Synonyme : calme, paix, tranquillité. Contraire : agitation, bruit, charivari, clameur, cri, fracas, tapage, tintamarre, tumulte, vacarme.
SILENCIEUX, adjectif
Qui garde le silence. Qui ne fait pas de bruit. Paisible, qualifie un lieu où l'on n'entend aucun bruit.
2Le silence est généralement défini par la négative ou l'absence, opposé à la parole – « fait de ne pas parler, de rester sans parler ; de ne pas exprimer son opinion, de ne pas répondre », etc. – ou au bruit – « absence de bruit, d'agitation ; interruption de son », etc. (Le Petit Robert, 1982, p.
Étymologie. Du latin silentium (« silence »).
Synonyme : discret, introverti, renfermé, réservé, taciturne, taiseux. – Littéraire : réticent, secret.
Contraire : agitation, bruit, charivari, clameur, cri, fracas, tapage, tintamarre, tumulte, vacarme. – Familier : boucan, chahut, raffut, tintouin.
1. Qui se tait et ne fait aucun bruit : Un auditoire silencieux. 2. Qui a l'habitude de peu s'exprimer, qui est peu communicatif : Un homme taciturne, silencieux.
Nous admettons ici qu'il existe deux formes de silences psycholinguistiques utilisés pour le décodage du langage : le silence de faible durée, dit « silence rapide », et le silence de longue durée, dit « silence lent ».
C'est pourquoi le silence -- aussi bien l'absence de bruit que l'absence de tracasseries du quotidien -- est fondamental pour le bon fonctionnement cérébral. Il nous permet de nous plonger dans notre mémoire, mais aussi de nous projeter vers les autres et dans le futur.
Contrairement aux idées reçues, le silence est bien une forme de communication ! Mais comme son sens est très profond et variable, on ne l'interprète pas toujours comme il faut.
Ne laissez personne vous influer pour vous empêcher de parler, si vous avez décidé de ne rien dire. Cependant, il peut être utile de signaler à votre interlocuteur que vous avez décidé de garder le silence. Exprimez-vous ainsi : « j'ai du mal à contrôler mes émotions en ce moment, donc je préfère me taire.
QUAND LE SILENCE PARLE – Cette pièce commence avant tout par une question : « Quand le silence se met à parler, que peut-il bien nous raconter ? » Les silences, longs et mystérieux, qui remplissent notre quotidien rongent la parole et la rendent impuissante : ils font tout à coup sens là où elle a échoué.
On dit souvent que le silence est bruissant de parole. Ce proverbe signifie qu'il n'est pas toujours nécessaire de parler pour s'exprimer.
on ne peut pas ne pas communiquer*
Comme la parole (et autres comportements tel le non-verbal), le silence fait partie intégrante de la communication. C'est même un moyen de communiquer à part entière. Le silence est bien plus que se taire : il est la force qui va donner toute sa signification au message.
Il est l'origine et la finalité de toute parole. Si bien que la meilleure philosophie s'efforce de garder le silence, plutôt que de le remplir de vérités criantes. Le silence n'est pas l'absence de bruit, mais l'absence de parole, le retour à l'immédiat, le clairon de la matière.
Pour mieux fonctionner, développer des pensées positives et sécréter de l'ocytocine notre cerveau a besoin de silence.
Pour vivre le silence profond, il faut parvenir à faire taire nos voix intérieures, à calmer le flot de nos pensées, à cesser de se projeter pour s'ancrer dans l'instant.
Alors, l'un des moyens les plus efficaces de retrouver le silence intérieur semble être d'installer en miroir le silence extérieur, le silence des mots. Des générations de moines et nonnes en ont fait l'expérience dans les monastères.
Le silence permet de nous construire ou reconstruire. Si nous réfléchissons en toute honnêteté, reconnaissons que nous avons "besoin" de silence pour penser, réfléchir, nous retrouver en nous-mêmes ; pour savoir quels sont nos vrais désirs, ce que nous souhaitons au plus profond de nous…
Faire silence ou utiliser le silence, c'est avant tout se centrer sur son propre équilibre, raccorder sa tête à son cœur, le cognitif au sensitif, structurer plus clairement sa pensée, développer son intuition, mettre ses sens en éveil et surtout de ne pas être perturbé par les éléments extérieurs.
Nous avons peur du silence parce qu'il implique d'entrer en contact avec nous-mêmes. Nous la fuyons parce que nous nous fuyons nous-mêmes. C'est la peur d'être seul avec une partie de nous-mêmes que nous refusons de voir, avec les peurs et les blessures que nous avons ignorées.
Le nom calme a donc aussi pour contraires nervosité , agitation , stress , angoisse , anxiété , affolement , panique , bouleversement , tourment et trouble .