En musique, une
Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
Pour obtenir un accord de septième, on va répéter la même opération: on va empiler une nouvelle tierce à partir de la quinte. On obtient alors la quatrième note de l'accord: la septième. Les notes qui composent l'accord de septième sont donc respectivement appelées la fondamentale, la tierce, la quinte, et la septième.
En harmonie tonale, un accord de septième de dominante avec fondamentale est un accord de quatre notes placé exclusivement sur le Ve degré des deux modes. Il est composé d'un accord parfait majeur et d'une septième mineure.
L'accord de septième de dominante est constitué de l'accord parfait majeur, sur la dominante d'une tonalité, auquel s'ajoute une septième mineure. Il y a trois renversements de l'accord de septième de dominante.
Connaitre l'ordre des notes
Il faut bien apprendre et connaître l'ordre des notes, à la fois dans l'ordre ascendant : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do mais aussi dans l'ordre inverse, à savoir Do, Si, La, Sol, Fa, Mi, Ré, Do. Les notes sont placées sur les lignes et interlignes d'une portée.
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal: il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
Tout simplement (!?) parce que l'intervalle entre Mi et Fa et entre Si et Do n'est que d'un demi-ton. Finalement l'octave est divisée en 12 demi-tons et la gamme majeure repose sur les intervalles ton, ton, demi-ton, ton, ton, ton, demi-ton.
Tim Storms détient le record de la note la plus grave jamais chantée. D'après le Guinness Book, elle a été officiellement flashée au sous Sol-8, à 0.189 Hz ! (sic) Autant dire que personne ne l'entendra jamais.
Les trois figures de clefs
Le dessin des clefs est dérivé (stylisation et enluminure) des lettres G (pour sol), C (pour do ou ut) et F (pour fa), que l'on avait pris l'habitude de placer sur une ligne de la portée primitive — aux alentours du XI e siècle — afin d'attacher une hauteur absolue à la ligne en question.
La clé de sol est utilisée pour écrire une mélodie chantée ou la partition d'un instrument aux sons plutôt aigus (guitare, violon, la main droite au piano...). La clé de fa est utilisée pour écrire la partition d'un instrument aux sons plutôt graves (main gauche au piano, flûte, alto...).
La clé de Sol placée sur la deuxième ligne de la portée
La Clef de Sol est la plus employée. Elle se place toujours sur la 2e ligne de la portée musicale. La note de musique placée sur la 2e ligne de la portée sera donc un Sol médium (c'est à dire ni vraiment aigüe, ni vraiment grave).
La quinte du loup est une « quinte juste » au sens harmonique, mais fausse au sens acoustique. Elle sonne pour une oreille occidentale de façon désagréable. C'est pour cette raison que cette quinte n'est jamais utilisée dans l'exécution musicale, ce qui limite fortement le champ des modulations.
1. Intervalle produit, dans la gamme diatonique, entre deux notes distantes de 5 degrés, départ et arrivée inclus.
C'est Guido d'Arezzo - moine bénédictin lui aussi, mais italien – qui découvre l'astuce au début du XI siècle.
L'analyse d'un chant religieux au 11e siècle
Le début de certains mots donnent en effet la gamme 'Ré', 'Mi', 'Fa' et ainsi de suite. Tout cela va évoluer : au 16e siècle, Anselme de Flandres, membre de la chapelle du duc de Bavière à Munich, ajoute le 'Si', avec les premières lettres des mots du dernier vers.
La gamme est une suite de sept notes qui augmentent d'un ton à chaque mesure. Il nous faut remonter au XIe siècle pour en découvrir l'origine. C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui.
C'est aussi vers cette époque que Ut est devenu Do, parce que Ut était une syllabe trop difficile à chanter (le choix pourrait venir de la première syllabe du mot Domine, Seigneur ou Dieu en latin).
C7, septième vertèbre cervicale dans l'anatomie humaine.
Voyons les notes dont nous avons besoin pour former un accord 7, avec pour exemple un accord de Mi 7 : Notre fondamentale en position 1 sera la note de Mi, car c'est la note qui donne le nom à l'accord. La tierce majeure en position 3 est la note de Sol# La quinte en position 5 est un Si.
Pour faire simple, nous dirons que tout accord de 7e trouve sa résolution dans un accord qui se situe à une quinte au-dessous de lui, soit 7 demi-tons. Exemples : Si nous avons un Sol 7, l'accord de résolution sera le Do majeur. Si nous avons un Do 7, l'accord de résolution sera le Fa majeur.