La bataille de Waterloo met fin à sept siècles d'hostilité entre la France et l'Angleterre et achève une fois pour toutes l'épopée napoléonienne. L'empereur retourne à Paris le 22 juin 1815 et abdique une seconde fois, en faveur de son fils.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues. C'est la mère de toutes les batailles, mais de toutes les batailles perdues.
Le traité condamne fermement la Révolution et l'Empire et réclame le retour à l'ordre monarchique. Ainsi, la défaite de Napoléon à Waterloo marque la fin définitive de la période révolutionnaire en France et en Europe.
Le Premier Empire s'achève le 6 avril 1814 (abdication de Napoléon à Fontainebleau, après sa déchéance prononcée à Paris le 2 avril par le Sénat, et départ le 20 avril pour l'île d'Elbe).
La bataille de Waterloo, le 18 juin 1815, est l'une des plus célèbres batailles de l'histoire européenne. Vaincu par les forces de la coalition menée par Wellington et von Blücher, l'empereur Napoléon Bonaparte a définitivement perdu le pouvoir après sa défaite.
Depuis deux siècles, les historiens multiplient les thèses, échafaudent des hypothèses. Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête.
La bataille de Waterloo met fin à sept siècles d'hostilité entre la France et l'Angleterre et achève une fois pour toutes l'épopée napoléonienne. L'empereur retourne à Paris le 22 juin 1815 et abdique une seconde fois, en faveur de son fils.
Napoléon prend le commandement de l'armée et dirige la contre-attaque en Autriche. Une série de petites victoires précédent l'énorme bataille d'Essling, première défaite tactique de Napoléon.
Le 18 mars, il subit une première défaite cinglante à Saint-Georges-de-Reneins, à une quarantaine de kilomètres au nord de Lyon. Le 20 mars 1814, la bataille de Limonest, aux portes de Lyon, acheva tout espoir pour le maréchal : les 24 000 Français sous ses ordres devaient affronter 56 000 Autrichiens.
Ses forces mirent en défaite l'Autriche et, en 1804, Napoléon fut sacré empereur de France. Les espoirs renouvelés de l'Empire français de briser la puissance navale britannique furent anéantis lors de la bataille de Trafalgar en 1805.
- Les erreurs de Ney durant ses attaques. - Enfin, le retard de Grouchy, qui attendait les ordres de Napoléon en mangeant les fameuses fraises de Grouchy, l'ordre de poursuivre les Prussiens de Blücher arrivant trop tard, il ne peut empêcher ceux-ci d'arriver en renfort.
Depuis le traité de Tilsit, la France et la Russie étaient des alliés à couteaux tirés. La Russie avait violé le traité en faisant des affaires avec l'Angleterre, et Napoléon, lassé de cet état de choses, l'utilisa comme prétexte pour l'envahir.
Victoire tactique russe qui inflige de lourdes pertes à l'armée française.
L'empereur Napoléon Ier et sa Grande Armée anéantie par le froid, à la bataille de la Bérézina.
Selon la méthode de calcul d'Ethan Arsht, l'un des plus grands conquérants de l'histoire, qui avait notamment pris possession de l'immense Empire perse, obtient le score de guerre de 4,376. Avec une bataille en plus au compteur qu'Alexandre le Grand, Gueorgui Joukov obtient le score de guerre de 4,596.
Le 3 septembre 1870, la capitulation de Sedan fut connue à Paris. Le lendemain 4 septembre, après l'invasion du Palais-Bourbon par la foule, l'impératrice quitta la capitale sans abdiquer.
Au cours de ses campagnes, Napoléon Ier pourra compter sur une armée comptant jusqu'à près de 700 000 soldats : la Grande Armée réunit des régiments français mais aussi étrangers, polonais, hollandais, italiens, espagnols, suisses…
Morne plaine ! Victor Hugo, dans son poème, L'expiation, pleura avec la France entière cette défaite de Waterloo, survenue au soir du 18 juin 1815.
La bataille de Waterloo s'est déroulée le 18 juin 1815, au sud de Bruxelles en Belgique. L'armée britannique dirigée par le général Wellington, aidée en fin de journée par l'armée prussienne commandée par le maréchal Blücher, a vaincu l'armée française commandée par Napoléon Ier.
Le plus jeune général décédé au cours de la campagne de Russie est Marie-Xavier-Joseph Lefebvre (3 e corps) fils du maréchal duc de Dantzig. Il meurt d'épuisement le 3 décembre 1812 à Vilna, alors qu'il est prisonnier de guerre ; né le 9 mars 1785, il n'a même pas 28 ans.
5/ L'arc de triomphe
Dans un premier temps, au lendemain de la bataille d'Austerlitz, considérée comme le « chef-d'œuvre » tactique et militaire de Napoléon, le but était de perpétuer le souvenir des victoires de l'Armée Française.
Le lion symbolise la victoire et le nouveau Royaume- Uni des Pays-Bas ; sa gueule ouverte est tournée vers la France, vaincue ; sa patte posée sur un boulet de canon représente la paix que l'Europe a conquise à l'issue de la bataille.
Une expression dont l'origine remonte aux campagnes napoléoniennes. En 1812, lors de la retraite opérée après l'invasion ratée de la Russie, l'empereur et son armée s'étaient retrouvés bloqués entre leurs ennemis et la rivière Bérézina (dans l'actuelle Biélorussie).