Le pronom relatif a une fonction, contrairement aux autres mots qui introduisent une proposition subordonnée. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).
La conjonction de subordination n'a aucune fonction dans la proposition subordonnée conjonctive, de même que le mot interrogatif dans la proposition subordonnée interrogatif. En revanche, le pronom relatif occupe une fonction variable dans la proposition subordonnée relative.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
Elle sert seulement à marquer qu'il existe un lien de dépendance entre une proposition et un terme de la proposition principale, tout comme la préposition sert à marquer un lien de dépendance entre deux groupes de mots.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
relative, qui est introduite par un pronom relatif (ex. : J'ai lu le livre dont tu me parlais). Subordonnée relative déterminative. Subordonnée relative explicative.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé. b) Vous compléterez le dossier que vous avez reçu. c) Je l'aperçois qui arrive en toute hâte.
Dans une phrase, on dit qu'une proposition est subordonnée si elle dépend d'une autre proposition (presque toujours une principale). Elle complète le sens. On parle alors de subordination.
chef. grade d'autorité (chef de gare, chef d'orchestre...)
Définition. Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions.
Une proposition subordonnée relative est une proposition dépendante d'une proposition principale, et elle est toujours introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, etc.) une locution pronominale (ce que, ce dont, etc.) ou un relatif indéfini complexe (qui que, quoi que, etc.).
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Une conjonction de coordination est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases. Un adverbe de liaison est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
L'adverbe est un mot invariable qui précise ou change le sens d'un verbe, d'un adjectif, ou d'un autre adverbe. - Elle court rapidement. -> ("rapidement" précise le sens du verbe "courir"). - Il n'est pas très grand.
La proposition subordonnée conjonctive (PSC) complète presque toujours un verbe : elle fait partie du groupe verbal. Elle commence par un mot subordonnant qui peut être une conjonction de subordination, une locution conjonctive de subordination ou un mot interrogatif.