Le neurologue consulte à l'hôpital, en clinique ou en cabinet de ville. Il existe des neurologues « généralistes » qui s'occupent de toutes les pathologies neurologiques et des neurologues qui se spécialisent dans une maladie, par exemple la maladie de Charcot ou l'épilepsie (on parle d'épileptologue).
Le diagnostic définitif est généralement posé par un médecin neurologue, c'est-à-dire spécialisé dans les maladies nerveuses.
Le neurologue fait partie des exceptions au parcours de soins coordonnés : il est possible de consulter un neurologue en accès direct, sans passer par son médecin traitant au préalable. L'assuré est alors dans le parcours de soins et bénéficiera d'un remboursement optimal de la Sécurité sociale de 70 %.
Dans certains cas, lorsque la cause de la neuropathie est identifiée et traitée avec succès, il est possible de rétablir complètement les fonctions nerveuses et de guérir la neuropathie.
En première intention, la prescription en monothérapie d'un antidépresseur tricyclique (exemple : amitriptyline 25—150mg/j) ou d'un antiépileptique gabapentinoïde (gabapentine 1200—3600 mg/j ou prégabaline 150—600mg/j) est recommandée dans le traitement de la douleur neuropathique.
Il s'agit d'un trouble grave, étant donné qu'une infection ou une blessure peut survenir à un pied sans que la personne touchée puisse la ressentir. En plus des picotements et de l'engourdissement, les personnes qui souffrent d'une polyneuropathie chronique éprouvent des sensations de brûlure ou des élancements.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Les antidépresseurs tricycliques et les antiépileptiques sont plus utiles pour traiter ce type de douleurs. Parmi les antidépresseurs, certains agissent sur les molécules impli- quées dans le contrôle de la douleur au sein du système nerveux.
Le traitement médicamenteux de première intention repose sur deux classes thérapeutiques : certains antiépileptiques (gabapentine et prégabaline), et certains antidépresseurs, classiquement les tricycliques et notamment l'amitriptyline, mais aussi les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et la noradrénaline ...
Le neurologue est le médecin spécialiste du cerveau et des nerfs. Plus précisément, il s'occupe des problèmes du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et du système nerveux périphérique (nerfs).
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Votre médecin éclaire vos yeux avec une petite lampe. Il observe si vos pupilles se contractent (réflexe photomoteur) ; Vous fixez le nez de votre médecin tandis qu'il déplace ses doigts dans plusieurs directions. Vous devez alors lui dire de quel côté ses doigts bougent (test de confrontation).
Pourquoi consulter un Neurologue ? Le neurologue est le spécialiste à même de diagnostiquer et prendre en charge l'épilepsie, la SEP (sclérose en plaques), la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer, la neuropathie diabétique, ou toute autre atteinte nerveuse.
Il est recommandé d'aller voir un algologue en cas de douleurs chroniques non soulagées par les traitements habituels, que la cause exacte de la douleur soit identifiée ou non, que l'origine de la douleur soit grave ou non.
La téléconsultation d'un médecin neurologue débute par un interrogatoire médical approfondi afin de mieux comprendre ce qui amène le patient à consulter le spécialiste. Le neurologue peut également s'appuyer sur un examen clinique réalisé par le médecin traitant au préalable afin d'affiner son diagnostic.
Le curcuma est l'anti-inflammatoire par excellence, souvent intégré dans les compléments alimentaires anti-inflammatoires. C'est surtout la curcumine qui agit comme un analgésique et soulage les douleurs musculaires.
Le symptôme moteur le plus fréquent est la faiblesse musculaire, en particulier des loges antéro-externes des jambes se traduisant par un steppage. distale des membres supérieurs, orientant vers une neuropathie motrice. des pieds, signe le plus spécifique.
la multiplicité de la nature et du type de douleurs : douleur aiguë, douleur chronique, douleur nociceptive, neuropathique, nociplastique.
Les neuropathies périphériques représentent une des pathologies les plus fréquentes en neurologie. Certaines d'entre elles peuvent être responsables d'un handicap sévère avec une diminution importante de l'autonomie. Les causes les plus fréquentes sont le diabète et la consommation régulière et excessive d'alcool.
Dans la majorité des cas, les polyneuropathies sont chroniques et d'évolution lente et progressive. Plus rarement, elles sont aiguës, c'est-à-dire d'apparition soudaine.
Il est malheureusement rare que les douleurs neuropathiques disparaissent complètement, bien que les nerfs touchés puissent se réparer. Néanmoins, les patients apprennent à l'aide de ces traitements à mieux gérer la douleur et la considèrent généralement comme moins intense.
Le diabète en est la cause la plus fréquente, mais plusieurs autres maladies peuvent y être associées, comme les déficits en vitamines, l'utilisation de médicaments toxiques pour les nerfs (chimiothérapies agressives par exemple, mais aussi l'alcool), le dépôt de protéines anormales du sang, le mauvais fonctionnement ...