A n'en pas douter, c'est le pénis de la baleine bleue, avec 2,5 mètres de longueur, qui est le plus impressionnant ! À l'inverse, le plus petit est celui de la musaraigne étrusque avec seulement 5 millimètres.
Les tatous ont l'un des plus gros pénis du règne animal par rapport à la taille de leur corps ; un mâle tatou à six bandes (E. sexcinctus) peut avoir un corps de 33 centimètres de long et un pénis de 15 centimètres de long.
D'après son expérience, "le plus petit pénis mesure 1,5 cm en érection", a-t-elle déclaré à l'AFP, précisant que l'homme qui en est pourvu estime avoir une vie sexuelle satisfaisante.
Chez les vertébrés, il existe des pénis de toutes tailles. Par exemple la taille du pénis de la baleine bleue peut atteindre plus de 2 m.
D'une longueur comprise entre 80 et 110 cm, le pénis du taureau est de nature fibroélastique comprend anatomiquement trois parties : la racine, le corps et l'extrémité libre.
Les bonobos font très probablement partie des animaux qui "font le plus l'amour".
Un marsouin commun a un pénis "de la longueur d'un avant-bras", explique-t-elle, tandis que celui du dauphin commun a la taille d'une main humaine.
Le pénis étalon fixé à 12,8 centimètres Deux chercheurs ont mesuré 60 verges. A plein régime, 12,8 centimètres. Ce serait, selon le très rigoureux New Scientist, la longueur moyenne du pénis en érection, mesuré au mètre à ruban par un observateur impartial.
Le pénis est long chez le chien (entre 6 et 25 cm suivant les races), et se trouve en région sous-pubienne, sa face urétrale en position ventrale.
Il s'agit d'une espèce dite sémelpare. Un terme qui désigne des animaux ne connaissant qu'un cycle de reproduction au cours de leur vie. Pendant deux semaines, ces marsupiaux se lancent dans une course effrénée et copulent des heures durant, jusqu'à l'épuisement.
Synon. de coprophilie (ibid.). zoophilie 1.
Les gibbons
Les gibbons sont l'espèce d'animaux fidèles et inséparables la plus proche de l'être humain. Ils sont monogames, ce qui est rare pour des primates. La relation entre un gibbon mâle et un gibbon femelle est très forte et les deux sexes sont plutôt égaux au sein du couple.
La femelle mante, assoiffée de sang, arrache sans pitié la tête du pauvre mâle lors de l'accouplement. Oui, oui. C'est documenté, ça arrive. Ça s'appelle du cannibalisme sexuel, et la mante n'est pas la seule affamée à faire ça.
Chez les animaux, la monogamie est le fait de n'avoir qu'un seul partenaire. Les orques, les pigeons, les manchots, les hippocampes et les gerbilles, par exemple, sont réputés monogames.
Une femme peut-elle tomber enceinte si elle fait l'amour avec un chien? Non, il y a une spécificité d'espèce, les spermatozoïdes des autres mammifères ne peuvent pas féconder les ovules humains.
Une étude - elles sont rares - a évoqué un lien chez l'homme entre le cancer du pénis et les rapports sexuels avec les animaux, mais ce lien n'est pas vraiment établi. En général, certaines infections animales peuvent être transmissibles à l'être humain et vice-versa. Par contre, le risque de grossesse semble nul.
La pieuvre est incontestablement une mère dévouée. Des chercheurs ont observé une femelle veillant sur ses petits pendant près de quatre ans et demi. Elle meurt après l'éclosion. Une pieuvre femelle défend ses œufs jusqu'à la mort – au sens strict.
Une ratte peut se reproduire toute l'année et avoir 4 à 7 portées de 6 à 12 petits.
Bien que populaire, le cannibalisme sexuel est plutôt rare dans le monde animal. La plupart des exemples se retrouvent parmi les Araignées, les Mantes religieuses, mais aussi chez quelques Scorpions, Hyménoptères, Amphipodes, Isopodes et Serpents.
Le hamster
Comme le hérisson, la femelle hamster est susceptible de manger ses nouveau-nés.
Le cannibalisme ne se retrouve pas dans tous les taxons mais néanmoins dans diverses branches du règne animal : protozoaires, arthropodes (arachnides et insectes en particulier), amphibiens, poissons, oiseaux, et 75 sur les 5 700 espèces de mammifères (dont les rongeurs, les Hommes).
Est-ce que les lions mangent les Lionceaux ? Maren Huck, une spécialiste en comportement animal interrogée à ce sujet par CNN, a expliqué qu'il arrive parfois que les lionnes vivant à l'état sauvage mangent leurs rejetons, mais ce comportement troublant survient plus fréquemment en captivité.
La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l'on trouve des cas de parthénogenèse chez d'autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure ...