Après l'expression "il faut que " le verbe est au subjonctif.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
- au subjonctif : après les verbes impersonnels (ou de forme impersonnelle) construits positivement exprimant le doute, la seule possibilité, l'obligation (Il est nécessaire que vous soyez... Il est possible que vous soyez... Il est urgent que vous soyez... Il faut que vous soyez...).
Les verbes espérer et décider ne sont pas suivis du subjonctif, même s'ils sont employés pour exprimer un sentiment ou un souhait. Exemples : espérer - J'espère qu'il aura (futur) encore des propositions de rôles. décider - Le public a décidé qu'il aura (futur) un prix.
b) L'imparfait du subjonctif
On utilise la même voyelle : a, i, u, in, à laquelle on ajoute les terminaisons : -sse, -sses, -t, -ssions, -ssiez, -ssent. Ex. : (il fallait) que j'allasse ; que tu prisses, que nous lussions, qu'ils vinssent.
Emploi du subjonctif après “que” : erreurs fréquentes
Il est vrai que le subjonctif est un mode généralement utilisé dans les subordonnées introduites par que. D'ailleurs, la structure la plus courante d'une phrase avec du subjonctif est la suivante : sujet + verbe introducteur + que + sujet + verbe au subjonctif.
Le verbe impersonnel falloir exprime une idée d'obligation, de nécessité. On emploie il faut devant un nom, un infinitif ou la conjonction que suivie d'un subjonctif pour indiquer que quelque chose est nécessaire, utile ou convenable. Il me faudrait 48 heures dans une journée pour terminer ce travail à temps.
Le subjonctif se conjugue à quatre temps, deux temps simples (présent et imparfait) et deux temps composés (passé et plus-que-parfait). De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l'indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l'imparfait : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
Avec « penser que » et « croire que », on utilise aussi l'indicatif SAUF à la forme négative qui elle, exige l'emploi du subjonctif. Exemples : Je crois qu'elle connaît la musique classique. Je ne crois pas qu'elle connaisse la musique classique.
Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
"Avant que" est toujours suivi du subjonctif. C'est logique puisque l'action qu'il annonce ne s'est pas encore déroulée quand se passe l'action de la principale. À l'écrit, on peut utiliser la négation "ne" même si elle n'est pas obligatoire : "Avant qu'il ne soit trop tard".
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée. Il est parti après que nous l'avons tous salué.
Dans une hypothèse, le conditionnel présent peut être employé avec l'imparfait ou avec le plus-que-parfait. 1. Pour formuler une hypothèse dans le présent, on utilise : si + imparfait + conditionnel présent.
existent : l'une des conjugaisons, « j'aimerai » correspond au futur simple, qui s'utilise pour exprimer une action qui aura lieu dans le futur, « j'aimerais », conjugué au présent du conditionnels'utilise pour exprimer une action hypothétique, une possibilité ou un souhait.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
J'ai le temps (indicatif). Je doute que j'aie le temps (subjonctif). Méthode : Lorsqu'il y a « que » devant le verbe, vérifiez si c'est un présent de l'indicatif ou du subjonctif. Pour faire la différence, remplacez le verbe par un autre dont les formes sont différentes à l'oreille (soit, fasse, vienne...).
On mettra donc un « e » à la fin de « ai » : aie. Et pour vérifier, tu te dis, si c'était la première personne du pluriel, est-ce que je dirais « il faut que nous avons une bonne note » ou « il faut que nous ayons une bonne note » ? À l'oreille, on entend qu'il faut dire « il faut que nous ayons une bonne note ».
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
− Être nécessaire, indispensable, utile, convenable, bienséant. 1. Il faut + subst.
Avant que est suivi du subjonctif. Après que est suivi de l'indicatif.