Le mariage civil est un mariage officialisé par une autorité publique d'un État, à la différence du mariage coutumier du mariage religieux. Selon les juridictions, il peut être obligatoirement l'union d'un couple d'un homme et d'une femme, s'étendre aux personnes de même sexe ou être polygame.
Le mariage civil est le mariage célébré par l'officier de l'état civil de la commune (le maire ou un de ses adjoints) à la mairie. Le mariage religieux, lui, est célébré par le représentant d'un culte.
Cette union peut revêtir plusieurs formes, elle peut être libre ou de fait (le concubinage), elle peut être légale et reconnue officiellement (le mariage civil). Outre ces deux formes, s'interpose une catégorie d'union qui sans être pur fait est scellée devant une autorité coutumière qui n'a pas une valeur juridique.
Le mariage coutumier est donc l'union d'un homme et d'une femme célébrée par une autorité coutumière et selon les rites coutumiers. Contrairement au mariage civil, le couple se croit marié a tort parce que l'autorité par laquelle le mariage a été célébré n'est pas une autorité légale.
Le mariage à la mairie, communément appelé cérémonie civile, permet d'officialiser son union, socialement et légalement. Ainsi, les mariés s'engagent à une communauté de vie dont les conditions, les effets et la dissolution sont régis par le Code Civil.
Si vous vous mariez sans contrat de mariage, vous êtes automatiquement soumis au régime de la communauté légale. Il s'agit de la communauté réduite aux acquêts qui distingue les biens suivants : Biens propres de chacun de vous 2 : biens mobiliers : Bien qui peut être déplacé.
La loi du 20 septembre 1792 définit que chaque personne possède une liberté d'expression et de religion, et donc le mariage à l'Eglise, résultant de la religion catholique, devient un choix (1). Pour s'unir devant Dieu, il faut présenter l'acte de mariage civil.
Lorsque le mariage a été contracté sans le consentement de l'un des époux, pour quelque cause que ce soit, la nullité du mariage doit être prononcée. L'action peut être exercée par les époux eux-mêmes, par toute personne qui y a intérêt et par le ministère public du vivant des deux époux.
Pour un mariage traditionnel français, il y a par exemple les traditions du type : dormir séparément la veille du mariage, les 4 éléments porte-bonheur, la lancée de riz en sortant de l'église, le cortège, la pièce montée, le lancer de bouquet, la jarretière, etc.
L'inconvénient du mariage réside dans la séparation puisqu'en l'absence d'accord entre les époux, le divorce peut durer des années avec des procédures souvent douloureuses.
Le mariage civil est donc suffisant en lui seul pour être reconnu et officialisé devant Dieu. Ceci est donc pratiqué en l'état par diverses confessions protestantes.
Faut-il un imam pour se marier ? La présence d'un imam de mariage ou d'un cadi (magistrat) n'est pas obligatoire pour conclure le mariage musulman. Faire le halal sans imam est donc possible, tout musulman connaissant la tradition islamique pouvant s'en charger, avec l'accord du tuteur.
Le mariage civil est un mariage officialisé par une autorité publique d'un État, à la différence du mariage coutumier du mariage religieux. Selon les juridictions, il peut être obligatoirement l'union d'un couple d'un homme et d'une femme, s'étendre aux personnes de même sexe ou être polygame.
Outre le statut social, le mariage a des effets juridiques (les époux s'obligent à une communauté de vie, à la direction morale et matérielle de leur famille…) mais aussi patrimoniaux (contribution obligatoire aux charges du mariage, imposition commune…).
Le mariage représente l'engagement de deux personnes qui ont au moins 16 ans et ont obtenu l'autorisation du tribunal pour devenir époux. L'union civile est l'engagement de deux individus âgés d'au moins 18 ans, qui expriment librement et clairement leur consentement de faire vie commune.
Borach Levi voulut ensuite se marier avec une jeune femme catholique, alors qu'il avait laissé enfants et épouse en Alsace. L'officialité de Strasbourg le délia de cette première union en 1754 en invoquant la tradition de l'Église dite du « privilège Paulin ».
Dans le mariage traditionnel, c'est la famille de la mariée qui paie la robe de la mariée et ses accessoires ainsi que la coiffure, le maquillage, la tenue des enfants et demoiselles d'honneur, la décoration florale et les frais de la réception des invités de la mariée.
Les mariés se trouvent au premier rang, en face du maire ou de l'adjoint au maire, la mariée à gauche du marié. Les témoins entourent généralement les futurs époux. La famille proche se trouve quant à elle juste derrière, dans les premiers rangs.
Le lendemain de votre mariage, ou le rebond, est l'occasion parfaite pour continuer la fête avec ses invités. Si certains doivent partir plus tôt et rentrer chez eux, d'autres, comme votre famille proche ou vos témoins, seront sûrement ravis de partager un bon repas avec les jeunes mariés.
Pourtant, le régime de la séparation de biens devient de plus en plus courant. Il est même en tête des contrats de mariage le plus choisi, ce qui s'explique par les divers avantages qu'il présente.
Une solution adéquate le plus souvent
- les époux disposent de patrimoines distincts avec autonomie de gestion et protection face aux créanciers de l'autre conjoint ; - et les époux partagent la richesse créée ensemble, les acquêts. Ce régime est la participation aux acquêts.