Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence est introduite par une conjonction de subordination exprimant la conséquence et est complément circonstanciel de conséquence de la proposition principale. Les feuilles sont tombées si vite qu'on a l'impression que l'automne est déjà fini.
La conséquence est un fait qui résulte d'un autre fait. Exemple : Il est non voyant, donc il ne peut pas le voir. Il est non voyant : résultat ?
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La proposition subordonnée circonstancielle de conséquence (ou consécutive) exprime le résultat du fait exprimé dans la principale. Cette proposition est introduite par une locution conjonctive de subordination ou annoncée dans la principale par un système corrélatif.
Connaissez-vous les expressions de la conséquence ? Alors, c'est pourquoi, donc, de sorte que, par conséquent, du coup, etc.
Conséquence logique Sens : Résultat rationnel. Conséquence durable Sens : Résultat continu. Conséquence mortelle Sens : Résultat provoquant la mort. Avoir comme conséquence Sens : Aboutir au résultat.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
L'analyse des conséquences est utilisée pour estimer les effets probables d'événements dangereux identifiés. L'analyse des conséquences possède les caractéristiques suivantes : Est fondée sur les événements dangereux identifiés. Décrit toutes les conséquences (effets) des événements dangereux.
En conséquence signifie "conformément, donc, par conséquent, cela étant". Exemple : Etant donné l'état d'énervement dans lequel je l'ai trouvé, je n'ai fait qu'agir en conséquence.
On pourrait dire : « en effet, il est plus intelligent. » « Par conséquent », « ainsi », « alors » et « du coup » sont quant-à eux des adverbes de conséquence, ils introduisent une proposition qui exprime la conséquence de ce qui vient d'être dit.
La conséquence est le résultat d'une cause, on la trouve souvent derrière « donc », « par conséquent », « si bien que », etc. Le but est une intention, on le trouve souvent derrière « pour », « afin que », « de peur que », etc.
nom féminin. Suite qu'une action, un fait entraîne. ➙ effet, résultat, suite. La cause et les conséquences.
La conséquence exprime l'effet logique provoqué par une action. Introduite par si bien que, c'est pour cela que, au point que, si… que, trop… pour que… Il a eu un empêchement si bien qu'il ne peut pas venir ce soir.
Être la cause de quelque chose, volontairement ou non. Causer, occasionner, produire.
en conséquence, par suite, donc.
Morphologie d'une proposition subordonnée circonstancielle
Que, quand, comme, si, lorsque, puisque, quoique. Les composés de “que”, comme “dès que”, “bien que”, “alors que”, “tandis que”… On peut donc dire que ce sont des propositions conjonctives circonstancielles.
L'une des techniques les plus courantes pour l'analyse des causes premières est l'approche des « 5 pourquoi » (un peu comme un enfant qui répète cette question sans cesse). Enchaînez chaque réponse à une question de type « pourquoi » avec une question plus approfondie, de type « Oui, mais pourquoi ? ».
L'arbre à problème est un outil méthodologique très simple, qui permet de schématiser pour mieux analyser une situation problématique. Cet exercice vous oblige, à partir d'une demande formulée par votre partenaire, à vous poser les bonnes questions.