Plus le terme du contrat est éloigné, plus la décote augmente. Une baisse de prix de 5 à 10% environ est appliquée pour un logement occupé dont le bail se termine dans douze mois, alors qu'un appartement vendu avec un bail signé récemment pourra être vendu avec une décote pouvant atteindre 15 à 20%.
Quels sont les critères pour estimer le prix d'un bien loué ? Pour une estimation sérieuse, il convient, dans un premier temps, d'évaluer l'appartement selon le prix du marché, puis d'appliquer à cette estimation un pourcentage de décote qui déterminera le prix de vente final.
Le calcul du budget est la première étape pour trouver une location. Il vous faudra prendre en compte un pourcentage de 33% de vos revenus dans la majorité des cas (pour les propriétaires qui bénéficient d'une garantie loyer impayé, cette limite est nécessaire).
Le loyer mensuel est calculé en multipliant le nombre de mètres carrés habitables du logement par le montant de référence majoré indiqué pour 1 m²/mois.
La méthode dite « Larcher » énonce que les différentes charges locatives représentent en moyenne 25 % du loyer annuel. Il vous suffit donc de prendre en compte 75 % du loyer annuel au lieu de 100 % pour calculer la rentabilité nette. Il s'agit d'une méthode de calcul pratique, mais qui reste bien sûr approximative.
Le nouvel indice de référence des loyers (IRL) a été publié le 13 juillet 2022 par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L'indice du 2e trimestre 2022 s'élève désormais à 135,84, ce qui représente une hausse annuelle de 3,60 %.
Si vous louez votre logement vide, vous devez appliquer le régime de calcul des charges locatives au réel. Ce régime consiste à calculer une provision sur charges en fonction des charges locatives de l'année passée. Elles sont estimées en moyenne à 75 % du montant total demandé par le syndic dans les appels de fond.
La formule de calcul est la suivante : loyer actuel x nouvel IRL du trimestre de référence du bail/IRL du même trimestre de l'année précédente = nouveau loyer.
Il est important de se rappeler que le rendement affiché n'est pas une fin en soi, mais, il est généralement admis qu'un bon rendement locatif se situe entre 5 % et 10 %, selon vos objectifs patrimoniaux. Le bon rendement locatif est celui qui vous permet d'atteindre vos objectifs.
Par exemple, pour un bien à 100 000 euros loué 600 euros par mois le calcul de rendement brut sera le suivant : (600*12) /100 000 *100 = 7,2 % Soit un rendement brut de 7,2% Le rendement net : c'est l'indicateur qui permet de déterminer la rentabilité d'un projet il nécessite.
De manière générale, le rendement locatif à viser pour obtenir un autofinancement se situe à 8,5% nets par an. L'autofinancement, c'est quand un bien immobilier se paye tout seul : les loyers remboursent le crédit, les charges et les impôts.
N°1 : la voiture avec plus de 2 000€ par an de gain. N°2 : le vélo avec plus de 700€ par an. N°3 : la perceuse avec plus de 500€ par an. N°4 : le parking privé pour 400€ par an.
Il sert donc à indiquer à l'investisseur combien son investissement locatif lui rapporte chaque mois ou année. Bien qu'il n'y ait pas de règle formelle, les investisseurs immobiliers semblent s'accorder sur le fait qu'un bon rendement locatif se situe entre 5 et 10 %.
On entend souvent dire en faisant quelques recherches qu'un taux de rendement de 10% brut minimum est un très bon taux de rendement et garanti un rendement « net » suffisant pour faire mieux que beaucoup de placements plus classiques.
L'opération est la suivante : Nouveau loyer = loyer en vigueur x nouvel indice x ancien indice. Exemple : si l'IRL augmente de 3 %, le bailleur ne peut augmenter son loyer que de 3 %. Sur la forme, la demande doit être présentée au locataire par lettre (de préférence recommandée avec accusé de réception).
Le propriétaire d'un logement du secteur privé peut augmenter le loyer 1 fois par an (révision annuelle) si le bail le prévoit (clause de révision). Si le bail ne contient pas de clause de révision, le montant du loyer doit rester le même pendant toute la durée du bail.
C'est le gouvernement, qui, au plus tard à la fin du mois d'août chaque année, annonce le taux légal pour l'année civile à venir. Pour l'année 2022, le montant indicatif est de 1,2%. En 2023, il sera de 2,5%.
Les dépenses de travaux
En conséquence, les dépenses que vous engagez dans le but de rendre le logement décent sont des charges non récupérables. Les gros travaux effectués sur le logement (la réfection du plancher, par exemple) ou sur la copropriété (ravalement de façade, changement de la toiture, dératisation…)
Dernier indice IRL connu
Le dernier indice de référence des loyers (IRL) a été publié par l'INSEE le 13 juillet 2022. Il s'agit de l'IRL du 2ème trimestre 2022. Il s'établit à 135,84 Il est en hausse (+3,60 %) par rapport à l'IRL du 2ème trimestre 2021.
Que ce soit en cours de bail ou au moment de son renouvellement, vous devez informer votre locataire du nouveau montant du loyer avec une lettre de notification de révision du loyer. En cours de bail, vous devez indiquer dans la lettre : La date prévue dans le contrat pour la révision du loyer.
Le calcul de l'encadrement des loyers se fait de façon simple. Il suffit de prendre le loyer de référence et d'y ajouter 20 % de sa valeur. Selon les calculs faits, le bailleur ne peut pas demander au locataire de payer plus de 628 euros par mois hors charges (31,40 x 20 m2 = 628 euros).
T2 et T3 : un large panel de locataires potentiels
Certes plus onéreux à l'achat, ces appartements vous assurent néanmoins une rentabilité attractive procurée par un bon niveau des loyers et une stabilité de leur occupation.