La position concurrentielle d'une entreprise est la place occupée par celle-ci sur un marché. Selon son rang, elle est qualifiée de chef de file (ou leader), de prétendant (ou challenger), de suiveur, de nouvel arrivant (ou outsider), de sortant.
Le challenger : il se doit d'être inventif et de bousculer les règles du marché pour tenter de prendre la première place. Le suiveur : ces entreprises sont généralement rentables car elles se contentent de suivre le leader, de ne jamais innover mais plutôt imiter ce qui fonctionne chez le leader.
Les différents positionnements
Plusieurs types de positionnement existent : le positionnement fonctionnel, le positionnel psychologique et le positionnement symbolique.
Le positionnement concurrentiel est une analyse comparative des attributs d'un produit ou d'une gamme de produits. Analyser le facteur prix comme il se doit : il est une des composantes du mix, mais pas forcément un facteur de différenciation forte.
Un leader du marché est une entreprise qui détient la plus grande part de marché dans un secteur et qui peut souvent utiliser sa position dominante pour influencer le paysage concurrentiel et la direction que prend le marché.
Qualité d'une entreprise qui pour des raisons techniques, économiques ou stratégiques, préfère ou doit utiliser le leader et/ ou d'autres suiveurs du marché comme référence, en termes de produit, circuit de distribution, positionnement prix...
Bill Gates est l'un des leaders majeurs de notre époque, lui qui a permis de démocratiser l'idée qu'on se fait aujourd'hui de l'ordinateur. Dans cette citation, ce dernier met en avant un point clé du leadership : la critique pour l'amélioration.
En effet, être suiveur peut être un choix qui comporte plusieurs avantages : On arrive sur un terrain défriché : les coûts de recherche et développement sont réduits, la notoriété du produit est installé, le référencement est facilité, le consommateur est éduqué à sa consommation ou son utilisation.
Marché concurrentiel : Marché qui réunit un très grand nombre d'acheteurs et de vendeurs d'un produit spécifique. Ils sont en concurrence et sont tous « preneurs de prix ». Offre : Production ou fourniture effective ou potentielle d'un bien ou d'un service en fonction de son prix.
Les concurrents de Decathlon, Adidas et Nike, investissent quant à eux de plus en plus dans le segment lifestyle ou activewear.
Un bon positionnement doit être à la fois : - simple : l'offre est facilement compréhensible et perceptible par le consommateur, l'acheteur et le prescripteur, - crédible : l'offre est pertinente quant au positionnement des concurrents et adaptée aux besoins des clients potentiels, - attractif : ce que propose l' ...
Ils prennent position pour leurs croyances éthiques. Ils sont considérés comme compétents et dignes de confiance. Le suiveur efficace construit donc ses motivations dans sa perception de son propre rôle de suiveur. Il internalise sa motivation, ce qui lui évite de consumer son énergie.
Personne qui suit une course, à titre officiel (observateur, journaliste). La caravane des suiveurs du Tour de France. au figuré Personne qui, sans esprit critique, ne fait que suivre (un mouvement intellectuel, etc.). ➙ imitateur.
Il y aura toujours un écart entre les leaders et les suiveurs. La différence, c'est que les dirigeants qui s'intéressent aux “suiveurs” aussi, savent ne pas laisser grandir ce fossé. En étant un bon leader-suiveur, un manager peut mieux adapter son style de communication et de management.
On distingue généralement quatre structures de marché (la concurrence, le monopole, l'oligopole et la concurrence monopolistique).
Les stratégies concurrentielles visent à pérenniser ou à renforcer la position de votre entreprise face à vos concurrents et ainsi, à générer plus de profits. Les stratégies concurrentielles sont basées sur les avantages que vous offrez à vos clients par rapport à vos compétiteurs.
la domination par les coûts ; la différenciation ; la concentration fondée sur les coûts ou la différenciation.
Les choix stratégiques s'opèrent donc au niveau global (spécialisation, diversification) et au niveau de chacun des domaines d'activités (construction de l'avantage concurrentiel par différenciation-sophistication-épuration ou par domination par les coûts, choix de marchés pertinents, etc.).
La première catégorie de mauvais leaders est celle des leaders distants. Les leaders distants basent leurs relations avec leur équipe sur l'émotion. La communication n'est pas professionnelle, centrée sur les émotions et les ressentis. Le doute et le scepticisme sont roi et sapent les bases de la confiance.
Tout comme Lewin, Likert fait le constat que le leadership participatif ou démocratique est le plus efficace. Selon les chercheurs, favoriser la coopération entre les salariés et la prise d'initiatives individuelles seraient ainsi le système le plus efficace en management des équipes en entreprise.
Les leaders qui réussissent le mieux sont ceux qui sont passionnés par ce qu'ils font. En d'autres termes, ce n'est pas le rôle de dirigeant en tant quel tel qui fait de vous un leader, mais bel et bien vos connaissances, votre passion et votre capacité à travailler en équipe.