L'idée de 'mouvement littéraire' est apparue au XVIIIe siècle, chez Voltaire (1751) et chez La Harpe (1798-1804). En effet, les deux auteurs ont essayé de mettre ensemble, dans un groupe unifié que l'on appellera plus tard « Classicisme », les auteurs du XVIIe siècle.
On pourrait donc définir la littérature d'aujourd'hui comme étant de la "Nouvelle fiction" ou plutôt de la "Transfiction".
Chrétien de Troyes (1135 ?- 1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française ; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal sont typiques de ce genre littéraire.
L'homme aux 50 millions d'exemplaires vendus sort un vingt-et-unième livre (1), vingt ans après Et si c'était vrai.
Le roman le plus ancien est le Genji monogatari (Le Dit du Genji), œuvre de la littérature japonaise attribuée à Murasaki Shikibu, écrit au début du onzième siècle.
Outre le « meneur » Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle.
L'objectif était principalement de plaire (surtout à la cour, et au roi), et d'instruire.
L'idéal classique
Les grands auteurs de l'époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque.
Le mouvement de la Pléiade est exclusivement littéraire et essentiellement poétique. On date la naissance de ce mouvement en 1549 avec la parution de Défense et illustration de la langue française de Du Bellay. Dès 1553, Ronsard désigne parmi ses compagnons six poètes, mais ce n'est qu'en 1556 qu'il parle de Pléiade.
Le réalisme (1830 - 1890)
Le réalisme s'oppose au romantisme. Les auteurs s'inscrivant dans ce courant veulent faire de la littérature un reflet de la société. Ils limitent donc le plus possible la différence entre l'histoire qu'ils racontent et la réalité.
Le Réalisme apparaît après la Révolution française de 1848. Il est une réaction contre l'idéalisme romantique et il exprime le goût pour la démocratie. Mais contrairement à ce que son inclinaison sociale suggère, il ne produit pas de style architectonique propre et s'exprime peu dans une sculpture critique et sociale.
Chaque mouvement s'inscrit dans un contexte historique particulier et s'affirme comme une rupture radicale avec les mouvements qui l'ont précédé. Un courant littéraire se distingue d'un mouvement littéraire par son absence d'école, il présente cependant une unité esthétique et idéologique.
On peut également citer les écrivains français François Rabelais (Gargantua, 1534), Clément Marot et Michel de Montaigne (Les Essais, 1580) les poètes Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay, le philosophe anglais Thomas More (L'Utopie, 1516), le penseur italien Machiavel (Le Prince, 1532).
François de Malherbe fut un poète français appartenant au mouvement du classicisme. Toute sa vie, son obsession fut d'épurer et de discipliner la langue française. Considéré comme le premier théoricien de l'art classique, il bénéficia un temps des faveurs d'Henri IV et de Marie de Médicis.
Donner l'impression d'une parfaite adéquation entre forme et le contenu et l'écriture qui coule de source est en effet l'idéal de style classique. À cet égard, la tension classique entre ce qui a été efficace avec le style baroque.
Mouvement littéraire qui débute en 1560 et se termine un siècle plus tard. Il se caractérise par la prédominance de l'imagination, de la fantaisie et du refus des normes classiques.
Inspiré de la constellation de sept étoiles, Ronsard appelle occasionnellement la « Pléiade », le groupe de poètes, aujourd'hui renommés,rassemblant Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle, en plus de lui-même.
Tel est le programme que se donne La Pléiade, qui regroupe alors 7 membres : Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard, Baïf, Rémy Belleau, Jodelle, Pontus de Tyard et Dorat.
La Pléiade, qui s'est d'abord appelée la Brigade, est un groupe de poètes français du XVIe siècle dont le but est notamment de valoriser la langue française tout en s'inspirant des mythologies et des littératures antiques (grecque et latine).
Le premier texte littéraire connu est daté de 2300 avant J. -C.. Il est l'œuvre d'Enheduanna, une grande prêtresse mésopotamienne.
La toute première poétesse connue est Enheduanna, une poétesse sumérienne, notamment auteure d'hymnes. Dans l'Antiquité grecque, toute expression littéraire est qualifiée de poétique, qu'il s'agisse de l'art oratoire, du chant ou du théâtre : tout « fabricant de texte » est un poète comme l'exprime l'étymologie.
C'est parmi cette élite qu'ont émergé les premiers écrivains africains comme L. S. Senghor, Camara Laye, David Diop, Ferdinand Oyono, Ahmadou Kourouma, etc.