Avec son petit goût de châtaigne, le topinambour donne envie mais, souvent, il rebute et semble un peu compliqué à cuisiner.
En accompagnement d'une viande (blanche comme le veau ou le porc), d'une volaille rôtie ou d'un poisson, il est délicieux coupé en cubes ou en rondelles épaisses, sauté à la poêle avec un peu de beurre ou un trait d'huile d'olive, relevé d'herbes fraîches comme le persil ou le cerfeuil.
Il suffit de faire bouillir une casserole d'eau puis d'y plonger les topinambours entiers environ 15 minutes. Pour s'assurer de leur cuisson, plantez une lame de couteau dans l'un d'entre eux et, si elle y pénètre facilement, vous pouvez les égoutter et les entreposer quelques minutes dans un peu d'eau froide.
Et comment ça se mange ? Bernard Bureau (Hortiflor Bureau) aime beaucoup ce légume qu'il cuisine cru et cuit : “C'est délicieux coupé en lamelles ou en bâtonnets, accompagné d'une bonne vinaigrette. De plus, consommé cru, le topinambour est mieux supporté par l'organisme.
A ce sujet, des études ont démontré le rôle de l'inuline dans la prévention du cancer du côlon. Pauvre en sodium et en potassium, le topinambour est un aliment diurétique et laxatif. Cependant, il peut provoquer des flatulences chez les personnes sensibles.
Le topinambour améliore donc notre santé intestinale, siège de notre immunité et de nos défenses naturelles. Pour finir, c'est un féculent peu calorique : environ 100 kcal aux 100 g.
Car aussi bons soient-ils, les topinambours sont d'une part riches en fibres, d'autre part riches en inuline. Deux composants particulièrement difficiles à assimiler par notre organisme. Ainsi, ils le font travailler, et provoquent de longs (et bruyants) ballonnements.
La peau du topinambour est très épaisse et elle ne ramollit pas à la cuisson, il faut donc entièrement la retirer pour le consommer. Pour l'éplucher, préférez donc un économe et coupez 2 à 3 min d'épaisseur, jusqu'à voir apparaitre sa jolie chair ivoire.
Pour le topinambour, comme pour tous les légumes, il y a une saison : on le trouve chez les producteurs et commerçants d'octobre à février. Un super légume d'hiver pour apporter une petite touche d'originalité dans les assiettes.
Le topinambour est typiquement un légume d'hiver.
Il peut aussi se conserver dans un endroit sombre et humide comme une cave. Une fois les topinambours cuits, il faut les consommer rapidement car ils supportent mal d'être réchauffés et leur chair devient indigeste. Une solution peut être de les réduire en purée puis de les congeler, afin de les garder plusieurs mois.
Une fois cueillis, ils peuvent être cuisinés pour être ensuite congelés, par exemple en purée, seuls ou avec des pommes de terre. Pour les congeler crus, il faut les laver et les sécher après épluchage.
Rappelons que flatulence provient de "flatus", souffler. Premier truc infaillible : manger le topinambour cru. Il ne génèrera aucun vent. Et il est excellent râpé en salade, assaisonné avec de l'huile de noix et du vinaigre de cidre.
Le panais, un légume à la saveur sucrée. Cru comme cuit, le panais révèle une agréable saveur sucrée. Ce légume racine de la famille de la carotte renferme de nombreux minéraux et vitamines. Il vient du bassin méditerranéen et est consommé depuis des siècles.
Le rutabaga a un goût assez prononcé, des arômes puissants et des notes terreuses. Plus il est jeune, plus il est doux ! C'est pour cela qu'il est souvent associé à des ingrédients plus sucrés ou d'autres légumes à la saveur plus douce.
Activité physique pour dégonfler et vider son ventre des gaz
Il existe également des postures de yoga qui libèrent le ventre et les gaz : allongé sur le dos, recroquevillez les genoux vers vous et basculez légèrement à droite et à gauche. Vous pouvez également tester le "stomach vacuum" ou "aspirateur à estomac".
Oignons, choux, lentilles, pois chiches
Les légumes, les fruits, les légumineuses, ou encore les produits céréaliers complets, sont des familles d'aliments riches en fibres, et notamment les légumineuses (haricot blanc, pois chiche, lentilles). Ces dernières sont riches en fibres et en glucides mal digérés en excès.
Le taux de protéines est d'environ 2 g aux 100 g (une teneur comparable à du chou-fleur ou du haricot vert), tandis que les lipides ne sont présents qu'à l'état de traces. Il contient des vitamines du groupe B ainsi que de petites quantités de vitamines C, E, et de provitamines A.
Le riz est le féculent le plus calorique.
Toutefois, l'apport énergétique varie fortement selon les variétés : le riz sauvage fait figure d'exception, avec seulement 102 calories aux 100 grammes.