Le Lexomil se dilue dans l'organisme pendant une période d'environ 5 demi-vies. 1 demi-vie du Bromazépam (le principal actif) correspond entre 0,5 à 4 heures.
Le Lexomil n'est pas un antidépresseur, c'est un anxiolytique qui apaise en agissant contre les troubles de l'angoisse. Il peut néanmoins être prescrit par un médecin en cas de dépression, parfois combiné avec un antidépresseur, et ce en raison de ses effets relaxants.
Il est généralement recommandé de prendre le Lexomil le soir, peu de temps avant d'aller se coucher.
Délai d'action. L'effet du médicament dépend de l'intensité de l'angoisse, de la sensibilité au produit de chaque personne. Cela dépend aussi des doses prescrites, de l'âge.
Adulte : 6 mg par jour, habituellement répartis en 1/4 de comprimé le matin, 1/4 de comprimé le midi et 1/2 comprimé le soir.
Selon les personnes, un quart de Lexomil peut suffire pour dormir, alors que d'autres en prendront un demi, voire un, au moment du coucher. Il est possible de ne consommer que ¼ de Lexomil par jour en fonction des recommandations du médecin. Un médecin peut augmenter la dose maximale de Lexomil à 18 mg par jour.
Avalez ce médicament avec un verre d'eau. La durée du traitement doit être aussi brève que possible et ne devrait pas dépasser 8 à 12 semaines (voir Mises en garde). Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Prenez la dose suivante à l'heure habituelle.
Lexomil pour dormir: Conséquences sur la santé Ce médicament est utilisé comme un somnifère pour aider les patients souffrant d'insomnies. Mais l'utilisation de ce médicament dans le traitement des troubles du sommeil n'est pas sans effets sur votre santé. Le premier effet secondaire de ce médicament est la dépendance.
Les symptômes de l'anxiété : malaises, palpitations, tremblements, peurs, angoisses, maux de ventre, gorge serrée, insomnie … Les anxiolytiques sont indiqués : Dans l'anxiété
+ Opioïdes
L'utilisation concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou apparentés tels que LEXOMIL avec des opioïdes augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison de l'effet dépresseur additif sur le système nerveux central (SNC).
Dans certains cas, le médecin recommande plutôt l'usage de la venlafaxine, un inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (actif aussi sur la noradrénaline, un autre neurotransmetteur).
Elle favorise la relaxation musculaire et l'endormissement." Les effets secondaires peuvent toutefois être dangereux.
Les benzodiazépines anxiolytiques
Leur action est rapide. Elles ne peuvent pas constituer un traitement de fond. Elles ne doivent être utilisées que pour de courtes durées (douze semaines au maximum) et à la dose efficace la plus faible possible, en raison du risque de dépendance.
L'ensemble des risques généraux liés à l'usage des benzodiazépines est bien connu et figure dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (AMM) de chacune d'elle1. Ainsi, leur usage peut entraîner : Une amnésie antérograde (perte de la mémoire des faits récents) qui augmente proportionnellement avec la dose.
Parmi les benzodiazépines prescrites contre l'insomnie, citons le lorazépam (Ativan), le nitrazépam (Mogadon), l'oxazépam (Serax), le témazépam (Restoril), le triazolam (Halcion) et le flurazépam (Dalmane).
Le griffonia simplicifolia : un des meilleurs antidépresseurs. Cette plante serait l'équivalent naturel du Lexomil, un des antidépresseurs les plus prescrits du marché. Le griffonia régule la sécrétion de nombreuses hormones influant sur l'humeur générale ; la sérotonine, la dopamine, la mélatonine…
La demi-vie d'élimination plasmatique du bromazépam est de 20 heures.
Les principaux médicaments utilisés sont l'alprazolam (Xanax®), le bromazépam (Lexomil®), l'oxazépam (Seresta®) ou encore le prazépam (Lysanxia®). Une autre famille de médicament est utilisée : il s'agit de certains antidépresseurs qui ont une action sur l'angoisse, en dehors de leur action antidépressive.
Comment réduire les palpitations cardiaques ? Pour réduire les palpitations cardiaques, il faut commencer par traiter leur cause : Si vous buvez régulièrement de l'alcool ou de la caféine, réduire votre consommation permet souvent de réduire la fréquence des palpitations voire d'y mettre fin.
Pour cette catégorie de médicament, il est possible de prendre le flurazépam (Dalmane®), le témazépam (Restoril®), le nitrazépam (Mogadon®), l'oxazépam (Sérax) et le lorazépam (Ativan®). Les apparentés ou BZD, notamment le Zopiclone et le Zolpidem, délivrent des effets presque identiques à ceux des benzodiazépines.
La stratégie à adopter : on diminue les prises qui paraissent les plus faciles à réduire, du quart ou de la moitié, pendant plusieurs jours. Puis on continue à diminuer les doses, toujours par paliers de plusieurs jours. On commence donc par les prises dont on ne ressent pas un réel besoin.
Anxiolytique naturel, doux et efficace, le CBD est de plus en plus privilégié pour réduire l'anxiété passagère ou chronique. C'est d'ailleurs plus de 260 millions de personnes qui souffrent de troubles anxieux, selon les dernières études de l'Organisation mondiale de la Santé.
Des sensations de faiblesse, de fatigue, des impressions de vertige, de la dysarthrie, de l'ataxie, une confusion… ont déjà été rapportées.
Le sevrage de benzodiazépines doit s'effectuer de manière progressive afin de diminuer également les risques de voir survenir les manifestations d'un syndrome de sevrage. Il faut prévoir un arrêt progressif sur plusieurs semaines, un suivi régulier est alors conseillé soit au près d'un psychiatre soit d'un neurologue.
il peut causer des étourdissements ou vous endormir - soyez prudent avant de prendre le volant; il peut vous rendre d'humeur irritable.