheur.
Le premier geste de Pandore annonce le nouveau destin de l'humanité. Envahie par la curiosité, elle ne peut s'empêcher de soulever le couvercle d'une jarre qui contient tous les maux de la terre : peine, douleur, fatigue, maladie, famine, malheur...
Terme venant du grec ancien désignant la première femme. Aujourd'hui, cette expression familière est un synonyme de gendarme dont le travail consiste à faire régner l'ordre de manière autoritaire.
Prométhée, c'est ce titan de la mythologie grecque auquel sont associées deux images : le voleur de feu, et l'être souffrant cloué au rocher, et torturé par le vautour qui vient lui dévorer un foie qui renaît chaque jour.
Selon la mythologie grecque, Pandora était la première femme créée par le dieu Zeus. Elle a été créée pour punir l'humanité après que Prométhée eut volé le feu pour un usage destiné aux humains. Pandora possédait une boîte, connue aujourd'hui sous le nom de boîte de Pandore, qui contenait tous les maux du monde.
Déclencher une série d'événements successifs et désastreux.
Pandore est une figure de la mythologie grecque qui non seulement était la première femme, mais — en tant qu'instrument de la colère de Zeus — fut tenue responsable d'avoir libéré les maux de l'humanité dans le monde. Pandore était aussi le nom d'une toute autre déesse (de la terre) dans le panthéon grec archaïque.
La Boîte de Pandore est un roman d'anticipation et de science-fiction écrit par Bernard Werber, publié le 26 septembre 2018 aux éditions Albin Michel.
Le plan de Zeus est bien rodé : il offre la main de Pandore au frère de Prométhée, Epithémée et donne à Pandore elle-même la fameuse boîte – qui, en réalité, est une jarre – et lui interdit de l'ouvrir.
« Être médusé », c'est être stupéfait, sidéré, interloqué parce que l'on vient de voir ou d'entendre… En étant médusé, on est pétrifié, littéralement changé en pierre… et ce n'est pas étonnant ! Le verbe « méduser » vient du nom d'un personnage de la mythologie : Méduse, qui est l'une des trois Gorgones !
Les Olympiens ne pouvaient toujours pas régner paisiblement, car Gaia engagea les terribles et sauvages géants pour combattre Zeus dans ce qui fut appelé la Gigantomachie.
Fils du Titan Japet, Prométhée appartient à la lignée des « dieux antérieurs », vaincus par Zeus ; il va entrer en conflit avec lui…
Figure héritée du « transmetteur du feu », Prométhée est surtout connu pour avoir dérobé le feu sacré de l'Olympe pour en faire don aux humains.
L'histoire commence lorsque Zeus, s'ennuyant en haut de l'Olympe, lui demande de faire naître la vie. Prométhée confie la tâche à son frère mais celui-ci crée un homme trop faible pour survivre. Alors Prométhée, afin de donner aux créatures humaines la force de vivre, vole à Zeus un morceau de foudre, le feu sacré.
Pour punir Prométhée, Zeus le fit attacher, nu, sur le mont Caucase, pour que chaque jour un aigle vienne lui dévorer le foie, qui repousse sans cesse. Ce supplice dure sans espoir de délivrance, jusqu'au jour où Héraclès tue l'aigle de l'une de ses flèches et libère le condamné.
Littéraire. Outrance dans le comportement inspirée par l'orgueil ; démesure : Journalistes se défiant de l'hubris. 2. Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
Pour un méfait dont la nature nous est inconnue, Poseidon et Apollon ont été obligés par Zeus de servir un mortel comme ouvriers pendant un an. Les deux dieux entrent ainsi au service du roi de Troie, Laomédon, le père de Priam.