Evidemment, les régulations écologiques n'ont pas qu'un effet négatif sur l'économie : elles permettent aussi de faciliter la transition vers de nouveaux modèles de production, permettant ainsi d'accéder à de nouveaux marchés, donc de créer parfois des emplois.
Ainsi, le climat et les aléas naturels qui lui sont liés résultent en partie de la croissance économique. Un rapport de causalité est reconnu de façon quasi certaine entre l'émission de gaz à effets de serre, le réchauffement de la planète et probablement aussi les catastrophes naturelles (Brown, 2003).
Le développement économique s'attarde à la création de nouvelles entreprises, le maintien et la survie des entreprises existantes, la croissance optimale des entreprises, le développement de secteurs innovants ainsi que l'attraction d'investissements. La stagnation économique représente également un enjeu important.
La pollution de l'eau, de l'air, des sols, les habitats vétustes ou les conditions de travail dangereuses sont à l'origine de multiples pathologies, notamment cancéreuses, de troubles de la reproduction et du développement.
- déforestation liée à l'utilisation du bois mais aussi à l'extension des surfaces agricole ; - concentration de gaz à effet de serre et dérèglements climatiques (canicules, tsunamis, ouragans, …) que cela génère. - catastrophes écologiques telles que des accidents pétroliers, nucléaires ou chimiques.
La croissance économique entraîne l'épuisement du capital naturel. Afin de mieux combattre l'épuisement des ressources et la dégradation de l'environnement, les économistes ont mis en évidence la présence d'un capital nouveau dans la combinaison productive : le capital naturel.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
L'écologie et la protection de l'environnement et des sociétés. L'écologie est donc fondamentale car en protégeant l'environnement et la nature, elle permet de limiter les dégâts de la crise écologique et donc par extension de mieux protéger nos sociétés.
Face aux pollutions diverses, au réchauffement de notre planète ou à la destruction des écosystèmes, l'écologie vise à limiter notre impact et à retrouver l'équilibre qui permettra à nos sociétés de vivre encore de façon pérenne au cœur de ces mêmes écosystèmes.
La Stratégie nationale de transition écologique vers un développement durable (SNTEDD) fixe quatre enjeux écologiques majeurs : le changement climatique, la raréfaction des ressources, la multiplication des risques sanitaires environnementaux et la perte accélérée de biodiversité.
Dans les pays économiquement avancés le développement est recherché, en général, par l'encouragement de l'innovation (via la recherche), l'investissement, l'éducation, l'accroissement de la sécurité juridique...
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Le facteur travail : importance de la population active occupée, niveau de formation, organisation efficace du travail, durée du travail... Le capital technique : taux d'utilisation du capital technique, niveau des investissements qui permettent de disposer de plus de capital et d'un capital plus performant.
Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir. C'est la green economy.
Une étude d'impact économique a pour objectif d'estimer l'ampleur des revenus et emplois locaux supplémentaires ainsi créés. Une étude d'impact cherche donc à répondre à la question suivante : de combien l'activité économique de court terme déclinerait dans une zone considérée si x n'existait plus dans cette zone ?
Impact environnemental positif et négatif
D'autre part, certains exemples d'impacts envionnementaux positifs peuvent être la reforestation, l'utilisation d'énergies renouvelables, une gestion efficace de l'eau et un bon traitement de purification de l'eau ou la présence de zones adéquates de recyclage.
Le principe de base de l'écologie dans le champ scientifique affirme que chaque être vivant est en relation avec ce qui représente son environnement. L'interaction durable entre les organismes et son milieu se définit comme écosystème.
Les facteurs écologiques sont les éléments d'un milieu qui ont des impacts sur les cycles biologiques des populations animales et végétales. Ils se divisent en deux catégories, soit les facteurs abiotiques et les facteurs biotiques. Lorsque ces facteurs nuisent aux cycles biologiques, on les appelle facteurs limitants.
la lutte contre le changement climatique ; • la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources; • la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations ; • l'épanouissement de tous les êtres humains ; • une dynamique de développement suivant des modes de production et de ...
En effet, la vie humaine et ses activités met de manière quotidienne une pression énorme sur la faune et la flore qui nous entoure, et sans changer notre mode de vie de manière globale, cela risque d'entrainer de très graves conséquences pour la planète, mais également pour nous d'ici les prochaines années.
Habituez-vous à éteindre la lumière lorsque vous quittez une pièce. Remplacez les ampoules classiques par des ampoules fluorescentes écoénergétiques. Éteignez l'ordinateur et débranchez les appareils électriques lorsque vous ne vous en servez pas. Marchez ou prenez le vélo dès que vous en avez l'occasion.
D'une part, beaucoup d'activités économiques ont un impact environnemental négatif : elles utilisent des ressources naturelles dans le processus de production et contribuent à réduire le capital naturel (directement par l'utilisation de ressources épuisables, indirectement en cas de surexploitation de ressources ...
- Lien positif entre compétences et revenus. - Amélioration de la santé et donc de la qualité de vie de l'individu. - Les entreprises qui bénéficient d'un capital humain élevé => une augmentation de la productivité (un travailleur plus qualifié et compétent est plus productif).
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.