Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Elle a tué rapidement autour de cinq millions de personnes, puis s'est déplacée vers l'ouest, à travers l'Inde, la Syrie et la Mésopotamie.
Parmi les plus fréquentes, citons les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer, le diabète, l'arthrite, les maux de dos, l'asthme et la dépression chronique.
Le paludisme, la tuberculose et le VIH/sida continuent de compter parmi les 10 principales causes de mortalité, quoiqu'ils reculent tous considérablement.
Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
57 % des Français placent le cancer comme la maladie la plus à « craindre » et « qui fait la plus peur », devant la maladie d'Alzheimer (19 %), le sida (8 %) et les maladies cardiovasculaires (8 %).
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Journée mondiale de la santé
Avec près de 65 000 décès enregistrés l'année dernière, le coronavirus devrait ainsi se classer au troisième rang des causes de mortalité en France, derrière les cancers (plus de 150 000 décès annuels) et les maladies cardiovasculaires (autour de 140 000).
Sanaa est l'une des révélations de The Voice Kids 2022. Mais à seulement 13 ans, la jeune fille souffre du syndrome d'Ehlers Danlos, une maladie génétique rarissime caractérisée par une peau très élastique et des douleurs intenses.
Quelques exemples : le diabète, les hépatites, le cancer, la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer, le sida, les rhumatismes, la sclérose en plaques, les allergies, la narcolepsie, l'épilepsie, l'asthme, les maladies « rares » ou « orphelines » …
Ebola. Ebola est l'un des virus les plus mortels de la planète. Il peut tuer dans 25% à 90% des cas, selon les souches du virus, ce alors qu'il n'existe à l'heure actuelle aucun traitement homologué. La transmission se fait via un contact direct avec les fluides corporels.
Ces 5 maladies sont la varicelle, la rougeole, la rubéole, la coqueluche et les oreillons.
Quel est le pire ennemi du Cancer ? Le Sagittaire ! Le détachement et la faculté de ce signe de feu à ne rien prendre au sérieux irritent instantanément le natif du signe d'Eau !
Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de décès liés au cancer.
Le cancer colorectal, un cancer silencieux
Bien souvent, le cancer colorectal se développe de manière silencieuse, sans symptôme. C'est principalement le cas des cancers localisés au niveau du côlon droit et transverse.
L'hypocondrie ou peur des maladies est la peur déraisonnable d'être atteint d'une maladie grave : cancer, démence, SIDA, affection cardio-vasculaire etc…
Qu'est-ce qu'être hypocondriaque ? L'hypocondrie ou la crainte excessive d'avoir une maladie, est définie comme une préoccupation centrée sur la peur ou l'idée d'être atteint d'une maladie grave.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Les cancers demeurent la première cause de mortalité avec une part de 29,6% et sont responsables, avec les maladies de l'appareil circulatoire (27,5%), les accidents (4,6%), la maladie d'Alzheimer (3,2%), le diabète (2,2%), le suicide (1,9%), les démences (1,8%) et les maladies chroniques du foie (1,7%), de plus de 70% ...
Le taux standardisé de mortalité s'élève à 988 décès pour 100 000 chez les hommes et 580 chez les femmes ; ils sont les plus élevés dans les Hauts‑de‑France et à La Réunion, et les plus bas en Île‑de‑France (figure 1).