Épreuve d'effort physique : 76,80 € Examen radiographique des artères coronaires (coronarographie) : 259,20 €
Alors que vous êtes encore au repos, un électrocardiogramme de repos est réalisé. Il enregistre votre rythme cardiaque, l'activité électrique de votre cœur et votre tension artérielle.
Réalisé en présence d'un cardiologue et d'une infirmière, l'épreuve d'effort peut se dérouler en ambulatoire, à l'hôpital ou en clinique. 10 à 30 minutes suffisent généralement.
Le test d'effort : Les risques ? Les accidents (troubles du rythme cardiaque, malaise, chute) sont peu fréquents et les complications très exceptionnelles. Néanmoins, il existe un risque d'accident cardiaque pour lequel le patient est surveillé tout au long de l'épreuve.
Le but de l'épreuve d'effort est d'augmenter le travail cardiaque et la fréquence cardiaque et donc la consommation en oxygène du myocarde et de révéler une ischémie qui va se traduire par des modifications électriques (ECG).
Le test d'effort est maximal et décrit comme normal cliniquement et électriquement : la probabilité d'une maladie coronarienne est faible et le pronostic est bon en raison de la capacité d'effort du patient. Il n'est a priori pas nécessaire de proposer d'autres investigations.
Communément appelé « crise cardiaque », l'infarctus du myocarde correspond à la destruction partielle du muscle cardiaque, due à l'obstruction d'une artère qui alimente le cœur en sang, et donc en oxygène. Cette situation d'extrême urgence nécessite d'appeler le Samu (15) pour une hospitalisation immédiate.
Une angiographie coronarienne (aussi appelée coronarographie) est un test qui consiste à prendre des radiographies des artères coronariennes et des vaisseaux qui alimentent le cœur.
Le test d'effort est un examen qui mesure la réaction du cœur pendant une activité physique soutenue via un électrocardiogramme. Il est particulièrement indiqué après 50 ans, si vous souhaitez reprendre une activité sportive ou si vous avez des facteurs de risque cardiaques.
Généralement, le cœur bat entre 60 et 80 fois par minute. Toutefois, chaque personne a un rythme cardiaque normal qui lui est propre : certains cœurs battent plus vite ou plus lentement que d'autres. Il est question d'arythmie lorsqu'il y a irrégularité du rythme cardiaque.
Ce phénomène se nomme rétention d'eau. La rétention d'eau se traduit par de l'enflure et une augmentation du volume de sang, qui contribue en retour à fatiguer le cœur. La fatigue et l'essoufflement s'installent. Avec le temps, le cœur n'arrive plus à fournir l'effort supplémentaire.
Préconisé par votre médecin traitant ou votre cardiologue, le test d'effort permet d'évaluer la réaction du système cardio-respiratoire (cœur-poumons) et est utilisé pour dépister un certain nombre de maladies du cœur. Il est notamment indiqué lorsque le patient souffre de douleurs thoraciques.
Le syndrome du cœur d'athlète est un ensemble de modifications anatomiques et fonctionnelles qui touchent le cœur de sujets qui s'entraînent > 1 heure/jour presque tous les jours. Ces modifications sont asymptomatiques; les signes comprennent bradycardie, souffle systolique et bruits cardiaques supplémentaires.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Un cœur un peu lent n'est pas nécessairement un problème, mais s'il se traine exagérément les pieds ou pire, prend des pauses (on est loin ici des pauses-santé), des symptômes variés surgissent, allant du simple étourdissement à la perte de conscience subite appelée « syncope » et même à l'arrêt cardiaque.
Bien que la majorité des arythmies ne se guérissent pas, il est possible de les maîtriser avec un traitement adéquat. Le choix du traitement dépendra de plusieurs facteurs, dont le type d'arythmie et les symptômes associés.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Essoufflement. Pâleur, sueur et faiblesse générale. Nausées, vomissements et parfois indigestion. Peur et anxiété.
Une toux en position allongée, survenant surtout la nuit, peut être associée. L'apparition d'un essoufflement en position allongée est un symptôme d'aggravation nécessitant une consultation médicale urgente.