Matthieu 8:23–27.
6Que tout ce qui respire loue l'Eternel! Louez l'Eternel! L'Eternel est ma force et le sujet de mes louanges; C'est lui qui m'a sauvé. Il est mon Dieu: je le célèbrerai; Il est le Dieu de mon père: je l'exalterai.
Pour prier ce psaume, on peut suivre plusieurs pistes. Il invite à rejoindre la prière du Christ qui met sa confiance en son Père. Les versets 22-23 résument ce passage de la mort à la vie : 'La pierre rejetée des bâtisseurs est devenue pierre d'angle. C'est là l'œuvre du Seigneur, une merveille à nos yeux'.
Louer signifie exalter, glorifier et magnifier Dieu, ses attributs, son essence, ce qu'Il est.
Le psaume 150 est le troisième et dernier mouvement de la Symphonie de Psaumes d'Igor Stravinsky (1930).
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
L'interprétation du psaume comme un cantique de confiance en acquiert une vraisemblance nouvelle. Seul se pose le problème de savoir si ce rapport pourra être justifié et rendu plausible à partir de la «place dans la vie» primitive du psaume (c'est-à-dire de la situation de son premier orant).
La chose la plus importante à retenir est que la louange de Dieu dans le Nouveau Testament n'est plus assignée à un lieu ou à un certain moment, ni à un rituel particulier. L'adorateur doit être quelqu'un qui loue Dieu en esprit et en vérité.
Tout et quiconque peut louer Dieu : les arbres, les montagnes, les rivières, le soleil, la lune et les étoiles louent le Seigneur… et nous n'avons pas besoin d'être proche de Dieu pour le louer, mais l'adoration elle, est différente : elle nécessite une intimité, une relation.
Saint Augustin, puis Luther après, lui ont dit « Bien chanter, c'est prier deux fois ». Le chant permet de prier non seulement avec la tête et le cœur, mais avec le corps tout entier. Prière contenue dans les paroles et exprimée par la musique.
Le psaume 37 est apparu comme une exhortation pour le juste qui le prie et le médite. En réfléchissant sur les figures de Dieu, du juste et de l'impie, il y est invité à rester fidèle à son Dieu qui lui accordera le salut.
Prière de délivrance : Psaume 143
Qu'est-ce que l'homme, pour que tu le connaisses, Seigneur, le fils d'un homme, pour que tu comptes avec lui ? L'homme est semblable à un souffle, ses jours sont une ombre qui passe. Seigneur, incline les cieux et descends ; touche les montagnes : qu'elles brûlent!
Origène a exploité la notion d'alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l'alphabet est le commencement de l'apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Donc la louange est essentielle parce que Dieu nous a créés - non comme un projet à mettre au rebut dès qu'il l'aurait terminé, mais comme des enfants avec lesquels il souhaite avoir une relation profonde et durable et cette relation impacte toute la vie.
Celui, celle qui adore, rend un culte à Dieu, à une divinité. 1. RELIG. Les adorateurs du vrai Dieu; les vrais adorateurs.
Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
louange n.f. Action de célébrer le mérite de quelqu'un, de quelque chose. louanges n.f. pl. Paroles, discours qui font l'éloge de quelqu'un, quelque chose.
Adorer Dieu, lui rendre un culte, c'est lui donner notre amour, notre respect, notre service et notre dévotion. Le Seigneur a commandé à Moïse : « Adore Dieu, car tu le serviras lui seul » (Moïse 1:15).
Culte rendu à Dieu, à une divinité, à des objets sacrés en relation avec la divinité.
Le psaume 24 présente ces attributs divins dans un contexte liturgique ou Israël reconnaît la souveraineté divine dans l'acte de la création et dans le combat. Le peuple adore le Seigneur sur sa montagne sainte. Et vers ce lieu saint convergent les pèlerins à la rencontre de Dieu, résidant dans le sanctuaire.
Le sens de ces deux si¬ gnes est bien le même : ils indiquent que Dieu a pardonné au peuple ses péchés 33. On peut donc conclure que nos commentateurs ont interprété le psaume 133,2 à la lumière du Jour du Grand Pardon et dans le cadre de cette fête 34.
Ce psaume est probablement destiné à quelqu'un qui a été frappé par la maladie, à moins qu'il n'exprime les sentiments d'Israël souffrant de l'oppression d'un autre peuple.
Le psaume 32 exprime la joie du psalmiste d'avoir été libéré d'une grande souffrance. Il s'articule en deux parties : aux versets 1 à 5, le psalmiste proclame le bonheur de voir sa faute remise par Dieu, et du verset 6 au verset 11, il manifeste sa confiance dans le fait que Dieu le guide sur le bon chemin.
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.