La déflation est l'opposé de l'inflation. A l'inverse de cette dernière, elle se caractérise en effet par une baisse durable et auto-entretenue du niveau général des prix. La déflation se définit comme l'opposé de l'inflation. Elle se caractérise par une baisse continue et auto entretenue du niveau général des prix.
C'est le scénario libéral : la forte baisse des prix relance la demande et permet la sortie de crise. Cet élément de relance existe. Mais le problème de la déflation, c'est le poids supplémentaire qu'elle fait peser sur les agents endettés. Lorsque les prix baissent, le poids des dettes s'alourdit.
La déflation est l'inverse de l'inflation, c'est-à-dire une baisse durable et généralisée des prix. La déflation ne doit pas être confondue avec la désinflation, qui désigne une diminution du taux d'inflation (c'est-à-dire un ralentissement du rythme d'inflation).
Les salaires baissent, les embauches se raréfient et le chômage progresse, ce qui finit par affecter le revenu des ménages. Il s'ensuit une nouvelle baisse de la consommation qui génère la formation d'un cercle vicieux car auto-entretenu.
En cas de déflation, les instruments de politique monétaire classiques (c'est-à-dire les modifications des taux d'intérêt directeurs) atteignent leurs limites. À un moment donné, il devient inutile, pour une banque centrale, de continuer à diminuer les taux.
À défaut, l'érosion monétaire réduirait le pouvoir d'achat de leur épargne. Une inflation modérée contribue donc à assurer l'équilibre entre le niveau d'épargne et le niveau de l'investissement sans lequel les taux d'intérêt s'orienteraient à la hausse, limitant ainsi les projets d'investissements des entreprises.
Dans les pays développés, on n'en recense que deux exemples au cours des 100 dernières années : la déflation des années 1930, qui a touché les États-Unis puis l'Europe, et celle, plus récente, qui a atteint l'économie japonaise à la fin des années 1990.
Si l'inflation a toujours, à long terme, des effets négatifs, elle peut avoir, à court terme des effets positifs. ➢ Les effets positifs : - allège la dette des débiteurs (par exemple, celui qui a emprunté pour acheter un logement). - profite à ceux qui bénéficient de revenus indexés sur l'inflation.
En cas de déflation grave et longue, l'attitude nippone serait sans conteste la meilleure. Même avec des performances affichées proches de zéro, les placements de trésorerie (comptes à terme, livrets bancaires, sicav monétaires) offriraient la sécurité pour un rendement réel positif compte tenu de la baisse des prix.
Les véritables profiteurs de l'inflation sont l 'État et les collaborateurs du capitalisme de connivence qui profitent des mesures interventionnistes pour développer des activités sans aucune rentabilité.
La déflation est l'opposé de l'inflation. A l'inverse de cette dernière, elle se caractérise en effet par une baisse durable et auto-entretenue du niveau général des prix. La déflation se définit comme l'opposé de l'inflation. Elle se caractérise par une baisse continue et auto entretenue du niveau général des prix.
Mécaniquement, l'inflation pénalise les créanciers et favorise les emprunteurs car le niveau réel de leur dette diminue (pour un prêt non indexé sur l'inflation, la somme rendue est de l'argent déprécié). De même, les épargnants sont négativement touchés, car leur épargne perd de la valeur.
L'inflation est ici causée par une création monétaire excessive, plus précisément d'une croissance de la masse monétaire trop forte par rapport à la croissance de la production.
Or, un des moyens de lutter contre l'inflation est de jouer sur les taux d'intérêts. En les augmentant, il devient plus cher d'emprunter : les gens préfèrent alors épargner plutôt qu'investir et la masse monétaire en circulation -donc l'inflation- se réduit.
Seule exception notable : le Japon, où les prix n'augmentent guère malgré la reprise économique. En cause notamment : des anticipations d'inflation autoréalisatrices liées au contexte japonais et une faiblesse de la consommation privée.
Les obligations indexées ou couvertes
Pour protéger votre épargne de la hausse des prix, optez plutôt pour des obligations dont le taux évolue en fonction de l'inflation. La valeur de l'obligation sous-jacente augmente ou diminue en suivant la même courbe que le coût de la vie.
Placer votre argent dans le marché immobilier locatif est également un excellent moyen d'allier rendements et protection de l'inflation : pour ça, les SCPI sont une excellente option ! Enfin, les obligations indexées sur l'inflation permettent de générer des rendements lorsque les prix sont en hausse.
On distingue l'inflation par les coûts, l'inflation par la demande et l'inflation par la monnaie.
Selon François Villeroy de Galhau, l'inflation pourrait ainsi être réduite de moitié d'ici la fin de l'année avant de revenir autour des 2% à l'hiver 2024/25.
Ceci génère de l'inflation qui atteint alors des niveaux records avec des pointes annuelles à près de 40% en 1920 (années folles) et 60% en 1948.
INFLATION 2023. Poussée par les prix de l'alimentaire, l'inflation grimpe encore en France au mois de février.
Grâce au nucléaire, aux boucliers tarifaires et à une moindre réactivité sur les salaires, la France est après Malte le pays le moins touché par l'inflation en Europe. L'inflation confirme son grand retour en Europe et aux Etats-Unis.
L'augmentation des frais d'exploitation.
L'inflation peut également survenir lorsque le coût de production des produits augmente et que les entreprises doivent augmenter leurs prix. Par exemple, si le prix du kérosène augmente, le coût d'exploitation des avions augmente.