La FSH stimule la maturation des follicules ovariens au cours de la phase folliculaire. Les follicules en croissance vont alors sécréter des œstrogènes qui vont agir sur l'endomètre et sur l'hypophyse.
Les follicules en croissance sécrètent des œstrogènes. Le corps jaune produit de la progestérone. Ces deux hormones contrôlent l'activité cyclique de l'endomètre : le cycle menstruel.
L'hormone FSH (Follicle Stimulating Hormone), ou hormone folliculo-stimulante, aussi appelée « folliculo-stimuline », est une hormone gonadotrope sécrétée par l'hypophyse ; cette gonadostimuline agit sur le fonctionnement des gonades : les testicules chez l'homme, les ovaires chez la femme.
Ce phénomène se produit sous l'effet d'hormones sécrétées par l'hypophyse, une petite glande située à la base du cerveau. Appelées gonadotrophines, ces hormones sont la FSH (hormone folliculo-stimulante) et la LH (hormone lutéinisante). La FSH va entraîner la maturation et l'augmentation de volume du follicule.
Au niveau de l'ovaire, la FSH exerce son action en stimulant la maturation folliculaire et la production d'oestrogènes. L'élévation des oestrogènes déclenche un pic de LH, et dans une moindre mesure de FSH, entraînant l'ovulation. La synthèse de progestérone par le corps jaune est sous l'influence de la LH.
Au premier jour des règles, le cerveau commence à sécréter de la FSH, ce qui a pour effet de stimuler les ovaires. Pendant 14 jours, cette hormone favorise la sécrétion d'estrogènes et la maturation du futur ovule.
A savoir : la progestérone et certains de ses dérivés ont permis la mise au point de la pilule contraceptive en 1953 par l'Américain Gregory Pincus. En effet, à haute concentration, cette hormone peut bloquer l'ovulation et augmenter la densité de la glaire cervicale, qui devient ainsi une barrière aux spermatozoïdes.
Pour améliorer la qualité de l'endomètre et favoriser la nidation de l'embryon, un traitement peut être proposé durant la phase lutéale (seconde partie du cycle, après l'ovulation), à base de progestérone ou de dérivés : dihydrogestérone (par voie orale) ou progestérone micronisée (voie orale ou vaginale).
Le déclenchement de l'ovulation intervient lorsque l'on peut recenser deux à trois follicules d'un diamètre supérieur à 16 mm. Le taux d'œstradiol doit par ailleurs atteindre de 150 à 250 pg/ml.
La LH stimule la production de progestérone et provoque l'ovulation grâce à un pic de sécrétion au milieu du cycle. Ce pic de LH marque la fin de la phase folliculaire et conduit à la transformation du follicule en corps jaune, au cours de la phase lutéale.
La FSH et la LH sont sécrétées par l'hypophyse. La sécrétion est très faible durant l'enfance et augmente à la puberté où on observe à la fois une augmentation de la fréquence des pics et de leur amplitude.
L'hypophyse
Sa partie antérieure, l'adénohypophyse, joue un rôle essentiel dans le cycle menstruel en sécrétant deux hormones spécifiques appelées gonadotrophines : la FSH (hormone folliculostimulante) et la LH (hormone lutéinisante).
La phase folliculaire débute au premier jour des règles et prend fin au moment de l'ovulation, et dure donc en moyenne 14 jours (sur un cycle de 28 jours). Elle correspond à la phase de maturation folliculaire, durant laquelle un certain nombre de follicules primordiaux vont être activés et commencer leur maturation.
À la fin des règles, l'endomètre (paroi de l'utérus) s'épaissit petit à petit et tout au long du cycle, et il se prépare ainsi à accueillir chaque mois un éventuel œuf fécondé. Des follicules contenus dans les ovaires apparaissent et commencent à grossir.
Les hormones jouent également un rôle crucial dans le cycle menstruel. D'ailleurs, elles sont impliquées à chaque étape. Au cours de ton cycle, l'hypophyse (organe de la taille d'un petit pois situé à la base du cerveau) produit une hormone folliculo-stimulante (FSH) et une hormone lutéinisante(LH).
Causes d'infertilité relatives au déséquilibre hormonal
Une production diminuée ou une non-production de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) provoque le développement partiel uniquement des follicules ovariens. Les ovaires, par conséquence, ne produisent pas d'ovules matures.
La progestérone est essentielle pour tomber enceinte. Si cette hormone n'est pas produite en quantité suffisante, des problèmes peuvent survenir lors de la fécondation de l'ovule, puis lors de sa maturation et du maintien de la grossesse.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
CLOMID n'est pas indiqué chez les femmes qui ovulent. Ce test est utilisé pour le diagnostic des insuffisances gonadotropes s'il y a un désir de grossesse. La posologie est de 2 comprimés/jour (soit 100 mg) pendant 5 jours consécutifs et pendant un seul cycle.
La prise de Clomid stimule l'ovulation, mais ça n'est pas instantané. Donc ce n'est que plusieurs jours après que l'ovulation est susceptible de survenir. Les relations sexuelles pendant la prise de clomid ont donc moins de chance d'entraîner une grossesse que des rapports sexuels dans les 10 jours qui suivent.
Fruits et légumes.
Les pamplemousses, les oranges, les brocolis, les poivrons, les kiwis, et les ananas sont remplis de vitamine C qui peuvent réguler l'équilibre hormonal des femmes. Les épinards contiennent du fer, qui peut aider l'ovulation.
La progestérone est une autre hormone féminine qui sert à préparer l'utérus pour une grossesse. Elle est produite dans la seconde moitié du cycle menstruel après l'ovulation, période pendant laquelle ses taux augmentent pendant quelques jours puis diminuent en l'absence de fécondation.
Hormone stéroïde dérivée du cholestérol, sécrétée par le corps jaune (follicule ovarien ayant expulsé l'ovule) pendant la seconde phase du cycle menstruel, par le placenta pendant la grossesse et, à un moindre degré, par les corticosurrénales et les ovaires.
Ce n'est pas un secret que la progestérone aide les femmes à s'endormir plus vite, à avoir un sommeil profond moins perturbé, et à dormir plus longtemps. La progestérone diminue l'hormone masculine androgène, ce qui stimule une pousse plus rapide des cheveux et une peau plus douce, moins prône à l'acné.