Le moteur à quatre temps est le plus utilisé dans les voitures modernes. Le mouvement du piston se décompose en quatre phases successives pour chaque explosion qui se produit. Ces quatre temps sont : 1, admission d'air et de carburant ; 2, compression ; 3, détente ; 4, échappement.
L'ordre d'allumage est généralement attribué ainsi : Pour un quatre cylindres en ligne : 1-3-4-2 ; Pour le 5 cylindres en ligne Audi : 1-2-4-5-3 qui lui donne une sonorité si particulière.
Le piston remonte et comprime le mélange air/essence. Cette simple compression va élever le mélange carburé à une température de 300°C environ. Si la température s'élève encore de 100°C supplémentaire, le mélange risque de s'enflammer spontanément. C'est ce qu'on appelle l'auto-allumage.
Le moteur à combustion à quatre temps est inventé par Beau de Rochas en 1862, développé par Nikolaus Otto en 1867, puis perfectionné par Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach en 1886, suivi par le moteur à boule chaude en 1891 puis le moteur Diesel en 1893.
Le piston démarre au point le plus haut de sa course dans le cylindre. La soupape d'échappement est fermée et la soupape d'admission est ouverte. Quand le piston descend, il aspire le gaz qui fournit l'énergie au moteur.
Le moteur 4 temps dispose ainsi d'un rendement plus faible comparé au moteur 2 temps, mais cela le rend beaucoup moins bruyant ! Il consomme aussi le carburant de manière plus efficace.
Principe du système d'allumage
Une bobine d'allumage crée une étincelle aux électrodes de la bougie. La tension générée est alors approximativement de 25 000 V (jusqu'à 45 000 V) et se produit théoriquement au moment précis de la fin de compression du mélange oxygène de l'air admis + carburant.
Système d'allumage à induction: Ce mécanisme intègre une bobine qui stocke une réserve d'énergie suffisante pour générer l'étincelle. Une fois que la clé est mise sur le contact et tournée, le courant circulant vers la bobine est interrompu, ce qui provoque une décharge et favorise la création de l'étincelle.
En mécanique pure le cylindre N1 est côté volant moteur mais nombres de personnes ou journalistes ont baptisé le cylindre N1 celui côté distribution et certains constructeur ont suivi cette anomalie.
Il se trouve dans le bloc moteur. Il y a cependant plusieurs cylindres dans un moteur. Ils peuvent être disposés en ligne, mais aussi d'autres façons : en W ou en V par exemple. Plus il y a de cylindres dans un moteur, plus sa cylindrée est importante.
L'avance à l'allumage est un dispositif qui participe à la gestion du moteur de votre véhicule. Elle va ainsi permettre d'accroître son rendement mais aussi de réduire votre consommation ainsi que les émissions de gaz polluants.
Les avantages du moteur 3 cylindres
La diminution des pertes thermiques. Ainsi, à cylindrée égale, le 3-cylindres est plus avantageux que le 4-cylindres en termes de rendement thermique et mécanique. L'allègement du moteur, ce qui contribue à diminuer les émissions de CO2.
1858 : Jean Joseph LENOIR invente un nouveau type de moteur qu'il construit en 1859. Le brevet, déposé en 1860, porte sur un "système de moteur à air dilaté par la combustion de gaz enflammé par l'électricité". Pierre HUGON fait breveter un moteur du même type (il était directeur de la Compagnie des Gaz de Paris).
Le cylindre n° 1 côté volant moteur, a droite quand tu est devant le capot, a gauche quand tu est assis en tant que conducteur.
Circuit d'allumage avec magnétos
L'allumage est la fonction qui enflamme le mélange air/essence à l'intérieur du cylindre. Cette opération est réalisée par une étincelle jaillissant au sein du mélange gazeux avec une forte différence de potentiel de l'ordre de 10 à 15 000 volts.
Le cliquetis apparaît à cause de la pression qui est trop élevée, la vitesse de combustion devient trop élevée et le mélange brûle avant que le piston soit arrivé au PMH (dans ce cas la combustion démarre AVANT que la bougie aie donné l'étincelle, d'où son autre surnom de auto-inflamation).
On commence par débrayer, c'est-à-dire appuyer sur la pédale d'embrayage à gauche, pour ouvrir l'embrayage. En maintenant la position débrayée, on passe la première vitesse : la main droite tire d'abord le levier de vitesse vers la gauche, puis monte pour enclencher la première vitesse.
Appuyer à fond sur la pédale d'embrayage. Appuyer lentement et à fond sur l'accélérateur et le maintenir dans cette position puis démarrer le moteur. Si le moteur ne démarre pas, répéter la procédure de démarrage Moteur froid/chaud.
débrayer à fond du pied gauche juste avant de terminer le freinage. garder le pied gauche à fond sur la pédale d'embrayage et le pied droit sur le frein. mettre sa boîte de vitesse au point mort. remonter l'embrayage et serrer le frein à main.
Cycle d'un moteur à quatre temps. Le moteur à quatre temps est le plus utilisé dans les voitures modernes. Le mouvement du piston se décompose en quatre phases successives pour chaque explosion qui se produit. Ces quatre temps sont : 1, admission d'air et de carburant ; 2, compression ; 3, détente ; 4, échappement.
Alors que le cycle d'un moteur 2T est plus rapide : le piston ne fait qu'un aller-retour (soit 2 mouvements = 2 temps). Autrement dit, quand le moteur 2T a fait 2 cycles, le moteur 4T n'en a fait qu'un. D'où des scooters 2T plus nerveux et rapides aux accélérations.
2 temps : L'essence, l'huile et l'air sont mélangé. Le moteur est plus nerveux mais s'use plus rapidement. 4 temps : L'essence, l'huile et l'air ne sont pas en contact. L'essence et l'air se situe au dessus du piston alors que l'huile reste sous ce dernier.