En France, la posture du manager participatif est devenue la plus populaire, considérée comme la plus pertinente. 45 % des managers pensent avoir un style de management « participatif », centré justement sur la confiance, les signes de reconnaissance et l'autonomie laissée aux collaborateurs.
Le management directif ou autoritaire s'avère être une stratégie efficace pour l'entreprise pour se sortir des situations d'urgence, car il assure une productivité optimale. Le souci avec cette mode de gérance, c'est que les employés ont tendance à développer une certaine hostilité envers les dirigeants.
Selon Rensis Likert, psychologue américain, on peut distinguer quatre grands types de management : le management directif, le management persuasif, le management participatif, et le management délégatif. Tour d'horizon.
Le style participatif par lequel le dirigeant associe ses collaborateurs à la prise de décision. Cette démarche encourage le travail en équipe, la coopération, l'initiative et la transparence dans la circulation des informations.
En France, la posture du manager participatif est devenue la plus populaire, considérée comme la plus pertinente. 45 % des managers pensent avoir un style de management « participatif », centré justement sur la confiance, les signes de reconnaissance et l'autonomie laissée aux collaborateurs.
Le Future of work c'est le changement de position du manager qui passe d'un rôle de contrôle à un rôle de soutien, de facilitateur. C'est un management extrêmement vertueux qui se place dans l'avenir et qui permet d'aller chercher la synergie des équipes dans un mode collaboratif.
Les quatre niveaux du management des compétences : individuel, collectif, stratégique et environnemental.
Parmi les 4 différents types de management, le style participatif est idéal dans un environnement agile qui évolue rapidement et qui permet de créer de la cohésion d'équipe. Prenons par exemple, un chef de projet d'un cabinet de conseil qui doit effectuer un diagnostic de la fonction RH d'un client.
Le management participatif favorise l'innovation, l'émergence de nouvelles idées et bien souvent l'efficacité dans la conduite des projets. Il permet d'accroître l'implication des salariés, leur motivation. Plus écoutés et valorisés, les collaborateurs se sentent mieux dans leur quotidien de travail.
Le management participatif (participative management en anglais) vise à améliorer le rendement des employés d'une entreprise, en les invitant à s'investir dans la vie entrepreneuriale ainsi que dans les prises de décisions. Ce type de management fonde sa doctrine sur un mode délégatif.
1.1 Le management directif (M1)
Historiquement, c'est le mode de management le plus répandu dans la fonction publique. Il constitue une déclinaison de la vision taylorienne de l'organisation et de la fonction de cadre.
Être expert dans son domaine d'activité. Gérer son équipe afin d'atteindre l'excellence opérationnelle. Être le lien entre les différents salariés. Faciliter la communication interne.
Il existe huit rôles de management différents : le pilotage, l'organisation, le développement des collaborateurs, l'animation d'équipe, la négociation avec les parties prenantes, le reporting, le réseautage et la représentation de l'unité à l'extérieur.
Les différents styles de management. Le psychologue américain Rensis Likert a défini 4 grands styles de management au début des années 60. Nos comportements, nos pensées et nos actions correspondent à des catégories de management : le style directif, persuasif, participatif et délégatif.
Le style de leadership de Jeff Bezos
Il est un leader connu pour la planification et l'obtention de résultats grâce à sa créativité. Avec les objectifs à long terme de Bezos et les besoins et les demandes du public, un lien est établi pour aider à servir les clients.
Le management se décline selon l'horizon temporel : à court terme, on parle de management opérationnel, à long terme, on parle de management stratégique.
En ce sens, 2023 sera sûrement l'année du management de la résilience et du bien-être. Ces dernières années ont vu une croissance exponentielle des burn-outs et des dépressions nerveuses dont une bonne partie sont liés au travail.
2- Le manager n'a que peu de reconnaissance de la part de ses équipes. Quelle que soit la qualité du manager, il est très rare d'avoir de la reconnaissance directe et permanente de la part de ses équipes. Si un manager attend celle-ci pour se motiver, il risque d'être déçu.
Le bon Manager est celui qui nous donne envie de venir au travail parce qu'on sait qu'on sera compris, apprécié, encouragé et reconnu dans un contexte bien structuré. Pourtant, le but d'un bon Management ne consiste pas seulement à devenir populaire au sein de son équipe de travail.
Le plus répandu est la norme ISO 9001, connue dans le monde entier, relative à un système de gestion de la qualité. D'autres systèmes de gestion bien connus : ISO 9001 - Gestion de la qualité