La maladie touche essentiellement des personnes de plus de 55 ans. Le diagnostic est posé en moyenne à 73 ans pour les femmes et 70 ans pour les hommes, généralement à un stade évolué, ce qui explique le mauvais pronostic de la maladie.
Facteurs de risques :
Les facteurs de risque environnementaux favorisant ce cancer sont comme le tabagisme mais aussi l'obésité (lire ci-dessous sous Prévention avec effet positif d'une chirurgie de l'obésité surtout lors d'obésité grave), la pancréatite et le diabète.
Le premier signe repérable est alors l'état général du patient : une perte d'appétit et un amaigrissement progressif peuvent finir par alerter. Une jaunisse (ou ictère) peut aussi apparaître.
Les chances de survie ou les chances de guérison sont faibles. Seule la chirurgie (possibles pour 20% environ des patients), associée à la chimiothérapie, peut entraîner la rémission de ce cancer.
Les premiers facteurs qui perturbent l'activité du pancréas sont liés au mode de vie : tabagisme, alcool, alimentation. En cas de suralimentation, cette glande est débordée.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
Il est possible de vivre sans pancréas avec un traitement par insuline alors indispensable et injectée par voie sous cutanée et des enzymes pancréatiques prises par voie orale.
Si vous êtes atteint du cancer du pancréas, vous pourriez avoir différents types de diarrhée. Chez certaines personnes dont un canal biliaire est bloqué, les selles peuvent avoir la couleur de l'argile.
En phytothérapie, on utilise généralement le bourgeon de noyer (Juglans regia) et la gymnéma (Gymnema sylvestris) pour soutenir la fonction pancréatique. Ainsi que pour soigner le pancréas. L'ail, le pissenlit et la racine de gentiane sont aussi des plantes bénéfiques pour nettoyer le pancréas.
Il peut arriver qu'un cancer du pancréas provoque des douleurs ou des gênes au niveau de l'abdomen, qui peuvent se diffuser dans le dos. Ces douleurs peuvent s'intensifier après la prise d'un repas ou en position allongée. Généralement, les douleurs sont intermittentes au début, avant de devenir permanentes.
Le tabagisme est le principal facteur de risque environnemental de cancer du pancréas. Par ailleurs, une alimentation riche en graisses et viandes, et pauvres en fibres, ainsi que la sédentarité pourraient favoriser, à un moindre degré, la survenue de ces tumeurs.
Dépistage des cancers de 40 à 49 ans. Les trois cancers les plus fréquents chez l'homme sont les cancers de la prostate, bronchique et colorectal.
Système neurovégétatif et stress
Sous le coup d'un stress inattendu (porte qui claque dans votre dos, par exemple), c'est le système neurovégétatif qui vous fait pâlir.
Les nutriments essentiels du lait qui pourraient jouer un rôle dans le maintien d'un pancréas en santé sont : Le calcium. Les protéines.
La perte de poids induite par un cancer est appelées "cachexie". Elle est liée à une altération de l'utilisation des protéines et des calories par l'organisme.
Le médecin fait glisser un endoscope le long de la gorge jusqu'à l'œsophage puis l'estomac et finalement au duodénum. Il insère ensuite une sonde ultrasonore dans l'endoscope et la fait descendre et pointer vers le pancréas, ce qui permet de l'examiner de plus près.
Survivante du cancer du pancréas depuis sept ans, Sindy Hooper continue à déjouer les prédictions et elle compte sur les recherches sur le cancer effectuées à L'Hôpital d'Ottawa pour lui sauver encore la vie un jour.
Les douleurs pancréatiques sont classiquement décrites comme situées sur la partie haute de l'abdomen, irradiant dans le dos et parfois dans les hypocondres. "Elles sont dites transfixiantes, en "coup de poignard", poursuit le Professeur.
Le pancréas est un organe vital de l'organisme. Cet organe est une glande possédant plusieurs fonctions sécrétrices. Celles-ci sont notamment essentielles à la digestion des aliments et à la régulation de la glycémie.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Le cancer du pancréas, ce tueur invisible.