Le record du plus long coma est de 37 ans. Certains en reviennent, d'autres pas, et quelques-uns, de bizarres de façons. Elaine Esposito est restée dans le coma pendant 37 ans. Un record, selon le livre des records Guinness.
Coma éthylique : une urgence vitale. "Le coma éthylique correspond à une intoxication par l'alcool induisant des troubles de conscience" explique le Dr. Degremont.
Coma urémique (stade terminal d'insuffisance rénale chronique) ; Coma myxoedémateux et de l' hyperthyroïdie ; Coma hypercapnique ; Coma hépatique : l'encéphalopathie hépatique se voit lors des hépatites graves.
La durée d'un coma est variable, il peut durer entre quelques heures et plusieurs années, mais plus il est long plus les risques sont importants.
REPLAY - L'ancien footballeur, défenseur du PSG et de l'équipe de France dans les années 1970, est dans un coma végétatif depuis une opération en 1982. Jean-Pierre Adams en 1977 avec le maillot du PSG.
Ainsi, si la quiescence cellulaire est réversible et essentielle à la réparation et à la stabilité des tissus, à l'âge avancé, les « arrêts cellulaires » des cellules quiescentes sont fréquents et participent aussi au processus de vieillissement.
«Même si Terri Schiavo grogne à certains moments, ouvre et ferme les yeux, semble rire et pleurer, ces différentes réactions ne sont pas reliées à ce qui se passe dans son environnement. Elles ne sont pas associées à ce qu'elle voit ou à un effort qu'elle ferait pour communiquer.
Stade 2 ou « coma léger » : réponse inadaptée aux stimulations douloureuses, pas de trouble neurovégétatif. Stade 3 ou coma profond aréactif : mouvements de décérébration (corps en extension) aux stimulations douloureuses ou absence de réponse, présence de troubles neuro-végétatifs.
Le coma correspond à une abolition de la conscience et de la vigilance. Le patient ne peut ni bouger, ni parler, ne répond pas aux stimuli externes, ne réagit pas à son environnement et garde les yeux fermés.
Mais il arrive que le patient ne se réveille pas. Tout dépend de la gravité des lésions qui ont nécessité le recours à un coma artificiel, et pas uniquement au traitement engagé. La décision de sortir du coma artificiel dépend de l'état neurologique et général du patient.
La mort cérébrale signifie que le cerveau cesse de fonctionner. Les personnes ne réagissent à aucun stimulus. Aucun traitement ne peut aider, et une fois le diagnostic confirmé, la personne est légalement déclarée morte.
Parfois, au cours d'un coma profond, un sujet peut respirer bruyamment et ronfler intensément : ce ronflement spécifique est nommé « stertor ». De plus, on distingue du ronflement ordinaire le ronflement avec apnée durant le sommeil.
Les causes les plus fréquemment responsables d'un coma sont : les traumatismes crâniens. l'hypoxie/ischémie cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux (hémorragiques surtout)
« Il faut parler à une personne dans le coma » entend-on dans les films. Tout dépend de ce qu'on appelle coma. Entre l'état végétatif, où le patient peut encore sourire ou sursauter de façon réflexe, et l'état de conscience minimale où il entend ce qu'on lui dit, la frontière est ténue.
La mise en place d'une sonde urinaire doit être effectuée lorsque les patients sont dans le coma ou endormis artificiellement ce qui empêche une vidange naturelle de la vessie. Le sondage de la vessie permet une mesure continue de la production d'urine par les reins.
Cela peut passer par des entretiens communs pour libérer la parole des uns et des autres, mais aussi par des explications appropriées à la famille afin qu'elle comprenne mieux le ressenti de son proche, y compris s'il présente des troubles de l'humeur et du comportement (deux conséquences possibles après un coma).
Le coma profond appelé aussi coma carus ou Stade 3, se définit par une perte absolue de réaction à tous stimuli. Il s'agit d'un état grave, le patient pouvant à tout moment ne plus respirer, et être victime d'un arrêt cardiaque.
Le coma vigil est un coma de stade 1, autrement dit le malade n'est pas totalement inconscient. Le coma s'étend de la phase d'obnubilation à la phase d'hébétude.
L'état végétatif.
Après le coma, certains patients donnent l'impression de s'éveiller : ils ont les yeux ouverts et des cycles veille-sommeil normaux. Pourtant, ils ne réagissent à aucune sollicitation. Un état qui peut durer des années.
La personne de confiance consultée ou, à défaut, la famille ou l'un des proches peuvent pour leur part rapporter la volonté du patient. Au final, le médecin reste le seul décisionnaire, sa décision, étant soumise le cas échéant, au contrôle des juges, rappelle le Conseil.
Un état végétatif est défini par une aréactivité et une abolition de la conscience due à un dysfonctionnement majeur des hémisphères cérébraux, avec une préservation suffisante du diencéphale et du tronc cérébral pour maintenir les réflexes neurovégétatifs et moteurs et un cycle veille-sommeil normal.
Séances de kinésithérapie, d'ergothérapie, d'orthophonie, de psy... Cette période de réadaptation qui peut paraître longue et fastidieuse aux yeux du patient comme de ses proches est pourtant nécessaire. Après la sortie du coma, la rééducation est très souvent pluridisciplinaire.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
La conscience faiblit, les membres refroidissent, voire bleuissent ou se marbrent, et la respiration devient irrégulière. La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures.
Après la mort, le cerveau continue de fonctionner.