Certains, à l'image de Marcel Proust, considèrent la mémoire olfactive comme “la forme la plus tenace du souvenir”.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Mémoire procédurale (ou motrice)
Très résistante dans le temps, la mémoire procédurale (une mémoire implicite) est la seconde partie de la mémoire à long terme. Elle correspond à la mémoire des automatismes, des habiletés et des savoir-faire.
Chez l'homme et chez les primates non humains, la mémoire est stockée dans des réseaux de neurones du cortex, qui s'enchevêtrent.
L'hippocampe, le néocortex et l'amygdale sont les zones du cerveau mobilisées pour les mémoires explicites ou déclaratives (événements, informations à retenir, etc.). Les noyaux gris centraux et le cervelet travaillent ensemble pour les mémoires implicites.
Le cœur est notre premier cerveau, le siège de notre intelligence intuitive. Quand on évoque l'intelligence, l'association avec le cerveau est immédiate. Notre cerveau est en effet intrinsèquement lié à notre capacité à raisonner ainsi qu'à nos émotions.
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
Définition simple de mémoire cache : La mémoire cache est une mémoire plus rapide et plus proche du matériel informatique (processeur, disque dur) auquel elle sert des données et des instructions.
La vraie mémoire affective, ainsi valorisée, est liée à une capacité à la sympathie. Elle repose sur une reviviscence, mot qui revient à plusieurs reprises sous la plume de Ribot et autour duquel vont se focaliser les discussions ultérieures.
La mémoire est une fonction cognitive qui nous permet de saisir, stocker, puis rappeler des informations perçues. C'est facile à comprendre. Même si le mécanisme de la trace mnésique et de sa consolidation reste du domaine de la recherche.
La mémoire eidétique est également associée à Napoléon Bonaparte ou encore Gary Kasparov et Bobby Fischer, anciens champions d'échecs. Enfin, la fiction a également exploré le sujet à travers des personnages comme Sherlock Holmes, Jean-Baptiste Grenouille du roman Le Parfum et Lisbeth Salander de la trilogie Millenium.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.
La logique et l'intelligence reposent en partie sur la mémoire, car il faut avoir acquis des connaissances pour résoudre des problèmes ou créer. Comme le disait Picasso, la peinture c'est comme le chinois, ça s'apprend.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Les causes des oublis fréquents
Si l'attention peut être mise en cause, le tempérament d'une personne étourdie est une autre cause possible. Ce n'est pas tout : le stress des vies surchargées et trépidantes est souvent à la base de ces trous de mémoire.
C'est un phénomène connu : la fatigue, les apnées du sommeil ou le manque chronique de sommeil peuvent entraîner une baisse de la concentration et des pertes de mémoire. le stress et la dépression, les événements traumatisants. certaines carences alimentaires, notamment en vitamine B1 ou B12.
Lire vous permet également d'augmenter votre vocabulaire et votre capacité de concentration. En d'autres termes, lire vous permet de devenir plus intelligent. Lire est une activité qui stimule les centres nerveux qui contrôlent les habiletés intellectuelles telles que la mémoire, l'analyse et la synthèse.
La cause, ce sont les polluants, toutes ces substances présentes autour de nous, chez nous, ou dans notre assiette. On savait qu'elles altéraient notre foie ou nos poumons, elles endommagent aussi notre cerveau.
"La motivation, l'attention et les émotions sont les trois facteurs nécessaires pour améliorer son intelligence". Cela passe d'abord par un travail d'introspection ayant pour objectif d'aboutir à une meilleure connaissance de soi.