En 2021, 47,5 % des immigrés vivant en France sont nés en Afrique. 33,1 % sont nés en Europe. Les pays de naissance les plus fréquents des immigrés sont l'Algérie (12,7 %), le Maroc (12 %), le Portugal (8,6 %), la Tunisie (4,5 %), l'Italie (4,1 %), la Turquie (3,6 %) et l'Espagne (3,5 %).
Sur un total de 3 817 562 étrangers recensés en 2010, c'est la communauté portugaise qui se révèle être la plus importante : avec 495 454 immigrés, elle représentait, en 2010, 13% de la population étrangère vivant dans l'Hexagone.
En conséquence, les personnes d'origine maghrébine représentent 8,7 % de la population française des moins de 60 ans en 2011 et 16 % des enfants nés en 2006-2008 ont au moins un grand-parent maghrébin.
Globalement, dans Paris en 1982, le classement des différentes nationalités distinguées par l'INSEE par ordre d'importance est le suivant : en tête viennent les Autres nationalités (128 000 personnes), puis à égalité les Algériens et les Portugais (53 000), les Espagnols (35 000); viennent ensuite les Tunisiens, les ...
Nombre d'immigrés africains selon leur pays de naissance en France 2020. Ce graphique indique le nombre d'immigrés africains vivant en France en 2020, selon leur pays de naissance. 871.000 immigrés nés en Algérie vivaient en France en 2020, suivis de 819.000 immigrés originaires du Maroc.
France (658 000) Allemagne (412 000) Espagne (340 000) Italie (294 000)
La nationalité française arrive ainsi en tête du classement avec un score de 83,5%, juste devant la nationalité allemande et néerlandaise à égalité avec 82,8%. Le Danemark complète le podium (81,7%). D'autres grands pays sont loin derrière. Ainsi, le Royaume-Uni arrive huitième (80,3%).
Oui, c'est possible d'avoir plusieurs nationalités en France. Par exemple, double nationalité, ou 3 nationalités.
En 2021, 47,5 % des immigrés vivant en France sont nés en Afrique. 33,1 % sont nés en Europe. Les pays de naissance les plus fréquents des immigrés sont l'Algérie (12,7 %), le Maroc (12 %), le Portugal (8,6 %), la Tunisie (4,5 %), l'Italie (4,1 %), la Turquie (3,6 %) et l'Espagne (3,5 %).
Ils fuient les guerres, les conflits ethniques, religieux, les violations des droits de l'homme et d'autres situations de ce type. Certains sont immédiatement reconnus comme réfugiés, souvent dans les pays voisins. D'autres deviennent des demandeurs d'asile.
Ce graphique indique la part d'immigrés africains vivants en France en 2021 selon leur pays d'origine. Ainsi, 16,4 % % de tous les immigrés installés en France étaient nés en Tunisie ou au Maroc, tandis qu'environ 12,7 % venaient de l'Algérie.
Tout d'abord patronnée par la France, l'immigration algérienne est dans un premier temps une immigration de travail, plutôt masculine et ouvrière, souvent originaire des Aurès ou de Kabylie, qui s'articule autour des grandes villes, principalement Paris mais aussi Marseille, le Nord de la France, Lyon et Saint-Étienne.
Les villes qui comptent le moins d'immigrés sont principalement des villes de l'Ouest, mais aussi les villes les moins peuplées de la catégorie (celles de moins de 200 000 habitants) : on y trouve ainsi Brest, Caen, Le Mans ou encore Le Havre.
Proportionnellement à sa population, la France accueille ainsi deux fois moins d'immigrés que l'Allemagne, la Belgique ou les Pays-Bas, et trois fois moins que la Suède ou l'Autriche. Elle se trouve donc au bas du classement des pays d'Europe occidentale, au même niveau que l'Italie et le Royaume-Uni.
La France est en effet la destination naturelle des habitants du Maghreb et de l'Afrique subsaharienne francophone. En raison de la croissance rapide de la population africaine (deux milliards d'habitants en 2050) des observateurs prédisent un doublement à venir des flux extra-africains.
C'est au cours de la Première Guerre mondiale qu'un nombre plus important de Portugais s'installe en France. La mobilisation militaire de millions d'hommes et les besoins d'une économie totalement tournée vers l'effort de guerre provoquent un important courant migratoire.
Durant les Trente Glorieuses (1945-1975), et particulièrement dans les années 1960, les pouvoirs publics favorisent l'immigration afin de satisfaire aux besoins de main-d'œuvre de l'économie française. De nombreux juifs marocains, souvent en transit pour Israël, sont logés dans des centres de transit ou d'« accueil ».
L'échec de la politique d'aide au retour mise en place par le gouvernement, et la crainte des difficultés de revenir en France ont poussé les immigrés marocains installés en France, à prolonger leur séjour et à faire venir leur famille.
On estime que 2 000 à 3 000 d'entre eux sont restés en France après la guerre. Ils sont recrutés par l'industrie et, particulièrement, par les usines Louis Renault de Boulogne-Billancourt et les usines Panhard et Levassor, formant ainsi le tout premier noyau de la communauté asiatique française.
Citoyenneté qatarie
Il existe de nombreuses conditions à remplir pour être considéré comme citoyen du Qatar ; c'est véritablement l'un des pays les plus compliqués pour obtenir la naturalisation.
Le Portugal est le pays de l'UE où il est le plus facile d'obtenir la nationalité grâce au programme de visa doré.
Carlos Ghosn, qui a fui le Japon en présentant un passeport français pour rejoindre le Liban, possède une triple nationalité libano-brésilo-française.
Sur le continent, trois autres pays interdisent la double nationalité : le Cameroun, le Liberia et le Malawi.
Sous la loi japonaise, les adultes ne peuvent généralement pas avoir la citoyenneté japonaise et étrangère à la fois (double nationalité) : ceux qui ont acquis la double nationalité avant l'âge de 20 ans doivent choisir une seule nationalité avant l'âge de 22 ans.