Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) sont tout à fait indiqués pour traiter une lombalgie. L'ibuprofène, vendu sans ordonnance, en fait partie. Si nécessaire, un médecin peut vous prescrire un anti-inflammatoire plus puissant (type Diclofenac ou Ketoprofene) disponible uniquement sur ordonnance.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS tels que l'aspirine, l'ibuprofène, dont l'Advil®, le Motrin® ou les relaxants musculaires, tels que le Robaxacet® ou le Robaxisal®) en vente libre peuvent également soulager la douleur.
BOUGER : ne pas rester en mode "canapé"
Quand un lumbago survient, ça peut être très douloureux et rendre même le mouvement quasi impossible mais il faut bouger autant que vous le pouvez. Si possible, allez marcher, si impossible de marcher, essayez de mobiliser un peu les jambes quand même, étirer le bas du dos.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
Dans cette catégorie de médicament, le prednisone, le prednisolone et le méthylprednisolone figurent parmi les plus puissants. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) regroupent les médicaments qui réduisent ou suppriment les symptômes associés à une réaction inflammatoire.
La gravité d'un lumbago n'est pas proportionnelle à la douleur. S'il est vrai que la douleur est intense et apparaît brutalement, elle disparaît spontanément dans 90 % des cas en 6 à 8 quelques semaines, sachant qu'une partie, près de la moitié, disparaît en 48 heures ; 10 % deviennent des lombalgies chroniques.
Le lumbago peut durer jusqu'à 4 mois et sa guérison est parfois longue. Sa durée dépend de l'intensité de votre douleur et du moment à partir duquel vous déciderez de vous prendre en charge.
Allongé sur le dos, les bras en croix. Exercice : tourner la tête à droite, plier la jambe droite, prendre le genou droit de la main gauche et l'amener vers le sol du côté gauche. Maintenir 6 secondes, repos 6 secondes.
Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) sont tout à fait indiqués pour traiter une lombalgie. L'ibuprofène, vendu sans ordonnance, en fait partie. Si nécessaire, un médecin peut vous prescrire un anti-inflammatoire plus puissant (type Diclofenac ou Ketoprofene) disponible uniquement sur ordonnance.
La lombalgie, appelée communément « mal de dos », « lumbago » ou « tour de rein », est une douleur, souvent intense, au niveau des vertèbres lombaires, situées en bas du dos.
La position sur le côté
C'est la plus recommandée pour soulager les lumbagos. La position fœtale vous permet de plier les hanches et les genoux.
Le lumbago (ou lombalgie aiguë) se manifeste par des douleurs subites et violentes dans la région du bas du dos (tour de reins). Celles-ci surviennent à la suite d'un geste un peu brusque ou lorsqu'on a soulevé une charge lourde. Elles sont parfois tellement fortes que tout mouvement du dos devient impossible.
La première séance d'ostéopathie pourra vous soulager du lumbago. Il est important de ne pas laisser passer la douleur toute seule. Puis sur plusieurs séances, le traitement de votre ostéopathe permettra d'éviter que le lumbago soit chronique, en favorisant un phénomène de compensation du corps.
Faites des mouvements appuyés de va-et-vient de bas en haut pour décontracter les muscles. Appuyez, sans les bouger, le bout des doigts de chaque côté et au plus proche de votre colonne vertébrale. Maintenez ces pressions statiques pendant 3 secondes, puis relâchez 3 secondes. Poursuivez jusqu'à sentir la détente.
Pour plus d'efficacité contre la douleur et la fièvre, peut-on associer un AINS et du paracétamol ou deux AINS ? Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
À la différence de l'aspirine et de l'ibuprofène, le paracétamol n'est pas anti-inflammatoire. Il soulage donc moins bien que ces deux médicaments les douleurs de ce type. Par contre, il a l'avantage de ne pas irriter l'estomac. Il est commercialisé sous divers noms: Doliprane, Dafalgan, Efferalgan, etc.
Le méthocarbamol est un relaxant musculaire qui réduit les spasmes musculaires. L'ibuprofène est un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) qui atténue la douleur et l'inflammation. Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux.
Aucune différence significative d'effet antalgique n'a été démontrée, sur une étude de 460 patients suivis pour douleurs lombaires ou arthrosiques, comparant paracétamol 325 + tramadol 37.5 à paracétamol 300 + codéine 30.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
C'est un faux mouvement suivi d'une douleur lancinante qui se manifeste dans le bas du dos (rachis lombaire). Le lumbago est un durcissement des muscles qui se produit en raison d'un mouvement soudain, comme une torsion rapide ou le fait de mal porter un objet lourd. Souvent, le lumbago touche les vertèbres l4 et l5.
On parle de lumbago lorsque l'individu a une lombalgie aiguë, celle-ci devient chronique si elle dure plus de trois mois. La sciatique est une douleur liée à un nerf. On parle donc dans ce cas là de névralgie. Le nerf sciatique communique avec les membres inférieures (comme les jambes) et passe par la colonne lombaire.