Le moyen de contraception le plus fiable serait en fait l'implant contraceptif (99,95% de protection, soit autant que le taux idéal), suivi du stérilet hormonal (99,8%, également autant que le taux idéal), et le stérilet en cuivre (99,2% contre 99,4% dans l'idéal).
L'une des méthodes de contraception sans hormones la plus utilisée est le préservatif masculin. Il permet non seulement d'empêcher les spermatozoïdes de passer, mais il est également le seul moyen d'éviter la transmission des IST (infections sexuellement transmissibles).
Les pilules de 3ème génération, comme on pouvait s'y attendre après les divers scandales, sont pointées du doigt. Les femmes qui y ont recours ont deux fois plus de chances de subir une embolie pulmonaire que celles qui utilisent les pilules de deuxième génération, par exemple.
La méthode Ogino, c'est un simple calcul. Cette méthode est jugée peu fiable car peu de femmes ont des cycles menstruels de 28 jours précisément et qui peuvent vraiment calculer leur date d'ovulation.
Le stérilet au cuivre ou dispositif intra-utérin (DIU)
Il s'agit du moyen de contraception le plus utilisé au monde. Le stérilet en cuivre est un petit dispositif en cuivre et en plastique sans hormone. Il existe en plusieurs tailles pour s'adapter à la plupart des utérus.
Il existe plusieurs méthodes de contraception naturelle
Les plus fréquemment utilisées sont au nombre de 4 : 1) Le coït interrompu ou ou méthode du retrait. Elle consiste à interrompre le rapport sexuel vaginal avant l'éjaculation pour éviter toute fécondation.
Seulement deux pilules aux estrogènes naturels
Pour l'instant, on trouve deux pilules aux œstrogènes naturels sur le marché: Qlaira, et Zoély. Qlaira, la première sortie (en 2009) est composée de cet œstrogène et d'un progestatif, tout comme Zoély.
La pilule augmente aussi le risque vasculaire, provoquant des infarctus ou des AVC. Ce risque augmente avec l'âge, surtout après 35 ans, mais aussi en cas de tabagie, de surpoids, d'hypertension, de cholestérol ou de diabète.
Quels sont les risques associés à la pilule? Les femmes qui prennent la pilule ont un risque un peu plus élevé de cancer du sein, du col de l'utérus et du foie. Elles sont également plus sujettes aux maladies du cœur et aux accidents vasculaires cérébraux (surtout si elles fument).
Comme tous les contraceptifs, les injections de progestérone peuvent entraîner des effets indésirables. Effets indésirables très fréquents : nervosité, maux de tête, douleurs au ventre, prise de poids.
Un groupe de chercheurs du Centre international de recherche sur le cancer, à Lyon, a rendu ses conclusions : les contraceptifs oraux estroprogestatifs augmentent le risque de cancer du sein, du col de l'utérus et du foie, mais ils réduisent de moitié la survenue de cancers de l'ovaire et de l'endomètre.
Vrai et faux. Un document signé par le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) publié en ligne fin 2017 rapporte que la grande majorité des études ne montre pas d'augmentation significative du risque de développer un cancer du sein en cas de prise de pilule oestroprogestative.
Un rapport de l'Agence du médicament affirme que les pilules, toutes générations confondues, provoquent 20 "décès prématurés" par an.
Le stérilet en cuivre n'est pas dangereux pour la santé. Néanmoins, si les règles deviennent plus abondantes que la normale, il est conseillé de consulter un gynécologue afin d'éviter une éventuelle anémie.
Si les femmes veulent avoir une contraception qui n'entraîne plus de règles, le Dr Alain Tamborini, gynécologue, conseille "la pilule exclusivement progestative, à prendre tous les jours sans œstrogènes alors que la pilule normale employée par cinq millions femmes en France est une pilule oestroprogestative".
On sait que la pilule entraîne nausées, acné, migraines, baisse de la libido… mais on lui impute aussi, pour certaines femmes, cancers et AVC.
Selon plusieurs croyances, la pilule diminuerait la fertilité chez les femmes. Ce mythe bien ancré dans nos mœurs en fait frémir plus d'unes. Pourtant, plusieurs études ont été menées pour contrecarrer cette superstition. La pilule affecterait en effet la fertilité, mais de manière temporaire et non pas définitive.
Un déplacement voire une expulsion (très rare) du stérilet ; Une perforation de l'utérus pendant la pose, pouvant entrainer une migration dans la cavité abdominale ;Infection de l'utérus : le stérilet ne favorise pas l'infection, mais si celle-ci survient elle peut gagner peut-être plus facilement la cavité utérine.
La méthode dite «du retrait» figure effectivement parmi les moyens de contraception naturels. Elle consiste, pour l'homme, à retirer son pénis du vagin de sa partenaire juste avant l'éjaculation. Elle est très pratiquée dans les pays méditerranéens.
S'il s'agit d'une plaquette de 28 comprimés (comprenant des comprimés placebo sans hormone), la femme doit prendre sa pilule tous les jours à heure fixe sans interruption. Le retard de prise ne doit pas dépasser 12 heures. Les pilules progestatives doivent être prises chaque jour à la même heure, 365 jours par an.
Il est également possible de commencer une plaquette de pilule à tout moment du cycle, mais dans ce cas, la protection ne commence que 7 jours après la première prise de pilule. En cas de rapport sexuel pendant cette période, il faut utiliser un préservatif ou une autre contraception locale.
Dans les méthodes actuelles, cette substance entre dans la composition des principes actifs de nombreux spermicides. De même, les chercheurs attribuent au miel et aux dattes de véritables propriétés contraceptives.
Quelle pilule fait grossir la poitrine ? L'augmentation du volume des seins constitue un effet indésirable peu fréquent lors de l'usage d'une pilule contraceptive. Cela peut arriver à certaines personnes, mais elle dépend de la sensibilité de chacune. Ainsi, aucune pilule en particulier ne fait grossir la poitrine.
La contraception naturelle, ça consiste tout simplement à écouter son corps. Variations de température, texture de la glaire cervicale, allaitement… Autant de moyens gratuits et biologiques pour éviter de tomber enceinte sans passer par la case pilule.