L'Église catholique romaine indique sept péchés capitaux, desquels découlent tous les autres : l'acédie (la paresse), l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère, et l'envie.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.
Les sept capitaux (orgueil, gourmandise, luxure, avarice, jalousie, colère et paresse) ont été identifiés par saint Thomas d'Aquin au XIIe siècle. Ils figurent toujours en bonne place dans le Catéchisme de l'Église catholique dans sa dernière édition de 1997.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Un moment important dans l'histoire du blasphème est celui où fut inventé le huitième péché capital, le « péché de langue » (peccatum linguae), au milieu du xiii e siècle.
Seigneur Jésus, Tu as ouvert les yeux des aveugles, guéri les malades, pardonné la pécheresse et, après sa faute, tu as confirmé Pierre dans ton amour ; Accueille ma prière : Pardonne tous mes péchés, renouvelle-moi dans ton amour, Accorde-moi de vivre parfaitement dans l'unité avec mes frères, Pour que je puisse ...
La prière chrétienne se réalise seul, en groupe, en tout lieu et en tout temps. Elle prend différentes formes selon les Églises. Le Notre Père est la prière commune à tous les chrétiens, directement tirée des évangiles (Matthieu, 6: 9-13 et Luc, 11: 2-4), et enseignée par Jésus à ses premiers disciples.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
On pourrait définir la chair de façon neutre comme la condition humaine. D'un autre côté, la chair est la puissance « d'inclination spontanée au mal »21. C'est en elle que Paul situe la source la plus profonde de la révolte contre Dieu — de ce que l'anthropologie biblique identifie comme le péché.
Expressions. Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être.
La paresse, en revanche, consiste à ne pas avoir envie de faire ce qu'il serait en principe nécessaire que l'on fasse, pour soi ou pour les autres, afin en général de mieux vivre. Le terme prend alors une connotation négative jusqu'à désigner un péché.
Car, comme Bouddha semblait le penser : « S'accrocher à la rage, c'est comme attraper un charbon ardent dans l'intention de le jeter sur quelqu'un : c'est vous qui vous brûlez. » Pas étonnant de fait, qu'au-delà de la liste des péchés capitaux, l'on retrouve la colère parmi les « trois poisons » du bouddhisme qu'il ...
Selon le site du Vatican (2020) : « Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé parce que Vous êtes infiniment bon,infiniment aimable et que le péché Vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de Votre sainte grâce, de ne plus Vous offenser et de faire pénitence. »
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
« Le péché est une faute contre la raison, la vérité, la conscience droite; il est un manquement à l'amour véritable, envers Dieu et envers le prochain, à cause d'un attachement pervers à certains biens. Il blesse la nature de l'homme et porte atteinte à la solidarité humaine.
La liste, la voici: l'avarice, la paresse, la gourmandise, la colère, la luxure, l'envie, l'orgueil.
Selon la définition du dictionnaire Larousse, le blasphème se définit comme une parole ou un discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est considéré comme respectable ou sacré. « Le terme blasphème, lui-même, est un terme religieux, c'est le ressenti de croyants.
Les notions de péchés mortels et véniels puisent leurs origines dans les écrits d'Augustin d'Hippone d'après lequel les premiers peuvent être expiés par une pénitence publique tandis que les seconds le peuvent simplement par le jeûne.
C'est le pape Grégoire le Grand mort en 604, dans un passage de ses Morales sur Job , qui fit de l'orgueil la « racine de tous les maux ». En dériveraient les sept vices principaux : vaine gloire, envie, colère, tristesse, avarice, gourmandise et luxure.
Un siècle plus tard, Jean Cassien, autre anachorète, réduisit ce nombre à 7 : paresse, orgueil, gourmandise, luxure, avarice, colère et envie. A la fin VIe siècle, c'est le pape Grégoire Ier le Grand qui fixa définitivement cette liste, encore admise aujourd'hui par l'église catholique.
Les Sept Péchés capitaux et les Quatre Dernières Étapes humaines est un tableau attribué à Jérôme Bosch, réalisé vers 1500 ou ultérieurement.