La superstition entourant le nombre 13 plonge ses racines dans les récits religieux chrétiens. Son origine remonte à l'épisode biblique de la Cène, un moment crucial où Jésus partage son dernier repas avec ses douze Apôtres avant sa crucifixion.
Le diable se serait emparé de ce chiffre maudit. Mais d'où vient cette théorie effrayante ? Depuis des siècles, 666 est un symbole maudit qui a enflammé les imaginations, au point d'avoir inspiré de nombreux livres, films, musiques ou légendes. La superstition aurait plusieurs origines.
Savez-vous que le jour porte-malheur par excellence en Italie est le vendredi 17... une des explications proposées serait que le 17 en chiffre romain s'écrit XVII, qui est l'anagramme du mot VIXI c'est-à-dire j'ai vécu , ou autrement dit je suis mort que l'on écrivait sur les tombeaux des morts dans la Rome antique.
Tout comme pour les étages 14, 24 et ainsi de suite. Si en France nous avons le vendredi 13, nos voisins italiens ont le vendredi 17. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce chiffre 17 n'est pas des plus appréciés. L'origine de ce chiffre maudit se base sur les chiffres romains.
Ils considèrent le vendredi 13 comme une date positive, une croyance qui tirerait ses origines dans la mythologie grecque, où le vendredi était le jour consacré à Aphrodite, déesse de l'amour…
En tant que chiffre, le 13 symbolise le mystère, l'inconnu et il est associé à la trahison. Dans son rapport au chiffre 12 qui annonce la plénitude : 12 signes du zodiaque, 12 dieux de l'Olympe, 12 heures du jour et de la nuit, 12 mois dans l'année et auquel il ajoute une unité, le 13 est perçu comme rupture du cycle.
La superstition entourant le nombre 13 est profondément enracinée dans la culture occidentale. Certains y voient une référence à la Cène de Jésus-Christ, lors de laquelle Judas, le traître, était le treizième convive. Depuis lors, le nombre 13 est souvent associé à la malchance et au malheur.
4 est un chiffre porte-malheur car il symbolise la mort. Trinh Xuan Thuan souligne que lorsque la croissance annuelle dépasse 3,57, le chaos prend le dessus.
Le chiffre 666 fait référence au diable dans la religion catholique, mais connaissez-vous son origine historique ?
Le chiffre 4 est devenu le synonyme de malchance. Donc, il est déconseillé de signer un contrat un jour se terminant par 4 pour éviter que cela ne porte malheur.
Chaque année ou presque, il revient : le vendredi 13, jour chargé de malédictions et de superstitions, rend certains d'entre nous très nerveux. D'où vient cette peur ?
L'Ukraine est sans doute l'un des pays au monde où il y a le plus de superstitions. Et de superstitieux, puisqu'un Ukrainien sur 3 y croit dur comme fer. Ces croyances, ces malédictions sont présentes dans à peu près tous les moments de la vie et de la journée.
Au contraire, le chiffre 7 est souvent considéré comme un porte-bonheur. Pourquoi ? Toutes les religions attribuent le chiffre 7 comme étant un régulateur du monde, et cela date de l'Antiquité ou par exemple les Sept Sages de Grèce étaient des philosophes ayant laissé des maximes d'importance dans le temple de Delphes.
Enfin, le 9 est le plus rare. On retrouve cette répartition bizarre en géographie, en mathématiques pour le premier chiffre de certaines suites, dans les résultats sportifs, etc.
Si le chiffre 9 est parfois considéré comme le plus puissant en numérologie (il symbolise l'illumination spirituelle), chaque chiffre possède ses propres atouts. Ainsi, le chiffre 8 est auréolé d'une énergie puissante qui vous apportera de la chance.
“dernier nombre en Maths” ne fait aucun sens, même avec “dans le cas” d'ajouté. On peut toutefois remarquer que comme l'a démontré Georg Cantor : il existe une infinité de nombres réels entre 0 et 1, d'un type d'infini si grand que ces nombres ne sont même pas dénombrables.
En numérologie, le chiffre 69 est une combinaison des énergies du chiffre 6, qui symbolise la responsabilité, l'amour et l'harmonie, avec celles du chiffre 9, évoquant la fin de cycles, la compassion et la spiritualité.
Le nombre 69 est aussi: le numéro atomique du thulium. le numéro du département français du Rhône. le symbole de l'équilibre dans la dualité.
L'hexakosioihexekontahexaphobie (littéralement, « peur du nombre six cent soixante-six ») est une phobie qui tire son origine du verset 13:18 de l'Apocalypse, l'un des livres de la Bible. Ce verset indique que le nombre 666 est le Nombre de la Bête, bête associée à Satan ou à l'Antéchrist.
Comme on espérait que le Messie serait un descendant de David, l'évangéliste désigne ainsi Jésus comme « triple David », véritable descendant du roi prophète. Mais c'est également un multiple du chiffre 7, le chiffre de Dieu.
La question mathématiques sous-jacente est : combien de mouvements au maximum faut-il pour résoudre toutes configurations de départ sur un Rubik's Cube. Ce nombre appelé depuis le début des années 80 le nombre de Dieu, fait l'objet de nombreuses recherches. Il y a 43.252.003.274.489.856.000 positions de départ.
Ce nombre est généralement présenté comme « six cent soixante-six » ou, en chiffres arabes, « 666 », quoique certains manuscrits comportent le nombre « 616 » ou encore « 665 » ainsi qu'en témoignent les débats qui opposent les commentateurs dès les premiers siècles du christianisme.
Certains hôtels n'ont certes pas de numéro 13 par superstition, mais beaucoup se passent aussi du nombre 420. Aucune croyance particulière, mais c'est en réalité une relation liée au cannabis. Des établissements refusent d'avoir une chambre 420 car elle serait prise d'assaut par les fumeurs de joints.
Sans surprise, c'est le 7, considéré par beaucoup comme un chiffre magique ou chanceux, qui a remporté le suffrage. 7, comme dans les sept péchés capitaux, les sept jours de la semaine, le septième ciel, les sept merveilles du monde, les sept couleurs de l'arc-en-ciel…
Le nombre 13 représente aussi le nombre de lunaisons (et, selon certains, de cycles menstruels) dans une année. Le treize suit le nombre douze, symbolisant accomplissement et cycle achevé et très symbolique dans la mythologie chrétienne où il est un nombre « saint ».